Lætitia TRILLEAU

  • Ici, vous pouvez échanger autour des thèmes et de l’expérience proposée autour du calendrier de l’avent du coeur

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  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 1 an et 9 mois

    Trouve la pierre cachée durant l'oeuvre au jaune Trouver la pierre cachée durant l’oeuvre au jaune, la grande oubliée du Grand Oeuvre.Peut-être vous demandez-vous de quoi je parle…C’est quoi cette pierre cachée ? En-quoi pourrait-elle être une étape clé ? Une étape de quoi d’ailleurs ? De quoi on parle ? Explication et ouverture… Il s’git d’une étape clé du grand œuvre alchimique. Le fameux « Visita Interiora Terræ Rectificando Invenies Occultum Lapidem… (Veram Medicinam) ».En français, ça donne traditionnellement  :Visite l’intérieur de la terre, en rectifiant tu trouveras la pierre cachée… (La Véritable Médecine) De cette invitation à la réalisation du Grand Oeuvre beaucoup se souviennent de l’oeuvre au noir, au blanc et parfois aussi au rouge (pas toujours). Le trésor de la pierre cachée dans la pierre Pour autant, la majorité oublie l’oeuvre au jaune.Alors en quoi cette étape est-elle importante ? Qu’est-ce que cela peut changer dans notre vie ? Cet article existe parce que j’ai, moi-même, à un moment donné, hormis cette étape. Il faut avouer que l’oeuvre au noir est un passage douloureux. Et l’oeuvre au blanc est plutôt séduisante et s’achève avec l’impression d’être arrivé.e à être dans la lumière. Or cette lumière n’est pas la Lumière à proprement parlée. Beaucoup s’y confortent dans un équilibre facticement lumineux. Mais suffisamment confortable pour se croire presque arrivé.e ou dans la vérité. Très peu vont chercher à aller au-delà… malheureusement… et vont initier la construction d’un ego spirituel qui sera la porte ouverture sur le chemin de la perdition de leur âme. L’œuvre au jaune : processus du lâcher prise de l’identification au Soi… = révéler la pierre cachée Avec cette phase s’ouvre le Grand Œuvre proprement dit :  Le jaunissement de l’œuvre correspond à l’action d’épurer ce qui a été obtenu. Le produit du début de réalisation effectué durant l’albedo est sacrifié pour qu’il puisse se transformer en or.C’est le moment de la mort jaune qui atteint un point de totale noirceur. Décrite comme une lumière si puissante qu’elle en devient aveuglante. Petite aparté sur l’albedo au-delà du sens alchimique. Wikipédia définit l’albedo ainsi : L’albédo, ou albedo (sans accent), est le pouvoir réfléchissant d’une surface, c’est-à-dire le rapport du flux d’énergie lumineuse réfléchie au flux d’énergie lumineuse incidente. C’est une grandeur sans dimension, comparable à la réflectance, mais d’application plus spécifique, utilisée notamment en astronomie, climatologie et géologie. En alchimie, l’albedo est l’autre nom de l’oeuvre au blanc. Cette étape à travers laquelle le résultat informe issue de l’oeuvre au noir (negrido) va être blanchie. Elle est symbolisée par le cygne et correspond à une purification liée à la distillation et à l’ouverture. L’albédo permet de transformer le plomb (la lourdeur, les peurs, les limitations,… en argent. Saturne devient Lune mais aussi Venus Luciférus. L’albédo a lieu dans la phase suivant la dissolution de la matière, la recomposant en une synthèse supérieure, selon la devise alchimique “solve et coagula”. Psychologiquement, cette phase appelle à renaitre à une autre réalité. Une réalité qui appelle à ne pas s’arrêter au constat des diverses prises de conscience qui ont accompagnées le stade précédent. Les prises de conscience ne sont que des préliminaires. Elles permettent de découvrir que le monde est bien plus vaste qu’il n’y parait et que la matière visible, les apparences, la réalité illusoire n’est qu’un infime partie. La réalité appelle à la mort symbolique du vieil homme. Celui-ci (le vieil Adam) vit uniquement dans la conscience de la matière; dans, et de, sa lourdeur et ses limitations. Sa mort se réalise à travers le processus de nigredo. Vient alors l’appel du passage de la seconde mort. La seconde mort révélation de la pierre cachée ©trilleau laetitia Cette seconde mort peut être vue comme une mort à la conscience de soi. Ou dit avec plus de justesse, la mort de la conscience du petit moi en tant qu’individu séparé issu de l’albedo (l’oeuvre au blanc). Cette conscience de soi (avec un tout petit s) séparée et individuelle. Elle est une dernière identification à éliminer. Son élimination entraîne la levée de la porte de la séparation. C’est une étape difficile qui fait véritablement peur à juste raison. Elle demande un lâcher-prise dans la foi que peu sont capables d’accepter de réaliser. Alors, certes, il est nécessaire de mettre un bémol et un point de vigilance à cet endroit. Il me semble bienvenu et nécessaire de préciser qu’il ne s’agit pas d’une dépersonnalisation. Dépersonnalisation qui génère que réels problèmes psy qu’il convient de traiter et d’accompagner par un suivi régulier. Or, elle reste un risque à cette étape. Les alchimistes ont toujours été clair sur ce point. Le chemin initiatique est un chemin très dangereux sur lequel il est facile de se perdre, devenir fou… Il s’agit d’un chemin qui implique un risque vital au sens propre comme au figuré. C’est d’ailleurs pour cela qu’il serait folie que de vouloir le fouler sans y être invité.e et sans être guidé.e. L’alchimie spirituelle n’est pas exempte de risque. Elle demande à celui qui s’y adonne d’accepter le risque de se perdre. Celui-ci devra aussi s’engager fermement à mettre en oeuvre tout ce qui est nécessaire pour garantir sa stabilité, son ancrage et la préservation de son âme… Sans jamais se laisser aller à faire demi-tour par peur. Comme je l’ai déjà indiqué à plusieurs reprises les chemins de la spiritualité sont dangereux, plein de pièges, de mirages et d’illusions (cf. Divulgation spirituelle et fausse spiritualité). Il est incontournable d’avoir un guide, un soutien, un superviseur… qui a déjà emprunté le tronçon de chemin que nous traversons pour nous aider à éviter les pièges et éclairer de conscience nos angles morts. Ce qui se doit d’être clair comme de l’air de roche, c’est qu’il n’est pas possible de s’y adonner à la petite semaine comme on le ferait par loisir. Cela est absolument inconcevable. Il s’agit d’un engagement de tous les instants. Dans un célèbre livre destiné aux initiés, il est raconté sous la forme d’une aventure de roman ceci : « Étranger, salut : Peut-être as-tu entendu parler des Noces du Roi, dans ce cas, pèse exactement ces paroles :Par nous, le Fiancé t’offre le choix de quatre routes, par toutes lesquelles tu pourras parvenir au Palais du Roi, à condition de ne pas t’écarter de sa voie. La première est courte, mais dangereuse, elle passe à travers divers écueils que tu ne pourras éviter qu’à grand peine ;l’autre, plus longue, les contourne, elle est plane et facile si à l’aide de l’aimant tu ne te laisse détourner, ni à droite, ni à gauche.La troisième est en vérité la voie royale, divers plaisirs et spectacles de notre Roi te rendent cette voie agréable. Mais à peine un sur mille peut arriver au but par celle-là. Par la quatrième, aucun homme ne peut parvenir au Palais du Roi, elle est rendue impossible car elle consume et ne peut convenir qu’aux corps incorruptibles. Choisis donc parmi ces trois voies celle que tu veux, et suis la avec constance. Sache aussi que quelle que soit celle que tu as choisie, en vertu d’un Destin immuable, tu ne peux abandonner ta résolution, et revenir en arrière sans le plus grand danger pour ta vie. » Je referme ici la parenthèse La pierre cachée se découvre à l’issue de l’oeuvre au jaune crédit photo : Lætitia TRILLEAU Durant l’oeuvre au jaune, il n’est plus question de se limiter au moi. Il s’agit d’intégrer qu’au-delà de l’identité personnelle que nous nous sommes attribuée, et de notre identité individuelle dans la conscience que nous sommes bien plus que cela. Nous faisons partie d’un tout qui sert un grand plan qui nous dépasse. Celui-ci prend place au travers d’ interconnexions et des liens d’interdépendance. Nous sommes une partie du puzzle. Une goutte constitutive de l’océan cosmique. Sans cette goutte, l’océan n’est plus l’océan. Mais, cette goutte n’est pas l’océan. Croire cela reviendrait à se noyer dans une illusion de perdition. Prenons garde et restons vigilant à ce point. L’oeuvre au jaune est une phase critique à plusieurs titres. Le jaune du mot citrinitas peut d’une part correspondre au doute acide qui peut apparaître. Cette phase est selon moi extrêmement importante. Si elle n’est pas traversée avec Conscience, l’échec du processus est assuré.Il faudra alors tout recommencer du début en espérant que nous auront suffisamment de matière utilisable pour que cela puisse être possible. Le résultat pourrait bien se révéler bien acide et désagréable aux vues de la finalité ou du résultat du travail intérieur entrepris. La levée de la perception de la séparation pouvant aboutir à une réalité psychotique, au lieu de se révéler dans une ouverture d’éveil de Soi. Il existe aussi d’autres risques : Celui de s’identifier aux traits de l’archétype du Vieil Homme ou de la Vieille Femme Sage. Un risque encore plus grand est de croire être détenteur de la Vérité Cosmique. Et qui deviendra un gourou (au mauvais sens du terme). Chef de file menant les masses vers une déperdition commune dans l’abysse de l’illusion en leur proposant un cheminement fort séduisant, brillant de facilité et nourrissant pour l’ego. Ce qui irait à contre-sens total du processus. Au contraire, il s’agit de diminuer l’importance du moi et de se fondre dans l’océan (cf. : Comment s’élever spirituellement ?) Pour aller plus loin autour de ce thème de pierre cachée et d’oeuvre au jaune : Le renoncement de soi c’est quoi ?Je ne suis personne Pour la petite histoire clin d’oeil, lorsque j’ai commencé à écrire cet article sur ma tablette, le correcteur automatique avait écrit :Visita interiorem terram rectificando incendies occultisme lapidem qui se traduit plus ou moins par :Visite la terre intérieure en rectifiant les feux occultes de la pierre… Cette manière de présenter la chose a tout son sens.Je partage cette anecdote pour offrir un champ d’introspection sur le sens que cela peut offrir 😉 Bien à vous, Lætitia —– Si vous souhaitez vous engager réellement sur un chemin spirituel et que vousLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 2 ans

    Quelle est la place de la spiritualité dans l'accompagnement de coaching ? En ce jour, je me questionne, où est donc passé l’Amour dans nos relations à l’autre ? Et, par extension, quelle est la place de la spiritualité dans l’a + Lire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 2 ans et 1 mois

    Le petit point noir qui gâche la Vie Il me tient à coeur de parler aujourd’hui du petit point noir qui nous gâche la Vie… ou pas. C’est un choix à réaliser en Conscience. Cheminons ensemble autou + Lire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 2 ans et 1 mois

    En Vérité, ma religion c'est l'Amour Régulièrement, les gens se questionnent et me questionnent sur ma relation à laLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 2 ans et 2 mois

    Vivre le moment présent Que d’invitations de toutes parts à vivre le moment présent, à être dans le momLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 2 ans et 2 mois

    Prisonnier de l'illusion Nous sommes initialement tous Conscients de l’illusion, avant l’incarnation en tout cas. Enfin, j’imagine… Puis, avec la descente dans l’incarnation, l’entrée dans la densité terrestre, les perceptions changent et le souvenir s’évanouit plus ou moins. Cela diffère d’un individu à l’autre en fonction de son expérience, de son karma, des talents qu’il a acquis au fil des incarnations, de son état de conscience du moment ou initial… Certains perçoivent l’illusion à un certain niveau. Mais, l’illusion existe à d’autres niveaux et a des natures diverses. D’ailleurs, il sera plus juste de poser qu’il existe plusieurs illusions. Tout comme il y a plusieurs poupées dans une série de poupées russes. Nous-mêmes sommes prisonnier(e)s de l’une, de l’autre, de plusieurs. Ou, beaucoup, beaucoup plus rare, nous sommes parvenu(e)s à être en marge de toutes ces illusions. Mais là encore, il est fort possible que ce soit ce que nous croyions, mais nous sommes encore bel et bien dans une illusion… différente mais illusion quant même ! Crédits photos : Lætitia Trilleau Dans de bien nombreux cas, nous croyons être en marge, en être sortis. Mais en vérité nous avons plongé dans le bain d’une bien plus grande illusion et nous ferions bien d’être vigilant(e) à ne pas nous y plonger trop profondément au risque de nous y perdre par noyade définitivement. Car, alors, s’en serait fini de nous ! Dans tous les cas de figure, l’illusion est liée à la matière, à sa densité, nous pourrions d’ailleurs poser le postulat que l’illusion est matière. Donc, s’il n’y a pas de matière, il n’y a plus d’illusion direz vous. Et bien oui et non. Sortir de la première illusion : être matière et se limiter à notre corps humain La première illusion consiste à croire que nous nous limitons à un corps et que notre existence se limite aux fonctions de celui-ci. Celle illusion est la première dans laquelle nous plongeons et elle a une raison simple. Si nous croyions pas à cette illusion, il serait bien complexe de s’incarner et de prendre contact avec les foncions motrices de notre corps. Si nous ne croyons pas être cette matière, nous ne pouvons pas l’animer. Cette raison est bête comme choux. Même les personnes télékinésiques vous le diront, si elles ne deviennent par l’objet ou l’environnement autour de l’objet, impossible de le faire se mouvoir. Mais à trop s’identifier à la matière de notre corps, on risque de croire que nous mourrons en même temps que lui perdra vie. Ce qui serait hautement regrettable, vous me l’accorderez (j’imagine… à moins que je m’illusionne). La deuxième illusion : croire que le rêve américain est le but ultime de la vie Cette limitation est totalement liée à la précédente. Je crois alors que le seul but de la vie est de réussir, d’avoir du succès, une forme de puissance. Ou plus humblement qu’une vie réussie est de rencontrer quelqu’un, former un couple, avoir un ou des enfant(s), un lieu de vie, un chien, une voiture, tout un tas d’accessoires de vie, voyager et partir en vacances. Là encore il s’agit d’une illusion bien amère qui s’effondrera en même temps qu’une des pièces de ce château de cartes viendra à se retirer. Alors pour celle ou celui qui est pris par cette illusion, il est fort probable que la dépression l’envahisse au fur et à mesure qu’il ou elle se retire du flux de la Vie en même temps que la déception, culpabilité, sentiment d’injustice ou d’incompréhension l’envahit. Alors, il/elle pourrait profiter de ce tournant, certes douloureux, pour se rendre compte qu’il/elle n’a pas besoin de tout cela. Car tout cela n’est que foutaise et illusion. Troisième illusion : Croire que nous sommes prisonnier d’un système pyramidal manipulé par des élites Attention, je ne dis pas qu’il n’existe pas. Il existe, mais nous n’en sommes prisonniers que pour de faux comme diraient les enfants. C’est comme si ,tous ensemble, on joue à se faire croire que nous sommes enfermés dans cela. Mais nous y sommes enfermés uniquement si on se laisse prendre dans l’illusion de cette limitation virtuelle. Ou, si nous décidons de lutter contre. Car, en luttant contre, nous devenons un met de choix qui va nourrir et densifier cette illusion (cf. Et si nous arrêtions de lutter contre ?) La bonne nouvelle c’est que pour sortir de cette illusion, il suffit de prendre la porte de sortie 😉 Ok, c’est un peu plus complexe que cela. D’ailleurs, évitons de nous tromper de porte. Mais le but réel c’est quoi ? Ce système pyramidal, il existe pour quoi ? Pour éviter de partir dans des explications trèèèèès longue. Je répondrait simplement, peu importe. La seule chose importante est ne pas nous prendre. Mais comment ? Hé bien ne nous laissons pas asservir. Soyons libres ! Ne faisons pas des choix de modes, ni pour se déculpabiliser, ni pour paraitre être une bonne personne, un bon parent, un bon travailleur…. Faisons nos choix en conscience parce que cela vibre juste en résonance avec notre coeur. Le reste, n’a aucune importance. Même le système pyramidal des égyptiens qui est un des pires de l’histoire l’a dévoilé au grand jour. Le plus important, ce sera le poids de notre coeur lorsque nous passerons de l’autre coté. Or, qu’est-ce qui pèse dans notre coeur ? Ce qui pèse, c’est tout ce que nous avons fait à contre coeur, par dépit, ignorance, bêtise, méchanceté, soumission ou asservissement à l’homme ou à un système de croyance. Ce dernier nous poussant souvent à mettre en oeuvre des choses contre nature pour devenir sensément vertueux/se et être reconnu(e) comme tel(le). Quatrième illusion : Croire que nous n’avons qu’une vie Cette illusion est liée et se mélange aux précédentes. Je mets tout de même un bémol avec celle juste avant. Cette croyance, de nos jours semble absolument folle. D’autant plus compte tenu de toutes les preuves collectées et accumulées au fil des années. Et ne parlons pas de celles qui datent déjà de plusieurs siècles ! Même la Bible, le livre de la vie et de la mort, le livre des morts, la Bhagavad-gita et bien d’autres livres sacrés en parlaient déjà. Mais évidemment, il faut savoir plus ou moins lire entre les lignes. Il y a aussi tous les témoignages collectés dans toutes les contrées du monde, qui se recoupent parfaitement malgré les différences de cultures et de croyances. Les traces se retrouvent à des périodes où les différents peuples des continents du monde ne se mélangeaient pas et ne connaissaient pas l’existence les uns des autres. Le fonctionnement du karma implique la réincarnation Evidemment, certaines lois, telles que le karma, que nous avons tous pu observer à un moment ou un autre de notre vie, ne sont pas explicables si on se limite à une seule vie. Dans certains cas, lorsqu’on ne fait pas rentrer la composante de la réincarnation dans les composantes de l’analyse, ça n’a aucun sens, aucune logique. Mais, si on intègre l’hypothèse de la réincarnation, mais si on émet des doutes, alors là, tout est clair, limpide même ! Certains éléments (très nombreux en vérité) s’expliquent par conséquence de vies multiples vécu par l’âme. Par contre, il faut reconnaitre que pour l’ego, il n’y aura qu’une seule et unique vie. D’où la pression qu’il nous met à croire et nous replonger dans la deuxième illusion. Pourquoi ? Parce qu’il a peur de ne pas goûter à toutes les richesses, saveurs et expériences de la vie. L’âme, au contraire, sait que si cela ne se réalise pas dans cette vie, cela pourra se réaliser dans la suivante. Du coup, la réussite matérielle n’a rien d’urgent ou d’important. En plus de cela, elle sait pertinemment que ce n’est pas le but ni la finalité de l’expérience humaine. Sauf, évidemment si c’est ce qui a été décidé comme expérience pour l’incarnation concernée. Pour elle, il n’y a donc pas d’urgence. Le seul point essentiel est de réaliser chaque geste, chaque parole et chaque pensée avec Conscience et vigilance de ce qu’elles impliquent. Cinquième illusion : croire que nous sommes enfermés dans la matrice Comment ça me direz-vous ? On est bel et bien dans une matrice ! Ben oui, mais non. Nous avons toujours l’illusion d’être dans la matrice mais nous n’y sommes plus… enfermés en tout cas. C’est un peu comme lorsqu’on regarde une lumière trop longtemps de façon trop soutenue ou prolongée. Même si nous quittons la lueur des yeux, c’est comme si la source de lumière était encore là alors qu’elle n’y est plus. C’est ce qu’on appelle une réminiscence. Cette reminiscence est visuelle. L’expérience passée a laissé une trace. Mais il existe d’autres formes de reminiscence. Lorsqu’une pression inconfortable a été opérée sur notre corps, avec un poids ou un objet, même si on retire ce poids ou cet objet, on continue de le ressentir encore alors qu’il n’est plus là. Hé bien, nous en sommes là chers amis. Nous avons acquis de vieux réflexes il y a de nombreuses vies de cela et nous continuons à avoir les même réflexes enfermants et limitants. Mais, comment les perdre me direz-vous ? Je n’ai pas de solution miracle mais j’ai quelques pistes : *Remettre en cause ce que nous savons*Challenger nos limites*Avoir la foi et prier pour que notre vision et nos perceptions soient restaurées*Ne pas reproduire “parce que c’est comme ça depuis toujours”*Faire confiance à l’inspiration*Ecouter notre petite voix intérieure qui nous susurre des secrets (pas la grosse trop sure d’elle qui parle tout le temps) Le plus important c’est l’expérience du vivre ensemble, avec Amour et le poids de votre coeur à la fin de l’incarnation. Dit autrement : jouons collectif, soyons fair play, partageons notre passion de la Vie et gardons le coLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 2 ans et 3 mois

    Accepter d'être parfaitement imparfait.e Crédits photo : Lætitia Trilleau Cet article Accepter d’être paLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 2 ans et 5 mois

    Pourquoi accepter d'être vulnérable rend plus fort.e ? La majorité des humains pensent qu’être vulnérable est un signe de faiblesse. A l’instar des larmes qui étaient considérées comme la manifestation de cette + Lire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 2 ans et 6 mois

    Avoir le courage de Vivre en Paix En amont de cet article, je vous propose de regarder la petite vidéo qui aLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 2 ans et 10 mois

    Être dans l'attente Dans l’existence, de nombreuses raisons nous poussent à être dans l’attente… mais pour combien de temps ? Que se passe-t-il du point de vue alchimique ou dans l’invisible lorsque nous sommes dans l’attente ? Comment en finir ou en sortir ? Quel lien existe-il entre attente et patience ou impatience ? Départ pour un petit voyage au pays du temps et de l’immobilité. .stk-b1ad043{height:10px !important} Être dans l’attente, c’est comme être dans une file d’attente ou une salle d’attente Oui, c’est pareil, en différent. Excusez-moi, je n’ai pas pu m’empêcher. 🤭Quand j’expliquais des choses aux adultes étant enfant, cette phrase revenait toujours. Aujourd’hui, j’ai quelques peu cette même position. En effet, je vais vous parler comme une enfant. Être dans l’attente, intérieurement parlant, c’est comme se confiner dans un espace dédié, spécialement créer pour y être en état d’attente. C’est comme être dans une file d’attente ou une salle d’attente. Quand on est là, c’est qu’on attend. Après, ce qu’on attend, on ne le sait pas bien, en tout cas, pas toujours. Et, à l’instar de tout autre espace d’attente extérieur, il y a de nombreuses façons d’attendre. On peut attendre en s’ennuyant, attendre en observant… on peut aussi attendre sans attendre. Oui, en choisissant de s’évader dans notre esprit, de s’occuper à autre chose en se créant de la distraction… ou méditer, réaliser une introspection en surface ou en profondeur… .stk-1f44d0a{height:21px !important} Être dans l’attente avec patience ou impatience ? Nous pourrions légitimement nous poser cette question, et pourtant, elle n’est peut-être pas si justifiée que cela. Pour que la notion de patience ou d’impatience se pose, il faudrait que nous ayons identifié quelques éléments : Nous sommes en attente de quoi ou de qui ? Y a-t-il un délai imparti connu ou une deadline au-delà de laquelle nous devons cesser d’attendre car le délai est dépassé ? Sommes-nous certain(e)s que cela va advenir ? Si nous n’avons pas en main ces éléments, nous ne pouvons pas faire preuve de patience mais uniquement d’espoir ou d’espérance. Car rien ni personne ne présage que ce que nous attendons arrivera ou aura bien lieu. .stk-5ba9817{height:10px !important} Beaucoup d’humains se méprennent au sujet de l’impatience. Si je sais que papa va me donner des bonbons si je fais bien mes devoirs, je peux développer de la patience et de la bonne volonté avec confiance. Mais si je veux des bonbons et que rien n’est établi ni discuté… sur quoi puis-je m’appuyer pour faire preuve de patience ? Sur rien, car il n’y a rien à part mon envie d’avoir des bonbons. Et au fur et à mesure que le temps s’écoule, ma frustration, de ne pas en avoir, grandit. Pourtant, un point s’impose. Ne voyant pas les choses se réaliser, mon discernement devrait m’emmener à me poser une question essentielle : Est-ce qu’au moins j’ai exprimé à papa mon envie d’avoir des bonbons ? Si la réponse est non, je vais probablement pouvoir rester dans l’attente trèèèès longtemps sans aucune garantie de succès. Sauf bien sûr, si nous avons un rituel établit à propos de la distribution de bonbons 😉 Il s’agit alors d’autre chose, d’une autre configuration due à un mode de fonctionnement spécifique entre lui et moi.Dans ce cas précis, il y a quelque chose d’établit, même si c’est plus ou moins fiable, je peux appuyer ma patience sur cette habitude connue. .stk-0e6cf22{height:19px !important} Être dans l’attente du point de vue alchimique Ce qui caractérise au plus haut degré l’alchimiste, c’était la patience. Il ne se laissait jamais rebuter par des insuccès. L’opérateur, qu’une mort prématurée enlevait à ses travaux, laissait souvent en héritage à son fils une expérience commencée et il n’était pas rare de voir celui-ci léguer dans son testament les secrets de l’expérience inachevée. – F. Hoefer 1869 Être dans l’attente, c’est être immobile, la main tendue à attendre qu’on nous donne ce que nous attendons. A l’instar de la statue qui stagne dans une posture immuable. Certains, à force d’attendre, sont morts et ont fini pas se transformer en pierre. Il ne faut pas croire que les pierres n’ont pas de vie… mais c’est une vie très lente ou presque rien ne change ou ne bouge. L’attente est donc un mouvement de quasi-immobilité choisi. C’est une suspension. L’alchimiste ne considère pas l’attente comme quelque chose de signifiant. Par contre, il prend en considération la paresse, représentée par l’argent (en tant que métal) qui peut se sublimer en réceptivité. La paresse se situe sous l’influence de la Lune. C’est un état d’endormissement, d’apathie, de mort. Car tout ce qui n’est pas en mouvement tend vers la Mort. A contrario, ce qui bouge, qui est en mouvement est en Vie. Néanmoins, il faut rester vigilant.e.s car parfois, être dans l’attente peut avoir une autre signification ou utilité. .stk-74821cb{height:18px !important} Être dans l’attente pour que la vie puisse faire son oeuvre. Ici, il s’agit de tempo (celui de la Nature) et de laisser un cycle se dérouler. L’invitation, alors est de ne pas intervenir si cela risque de court-circuiter, d’interférer ou de porter préjudice à un processus en cours. Pour imager, je vais prendre un exemple simple : Je souhaite créer un gâteau pour pouvoir partager et offrir un moment de plaisir avec des personnes chères à mon coeur. J’imagine mon gâteau. Je choisis les attributs et caractéristiques que je souhaite pour lui (moelleux, au chocolat, avec des petits cubes de gingembre confit, nappé d’une gelée au citron mentholée ou surmonté d’une fraise…). Ensuite, il me faut me procurer les meilleurs ingrédients nécessaires pour la réalisation de la recette. Ou, s’ils ne sont pas disponibles, de nous adapter et de les substituer par d’autres. Gardons en mémoire que pour réaliser un oeuvre, il faut composer avec l’imprévisible et le sublimer. Il n’est pas envisageable de stopper notre processus de création au premier pépin. Faisons preuve de créativité 🙂 .stk-adec99a{height:18px !important} Après le gros oeuvre, passons aux finitions pour y insuffler du coeur et de la Beauté Une fois cette étape réalisée, je prends le temps de les accommoder en conscience en y mettant le meilleur de mon coeur. Entre-temps, je préchauffe mon four.Intérieurement, je prie pour qu’il soit succulent, qu’il ravisse mes convives et réchauffe leur coeur. Puis, quand le four est à bonne température j’y enfourne ma préparation. A ce moment-là tout le meilleur de ce que je pouvais apporter y est. Et, à partir de là, je suis dans l’attente que le temps de cuisson soit écoulé. Il m’est possible de m’occuper à autre chose : dresser ma table, faire un peu de ménage, méditer… Mais, si j’ai un problème avec le fait d’être en attente. Si je suis fait preuve impatience, que je ne laisse pas le temps faire son oeuvre et que je sors mon gâteau du four avant que le temps de cuisson nécessaire soit totalement écoulé. Ou que, par curiosité, j’ouvre le four avant cela, que va-t-il se passer ? Mon gâteau va retomber et cirer. Tout mon projet est donc à l’eau. Mon intention est alors corrompue, sabotée par mon impatience ou ma curiosité. A ce moment-là, peu importe à quel point mon intention était belle, à quel point mon initiative était pure et venait du plus profond de mon coeur, la beauté de mon élan intérieur… En n’ayant pas respecté le tempo de la Vie et de la Nature, j’ai tué mon beau projet. Ici, il aurait mieux fallu que je reste immobile. Il aurait été bien plus bénéfique de m’asseoir face à mon four et contempler mon oeuvre. L’immobilité et ma capacité à être dans l’attente aurait été une bénédiction pour pouvoir matérialiser et donner vie à mon intention et pouvoir goûter à sa préciosité. .stk-a9482a6{height:21px !important} Quand je me mens et qu’en vérité je suis dans la suspension et non dans l’attente Il est une situation bien plus pernicieuse que les autres en matière d’attente. Je la nomme l’attente suspensive. Cette attente est parfaitement malveillante pour Soi et pour les autres. Elle se met en scène lorsque nous sommes dans une situation complexe dont nous ne souhaitons pas assumer les conséquences. Dans ce contextes, nous cherchons ou plutôt attendons que la Vie puisse amener les contexte nécessaire pour qu’un ou une autre prenne la décision ou fasse un choix à notre place. Cela s’appelle une stratégie de fuite ou d’évitement. Cette situation d’attente suspensive est très néfaste pour plusieurs raisons : Nous n’affrontons pas la réalité. C’est une fuite. Nous refusons d’user de notre libre-arbitre. De ce fait, nous ne prenons pas responsabilité. Cela fait de nous un passager inactif de la vie. Si personne n’en vient à prendre la décision à notre place, nous pouvons attendre toute notre vie que la suspension s’arrête ou trouve une issue que nous espérons favorable mais que ne le sera peut-être pas Par ailleurs, cela témoigne aussi de notre penchant à donner notre pouvoir à l’autre. Nous nous positionnons comme victime inactive. Ce qui nous fait, dans la plupart des cas, adopter un comportement passif-agressif. Notre position est alors celle d’une victime ayant posé sa tête sur le billot soumise à la bonne volonté du bourreau-tout-puissant. S’il choisit de nous couper la tête, nous serons enfin libéré(e)s de notre position. Mais, s’il ne se décide pas… Le temps passant, là aussi, notre frustration et notre colère grandit. Nous subissons notre vie en la résumant à une fatalité du destin .stk-6fc98af{height:21px !important} Être dans l’attente est donc un avantage et un inconvénient Comme pour toute autre chose, la mesure est notre meilleure amie. Pour cela, à nous de nous observer en conscience et avec discernement. Si nous parvenons à être honnêtes avec nous-même et à faire preuve de rectitude. Alors, dans cette configuration uniquement, nous serons en mesure de jauger de quelle manière nous sommes dans l’attente et quelle est l’utilité ou le but de cette attente. Pourquoi elle est là ? Pour quelle raison nous sommes entrain de l’expérimenter ? Nous pourrons évaluer si elle est juste et utile ou si elle est absurde et/ou dysfonctionnelle. Mais ne nous leurrons pas, même dysfonctionnelle, elle a une utilité. Ensuite, une fois que nous aurons collecter les éléments, nous pourrons réaliser une ou des introspection(s) et : – soit poser des choix, des paroles, des actes, – soit, si nous ne sommes pas prêt(e)s à passer le seuil du changement (passer à l’action) choisir de nous faire accompagner pour trouver la motivation nécessaire, lever les freins, révéler des difficultés que nous ne parvenons pas à percevoir seul(e)s…etc… – ou choisir de ne rien faire et de laisser, le temps, la Vie ou la Nature faire son oeuvre car il n’y a rien d’autre à faire que lâcher-prise dans la foi. Si vous ressentez que vous avez besoin d’un accompagnement, et si vous souhaitez que je sois votre accompagnante, vous trouverez toute information utile sur cette page Dans tous les cas, je nous souhaite de réussir prendre responsabilité pour être le maître-créateur de notre vie en reprenant les rênes de notre existence, un peu plus à chaque instant. Ainsi, nous retrouverons la Joie de croquer la Vie à pleines deLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 2 ans et 10 mois

    Choisir la Vie et choisir de Vivre en Amour Choisir la Vie n’est pas un choix anodin. Pour autant, ce choix nous est demandé depuis le début; le début de notre vie, dès notre premier souffle. Et il se représente à nous perpétuellement. Par ailleurs, il est mis en exergue dans les moments de difficultés, de crise, de souffrance, de désaccord… ou d’autres situations de déséquilibre, d’inconfort et de perte de repères. Choisir la vie est un choix qui n’a rien d’anodin Beaucoup d’entre nous, la majorité même, n’ont pas choisi la Vie. Pourtant, ils vivent me direz-vous. Hé bien oui et non. Disons qu’ils existent. Ils se réveillent le matin, font leurs tâches, tiennent plus ou moins bien leurs obligations et se couchent. Et ils recommencent le lendemain. Mais, de là à dire qu’ils vivent… c’est autre chose. Vivre, c’est être dans le courant de la Vie. Choisir la Vie, c’est choisir d’être en Vie, choisir de se connecter à la Source de Vie, s’y abreuver et se laisser emporter joyeusement dans son courant. C’est laisser la vie naitre en nous et y circuler. Il s’agit aussi d’accueillir ses courants et effluves qui viennent de l’extérieur et les laisser nous traverser, nous nourrir, nous transformer… La Vie est faite d’un mouvement perpétuel Choisir la Vie, c’est accepter le changement. Car la Vie est intrinsèquement un changement perpétuel fait de cycles et de répétitions. Ainsi, le jour succède à la nuit qui succède au jour. Dans le prolongement de ce rythme qui se reproduit sans cesse et au fil des changements de lune découlent les changement de saisons. L’humain, tout comme le fruit de l’arbre nait, grandit, murit, se flétrit et meurt; Laissant derrière lui des graines qui permettront de faire naitre d’autres humains qui suivront le même cycle et offriront d’autres fruits et d’autres graines. Et son corps se désagrègera en compost nourricier pour le tout d’où tout provient. Mais, heureusement, la Vie ne se limite pas à cela. Celui qui est éveillé et perçoit le divin en toute chose s’émerveille de sa beauté, des cadeaux qu’elle offre, des enseignements et apprentissages qu’elle propose à chaque instant. Choisir la Vie, c’est choisir de vivre en Amour Attention ! Pas l’Amour dans le sens de choisir d’être en couple. Absolument pas. D’autant plus que beaucoup de couple ne sont pas ensemble par Amour. Ils sont ensemble par habitude ou commodités. D’autres vivent côte à côte, pourtant ils ne se rencontrent pas. Ils ne sont pas en Amour. Oui, enfin, entendons-nous bien, avoir des relations sexuelles plus ou moins pour le plaisir ou par obligations conjugales, ce n’est déjà pas rencontrer l’autre. Et, il y a encore du chemin avant d’en arriver à être en Amour pour l’autre ou plutôt avec l’autre. Choisir l’Amour, ici c’est choisir de faire partie du tout est contribuer au bien de l’Ensemble. C’est accepter de faire sa part inconditionnellement, d’oeuvrer à notre niveau et offrir cela sans rien attendre en retour. C’est un don de soi dans lequel nous manifestons notre Originalité à travers notre Art d’être Soi. Or, cela aucun autre être ne peut le réaliser à notre place. Entendons-nous bien. Il ne s’agit pas de faire et encore moins d’un faire pour mais d’être dans la manifestation de notre essence en toute spontanéité. Cela n’a rien de compliqué ou de difficile. Il n’y a rien de plus facile pour l’être. C’est naturellement et spontanément que nous sommes ainsi lorsque les “on doit” et “il faut que” sont relégués au banc de touche.  C’est en cela que choisir la Vie c’est choisir de vivre en Amour. Vivre en Amour, c’est vivre en lien avec l’autre, inconditionnellement, en donnant le meilleur de soi et en remerciant la vie de ce qu’elle nous offre. Cela revient à choisir de vivre porté(e)s par un élan de gratitude perpétuel qui vient du coeur. Attention, quand je mentionne un élan de gratitude perpétuel, cela ne veut pas dire nier ce qui ne nous convient pas ou nous déplait, ni faire semblant ou essayer de se convaincre que tout est bon pour nous même lorsque ça ne l’est pas. Absolument pas. Loin de moi cette idée farfelue qui fait souffrir l’être le plongeant dans un déni dénaturant. Il est incontournable de vivre avec discernement, clarté et reconnaitre, dans une mesure d’horloger pour chercher toujours plus de justesse dans notre vie. L’élan de gratitude concerne tout ce que la vie nous donne de bon pour nous mais aussi les expériences qu’elle nous offre pour pouvoir identifier ce qui ne l’est pas ou plus. Car, ainsi, nous pouvons user de notre libre-arbitre pour choisir de nous départir des ces éléments afin de faire de la place pour accueillir du mieux ou des éléments qui sont désormais davantage en résonance avec qui nous sommes dans l’instant présent. Choisir la Vie, c’est choisir la Nature et le naturel Finalement, choisir la Vie, c’est s’extirper du pressoir de la société fait des diktats du monde pour retrouver notre Nature et notre façon unique d’être soi dans la plus grande simplicité du naturel. Pour cela, nous retirons définitivement de notre vie les “Comment je dois faire pour être conforme aux, ou dans la norme des, attentes des autres ?” “Qu’est-ce que les autres vont en penser?”… Une des étapes essentiels est donc de retirer les critères d’évaluations habituels pour ne conserver que le degré de joie et d’élan que cela donne à notre coeur. C’est aussi se départir de l’importance que nous donnons au jugement et au regard des autres. Choisir la Vie, c’est finalement retourner à la vie simple et au plaisir d’être en vie en manifestant ce qui nous met naturellement en Joie. C’est accepter de prendre le temps de nous nourrir en cultivant la pétillance en nous. C’est s’autoriser à donner vie à des activités qui nous vivifient. D’ailleurs, le verbe vivifier est essentiel ici. Car, vivifier c’est ce qui stimule la vie, ce qui la fait grandir, ce qui l’expanse, ce qui lui donne un mouvement… bref ce qui donne vie à la vie. Et dans cette Vie grandissante, nous construisons le beau, le vrai, le merveilleux… Ainsi, nous nous nourrissons et faisons grandir la vie en nous. Et à travers nous et notre Art ainsi mis en oeuvre, nous permettons à d’autres, de se re-connecter à la Vie à leur tour à la Beauté, à la Vérité, au Divin et ainsi de nourrir en eux cette partie éternelle qui ne meurt pas. Il s’agit donc bien d’un cercle vertueux dont il s’agit. Chacun est libre de s’y engager ou pas. Moi, j’ai fais mon choix : j’ai choisi de choisir la vLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 2 ans et 11 mois

    Comment trouver du réconfort ? Le besoin de soutien et/ou de réconfort sont deux besoins que nous avons tous rencontrés ou que nous rencontrerons à un moment oui un autre de notre existence. Ces besoins n’ont pas tous la même source. Mais ont-ils la même voie de résolution ? C’est une question légitime. Pour pouvoir y répondre avec justesse, il est nécessaire de partir de quelque part, mais d’où ? de la notion de confort, de la notion de manque ou de la source du problème ? D’ailleurs, y-a-t-il nécessairement un problème à la source du besoin de réconfort ? La réponse spontanée qui me vient est non. Pourquoi serait-ce nécessairement lié à un problème ? Nous sommes, au moment où j’écris cet article, le 2 octobre, l’automne a démarré il y a quelques temps. Les jours se raccourcissent et les soirs sont plus frais. Un besoin de réconfort plus ou moins important se manifeste naturellement. Ce qui peut éventuellement révéler certaines difficultés cachées. Mais ne nous leurrons pas. Si c’est le cas, c’est qu’elles étaient déjà là. Or, dans l’ouverture et la chaleur de l’été, elles étaient diluées. Nous les percevions simplement moins ou de manière moins contraignantes. Elles étaient donc suffisamment imperceptibles pour demeurer inconscientes ou presque. Est-ce une bonne ou une mauvaise chose ? A mon sens ni l’un ni l’autre. Dans les deux cas, il y a un avantage et un inconvénient. Lorsque notre besoin de réconfort provient de difficultés inconscientes ou invisibles Dans le premier cas, nous ne percevons pas nos difficultés, elles nous sont invisibles ou presque… nous continuons donc à les ignorer. Elles sont pourtant bien là et grandissent à leur rythme mais nous n’intervenons pas car nous n’en avons pas conscience ou presque. En tout cas, il est aisé de faire comme si elles n’existaient pas. Alors nous profitons pleinement de la douceur de l’été. En effet, elles n’interfèrent pas dans le quotidien. Il est donc aisé de les nier ou de ne pas les percevoir. Pourtant, pendant ce temps, elles tissent leur réseau. Elles étendent leurs racines et les font évoluer vers les profondeurs. Bref, elles se font leur place en toute liberté. Si nous souhaitons trouver du réconfort suite à une difficulté consciente Dans le second cas, elles étaient perceptibles et nous avons commencé à prendre conscience de l’existence de ces difficultés. Nous sommes conscient(e)s de nos difficultés. Elles perturbent notre quotidien. Peut-être qu’il s’agit uniquement d’un mal-être latent déjà perceptible dont l’origine n’est pas identifié. Pour autant, le fait qu’il soit connu/vu, nous permet d’être plus vigilant(e)s ou attentif/ve(s). Ainsi, nous pouvons étudier des pistes, faire des suppositions et peut-être commencer à mettre des actions en oeuvre. Ou, comme elles étaient trop diluées, nous en percevions difficilement les délimitations. Mais nous avons pu commencer à porter notre regard sur ces difficultés et à y être vigilant(e)s. En se condensant, grâce au mouvement de repli saisonnier, nous allons pouvoir opérer plus facilement. Les délimitations seront plus claires. C’est comme pour l’eau, lorsqu’elle est sous forme de vapeur comment dire où elle commence et où elle finit ? Cela devient plus évident lorsqu’elle se condense sous forme liquide. Et ses contours sont parfaitement nets lorsqu’elle est condensé en glace. Maintenant, il n’y a plus qu’à, ou presque, car nous sommes déjà sur le pont, comme on dit. Ce qui change aussi, dans ce second cas, c’est que comme nous sommes conscient(e)s ces difficultés ne peuvent pas se répandent en tout impunité dans l’ombre. Car, en observant, nous apportons de la lumière et cela réduit leur champ d’action. Bon, j’avoue, parfois, ce n’est pas si simple. Si nous avons besoin d’un regard extérieur ou d’un soutien, soyons libre de demander un accompagnement. En tout cas, il est rarement nécessaire de savoir pourquoi nous avons besoin de réconfort pour pouvoir y remédier C’est le mental qui veut savoir et comprendre mais c’est le coeur qui a besoin de réconfort. Comprendre ou savoir pourquoi ne permettra nullement de résoudre la situation. Cela peut permettre d’identifier le déclencheur, s’il y en a un. Ce qui n’est pas toujours le cas. Ou bien de rencontrer la difficultés qui se trouve en amont. Mais, la rencontrer n’a d’utilité que dans le cadre d’une psychanalyse. En dehors de mettre le doigt sur l’origine présumée, là encore, cela ne règlera pas le problème et nous risquons de nous enliser dans une situation insoluble. Le plus important dans tout cela reste de réussir à identifier quel est le besoin qui demande à être rencontré. Ensuite, il suffit de répondre à ce besoin d’une manière ou d’une autre. Ici, les possibilités sont infinies. Comment répondre à un besoin de réconfort identifié ? Chaque être a sa propre réponse idéale. D’ailleurs, il est courant que celle-ci change au fil du temp, de l’âge, des saisons… Mais il existe des réponses assez communes abordées ci-dessous. .stk-21cee42{height:27px !important} Collecter et donner de la chaleur humaine Partager un temps chaleureux avec des proches, des amis, notre compagne/on… Faisons des câlins avec nos enfants ou nos animaux, eux aussi on probablement besoin de cela. Mais gardons-nous bien de leur imposer. Chacun à son rythme et son tempo. Et, ne rentrons pas dans le piège de s’auto-enfermer dans l’impossibilité de réaliser une des options de réponse. Si je n’ai pas de cheminée, vouloir me pelotonner chez moi, au chaud devant la cheminée n’est en rien ma réponse idéale. Bien au contraire, en me limitant à cela, je me mets consciemment dans une situation de caprice enfermante. Pourtant, je peux choisir de profiter de la cheminée d’un(e) ami(e), proche, parent ou autre… Pourquoi ne pas prévoir de louer un chalet en montagne ou une chambre avec cheminée si j’en ai le temps, l’envie et les moyens ? .stk-7712653{height:23px !important} Lorsque nous avons un besoin, il existe un large panel de possibilités d’y répondre. Si je me focalise sur une seule option, c’est que je tiens à rester dans ma difficulté et à m’y enfermer. Alors, soyons honnêtes, conscient(e)s et responsables de nos choix. J’y reviendrai un peu plus bas. .stk-149bbf4{height:22px !important} Aménageons des temps de cocooning au chaud Cela peut se manifester par un bain ou une douche chaude, un temps près du feu, sous un plaid ou sous la couette. Mais c’est aussi aller au spa ou profiter en s’offrant de riches et savoureux moments au soleil ou à mitonner de bons petits plats ou à faire des gâteaux… Ne nous limitons pas au clichés ! Et, surtout, n’attendons pas que quelqu’un prépare une surprise en ce sens pour nous ou devine que nous avons besoin/envie de cela. Mettre en oeuvre ces temps de cocooning au chaud, c’est une façon de prendre soin de nous-même et de mieux nous aimer. Cela n’a pas de prix et nous préserve de nombreux problèmes et désarrois. Le réconfort est un appel à la chaleur et au confort Tout ce qui est lié à ces deux éléments, à l’un ou à l’autre est bon à prendre. Ainsi s’offrir un auto-massage avec des huiles chaudes peut-être s’avérer très efficace. C’est aussi le cas pour une boisson chaude. Il faudra être vigilant(e)s tout de même si cela se transfère sur de la nourriture sucrée ou très grasse ou encore une autre forme d’addiction comme les relations kleenex ou la multiplication des rapports intimes “mécaniques” ou la fuite de la réalité via les jeux ou les écrans… Tout cela s’apparente à des stratégies d’évitement. L’addition n’existe que pour créer une diversion. Pour répondre au besoin de réconfort, ne confondons pas réponse au besoin et caprice de l’ego Vouloir absolument choisir la solution qui n’est pas possible et qui est hors de notre porter, c’est faire le choix de s’enfermer dans l’inconfort pour répondre à un caprice de l’ego. Ainsi, si je choisi comme solution à mon besoin de réconfort de lire un livre au chaud sous la couette avec la tête posée sur l’épaule moelleuse de mon compagnon alors que je suis seule depuis 10 ans. Ce n’est pas une solution réalisable, c’est un caprice bloquant que je choisis de m’infliger à moi-même consciemment ou inconsciemment. Alors, certes, il faut avoir la vertu d’être honnête avec soi-même et ne pas faire l’enfant. Car oui, les enfants font ça; je le vois régulièrement. L’un veut un câlin là maintenant, tout de suite, pour être réconforté. Mais son frère n’est pas disposé ou disponible pour un câlin. Lui-même ayant un besoin d’être seul, relié à lui-même à ce moment-là. Alors ça râle et ça se dispute. Car le premier veut imposer son câlin à l’autre qui n’en veut pas. Pourtant, il existe d’autres possibilités : moi, je suis disposée à le partager. Mais non, l’enfant fait un caprice pour partager ce câlin avec son frère. Il me faut donc jouer mon rôle de maman et expliquer que non, on ne peut pas exiger cela. C’est important que les parents expliquent cela clairement. Cela évite la survenue de déboires plus graves par la suite. Vouloir et exiger un câlin, enfant, peut facilement se transférer plus tard vers d’autres dérives. Dans le domaine sexuel en grandissant, par exemple, malheureusement. C’est aussi un bon moyen de préserver l’enfant de s’inscrire dans une dépendance affective. Car si j’apprends tôt à trouver des solutions de câlinage et de réconfort en toute autonomie, cette capacité-ressource me sera acquise pour le reste de ma vie. Réconfort inattendu dans des circonstances et un lieu peu favorable Nous ne sommes pas toujours au bon endroit, au bon moment. En tous cas, nous nous plaisons à le croire. Pourtant, cela n’empêche que nous avons tout de même les moyens de répondre à nos besoins légitimes. D’autant plus si nous nous y autorisons et si nous sommes de bonne volonté. J’aimerais finir cet article par un témoignage. Lors d’un des plus difficiles moments de ma vie, à un moment où tous les éléments autour de moi conspiraient pour m’éviter toutes possibilités d’obtenir du réconfort, le hasard l’a fait venir à moi. A ce moment-là, mes journées se ressemblaient et se limitaient à faire une heure de route, chercher un stationnement pendant une heure en vue d’arriver au plus tôt à l’hôpital pour être avec mon nouveau né que je n’avais, au début même pas la possibilité de toucher. Mais je tenais à être là, présente, intensément pour lui. Alors même que tout autour de moi, mon entourage s’effondrait. Il ne pouvait donc être d’aucun réconfort. La seule chose que nous aurions pu partager, c’est de la tristesse, un sentiment d’injustice, de la colère, de la compassion, mais pas un véritable réconfort. Or, ce qui m’a apporté le plus de réconfort à ce moment-là m’a été offert par le service de réanimation néonatale du CHU de Nice qui était en partie responsable de la situation dramatique dans laquelle je me trouvais. Cette source de réconfort inestimable était un cd musical de Stéphane Nicolettos “chante des mots tout doux”. Ce cd, je l’ai retrouvé 8 ans après et la magie opère toujours. Cette douceur, cet amour qu’il transmet est un bonbon pour le coeur. Je tenais par ce témoignage à remercier cet artiste et toutes les personnes qui ont contribué à la création de ce cd. De tout mon coeur merci. Je tiens d’ailleurs à préciser qu’à ma connaissance les personnes engagées dans ce projet me sont inconnues. L’Art, recèle de belles sources de réconfort quel que soit la forme qu’il prend. Quand cet Art est inspiré, sa douceur et sa chaleur peuvent même être divines. Autorisons-nous à être surpris.e.s par les cadeaux réconfortants de la vie. Cela peut-être de trouver un pull chaud resté sur une banquette ou un coffre de voiture, de tomber sur des baies ou des fruits sauvages à un moment opportun 🍓🍏🍇 Je souhaite, à chacun de nous de découvrir, par hasard et par le don, une ou des sources précieuses de réconfort. Je vous souhaite une chaleureuse et douce journée.Lire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 2 ans et 11 mois

    Je ne suis personne Ceci est une lettre ouverte inspirée, reconnaissant la grandeur desLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 3 ans et 1 mois

    On dit, très justement, que l’avenir appartient aux audacieux. Mais aussi que la réussite appartient à ceux qui se lèvent tôt. Alors, est-il possible de trouver un lien entre les deux ? Qu’ont-ils de partic […]

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 3 ans et 2 mois

    La dure place de la compagne ou compagnon de flamme jumelle Dans cette histoire de flamme jumelle, il y un(e) oublié(e). Il y a un acteur de la dynamique qui est trop souvent mis de coté. Il s’agit de la compagne ou d + Lire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 3 ans et 2 mois

    Être en dévotion Parfois, je suis surprise par la Vie alors que j’accueille l’inspirationLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 3 ans et 4 mois

    Parlons d'amour inconditionnel Au travers des différents articles et conférences que j’ai eu la chance dLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 3 ans et 6 mois

    J'aimerais amener plus de spiritualité dans ma vie… En général, cette phrase se poursuit par un “mais avec [mes enfants / mon mari/ mon travail / mon père ou ma mère ou mon frère malade(s)/toxique(s)/dépendant(s) / mes responsabilités / tâches … ] je ne peux pas, je n’ai pas le temps.” Et bien, aujourd’hui, j’écris pour nous offrir une bonne nouvelle : tous ces éléments n’empêchent en rien d’apporter davantage de spiritualité dans notre vie. Au contraire ! Mais comment faire pour apporter, dans ce cas plus de spiritualité dans ma vie ? Tout d’abord, il n’y a rien à faire pour amener plus de spiritualité dans ma vie, il y a juste à Être. Oui, elle est facile celle-là ! Je suis convaincue que vous l’avez déjà lue et entendue un paquet de fois. Et ce qui est mignon, c’est qu’au-delà de la phrase, nous ne sommes pas très aidé.e.s pour mettre cela en oeuvre. Je ne vais pas ici nous offrir un accompagnement, car cela ne se lit pas, ça se vit. Chaque être vit une expérience unique conditionnée avec une multitude de paramètres. Un texte n’offre pas la possibilité de couvrir toute cette vastitude vivante et vibrante. Néanmoins, des pistes de réflexion ou d’introspection nous sont offertes ici pour que nous puissions faire certains choix et mises en oeuvres ou de réaliser des expérimentations. Si toutefois allez plus loin nous anime, requérir un accompagnement est une possibilité 🙂 … ou pas selon nos choix. Je suis maman et j’aimerais amener plus de spiritualité dans ma vie… Contrairement à ce que nous pourrions penser, élever nos enfants est une tâche hautement spirituelle. Bien plus essentielle que ce que la société veut bien reconnaitre. Il n’y a rien de plus important que cela si nous nous y attelons en conscience dans la Joie et l’Amour. Même si c’est difficile, compliqué, fatigant, exténuant. Car c’est une mission extreme qui demande que nous donnions et partagions beaucoup de nous-mêmes. Ce don de Soi à l’enfant sera bénéfique s’il est vrai, plein, authentique et non-illusoire. Ne nous leurrons pas ! Nous ne sommes pas parfaits mais si notre intention véritable. Si nous nous investissons à donner et partager le meilleur de nous-même pleinement, totalement et sans compromis, en s’oubliant sans s’oublier et en s’offrant sans sacrifice inutile, alors nous tenons le bon bout. Dieu et ses anges nous aiderons à combler les vides si nous sommes dans l’Amour en confiance et en Conscience. Il y a un message particulier pour tous les papas et mamans, mais surtout pour les mamans aujourd’hui : Pour amener davantage de spiritualité dans ta vie, dédie-toi à être pleinement en Amour pour ton/tes enfants. Sois présent(e) à lui/elle/eux/elles. Accompagnes-le/la/les à être Soi sans trop l’aider pour ne pas interférer.Aider, parfois, entrave la Nature alors ne sois pas interventionniste mais présent(e) et soutenant(e). Sois un témoignage vivant de l’Amour. Et, quand tu te perds, prends un peu de distance, un peu de temps pour mieux revenir. L’objectif étant d’apprendre à retrouver cet état de Paix éclairée plus rapidement et plus facilement lorsque nous nous en éloignons. J’avais commencé à aborder cela dans l’article : Prisonnier d’être indispensable, lors de la Web conférence Odyssée magique de transmission de la Vie et les ateliers qui suivirent. Nous sommes les semeurs de graines pour l’avenir des générations futures. Soyons responsables ! Les parents ont une merveilleuse et très importante mission : préparer les enfants de la génération à venir. Ce sont ces enfants qui changeront la donne. Mais ce sont ces adultes, parents, éducateurs, accompagnants… qui préparent le terrain. Or, les parents, ont un rôle encore plus essentiels, en se transformant, en se sublimant, ils offrent un potentiel à leur progéniture. Ensuite, ils seront un témoignage vivant pour leur enfant. Leur état d’être, leur façon d’être, de parler, d’écouter, de mettre en oeuvre, d’être présents, d’aimer ou de mal aimer… tout cela est un trésor ou une gangrène. Commençons à être présents pour nos proches ou notre prochain … plutôt que de croire qu’un séminaire, une conférence, une formation, un texte… apportera plus de spiritualité dans notre vie. La spiritualité ne doit pas être un échappatoire (il y a les réseaux sociaux pour ça lol. Je n’ai pas pu m’empêcher cette boutade 😅 pardon 🙇🏻‍♀️) ou une espèce de solution. La psychologie, parapsychologie, la fausse spiritualité, l’ésotérisme… sont suffisamment nombreux à proposer une multitude de solutions, rituels, méthodes, techniques… ou la psychanalyse pour comprendre pourquoi. Mais les “pourquoi c’est comme ça ?” n’offre que rarement des portes de sortie. La spiritualité est la Vie et elle est simple (cf. La spiritualité est simple). Tout le reste n’est pas de la spiritualité au pire, si je puis dire, c’est de la parapsychologie et cela ne sert qu’à nourrir votre intellect… et aucunement votre âme. Au mieux cela fera grandir chez nous un ego spirituel qui est un poison pour l’être. Pas sure que ce soit mieux… chacun fait ses propres choix. La spiritualité commence par la présence véritable pour être avec l’autre en s’ouvrant à l’autre à coeur ouvert et l’observation. Etre ouvert et en présence n’est pas une tâche facile et en même temps, c’est très simple. Mais l’humain a peur d’être blessé, d’être à découvert… et pourtant, cela devrait être naturel… d’autant plus avec nos proches. Or, c’est tout le contraire. Pourquoi ? Parce que nos proches ont une valeur sentimentale pour nous. Ils nous touchent donc plus profondément. Rien que réussir à se montrer vulnérable est une grande tâche spirituelle qui demande une grande maturité. Cela demande de dépasser la peur. Alors comment amener concrètement plus de spiritualité dans ma Vie ? En apprenant à ouvrir notre coeur et à partager avec l’autre. Partageons la Beauté de la Nature, de l’Art. Osons être nous même pour qu’il puisse suivre notre exemple est être Soi plutôt qu’un masque social politiquement correct. C’est ainsi que nous indiquons le chemin pour devenir divin. Concrètement, la spiritualité est disponible pour tous à tout moment de la Vie. A nous d’apprendre à cueillir les enseignement et les apprentissages vivants qui sont offerts à nous à chaque instant. Osons être, faire des choix. Arrêtons de vouloir aider les autres alors que nous n’avons pas commencé à nous aider nous-même. Oui, cela veut dire commencer par penser à Soi. Mais pas de façon egoiste et pas pour ne pas être egoiste. Simplement parce que c’est juste. Comment apprendre à quelqu’un à danser si nous ne savons pas danser. La vie n’est pas une théorie, elle se vit en pratique. Dans l’avion, on nous dit bien : “en cas de dépressurisation, mettez votre masque à oxygène avant d’aider les autres à le faire”. Pour amener plus de spiritualité dans notre vie, c’est pareil. Commençons par nous avant de vouloir aider les autres. C’est d’ailleurs en s’aidant nous même dans notre coeur et notre âme que nous pourrons aider les autres. ce n’est pas en les aidant. La spiritualité est pleine de subtilité. Lorsque nous avons un parent malade ou fragile, ce n’est pas en étant épuisé(e) à son coté que nous l’aidons le mieux. Il vaut souvent mieux trouver un relai pour pouvoir être vraiment présent(e) et plein(e) de vie lorsque nous sommes à son côté, c’est en partageant cela que nous l’aiderons. Ce n’est pas en partageant fatigue, inertie et tristesse. Cela vaut aussi lorsque nous sommes en charge d’un enfant. Chaque matin, à chaque instant, nous devrions nous poser la question de notre météo intérieure plutôt que de se questionner de la météo extérieure. Quel est mon état d’être aujourd’hui ? Comment cela vivre à l’intérieur de moi ? Et, ensuite faire les choix qui s’imposent. Je me sens fatigué(e) ? Ok, alors commençons par une activité de ressourcement. Nous avons tous nos propres activités de ressourcement à réaliser seul(e) ou avec un proche. Apprenons à composer avec les éléments et possibilités à notre disposition avec inspiration et créativité. La spiritualité c’est cela aussi. Pour cela, il nous faut accepter ce qui est. Même et surtout si ce n’est pas comme nous l’aurions voulu. Cela demande de vivre dans l’acceptation. Je dis bien l’acceptation et non le renoncement. C’est aussi parfois ne pas savoir, ne pas avoir de solution et s’abandonner. C’est choisir d’arrêter d’être sérieux pour être Vrai(e). Mais aussi ne pas se prendre au sérieux tout en étant dans une parfaite rectitude et dans la Joie. Bref, il y a de quoi faire ! Or, chaque expérience que nous offre la Vie existe pour que nous puissions nous élever. L’apprentissage spirituel à réaliser peut-être : Apprendre à faire un choix en conscience Sortir du jugement et du besoin de justice pour vivre dans la justesse S’aimer pour mieux aimer et être aimé(e) Se re-connaitre pour ne plus avoir besoin de reconnaissance Etre présent(e) évidemment S’abandonner au lâcher prise, lâcher le contrôle sans devenir passif S’exprimer avec bienveillance et vérité Etre Soi et s’assumer dans la Joie et la douceur S’écouter sans s’écouter Voir au-delà de l’illusion Vivre de spiritualité sans vouloir vivre de la spiritualité (sinon, nous serions foutus) Trouver la Paix en Soi pour être en paix même dans les situations de stress … Il n’y a pas de limitation en dehors de celle de notre mental à voir, entendre et reconnaitre ce qui nous est offert. Commençons par nous demander si nous sommes vraiment présent à l’autre et répondons en toute honnêteté. C’est entre nous et nous. Nous ne pourrons leurrer que nous-même. Si c’est le cas, en quoi ce mensonge nous sert-il ? Si nous répondons que nous ne sommes pas pleinement présent à l’autre demandons-nous pourquoi ? ou pour quoi ? De quoi aurions-nous besoin pour faire autrement ? ou comment répondre à ce besoin ? Autrement, à un autre moment, en créant un autre contexte… et expérimentons, ajustons, rectifions… Acceptons que : C’est ainsi, petit à petit, pas à pas, que j’apporterai réellement plus de spiritualité dans ma vie. Car c’est au quotidien que j’apporterai réellement apporter plus de spiritualité dans ma vie au jour le jour. Une opportunité m’est constamment offerte au moment présent. A moi de la percevoir et de la reconnaitre. Plus de spiritualité dans ma vie, cela passe par l’observation de moi-même. C’est-à-dire en ramenant mon regard sur moi. Pas un regard de jugement mais un regard bienveillant pour observer comment je fonctionne. Et pour appréhender ce qui se joue en moi. Découvrir plus de spiritualité dans ma vie, c’est apprendre à explorer mon univers intérieur quand je suis seul(e) ou avec d’autre(s). L’autre est alors le miroir amplifiant de mes zones sombres. Je peux lui offrir ma gratitude pour cela même si c’est difficile souffrant, inacceptable, injuste… A moi ensuite de rectifier la situation en faisant des choix en verbalisant des paroles justes et impeccables et en mettant en oeuvre des actions en conscience. Bref, là encore par mes choix assumés et responsables. Voilà, j’espère que ce partage nous sera bénéfique dans notre cheminement spirituel. Pour rappel, il n’y a pas d’urgence. Il faut juste être dans le tempo de Dieu pour que la danse de la Vie réLire la suite

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