Lætitia TRILLEAU

  • Bonjour JT, Je n’aime pas le terme de medium. Disons, que je bénéficie d’une large conscience de ce qui se joue dans l’invisible. Mon but n’est pas de confronter des idées. Car à vrai dire, je vois per […]

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 4 semaines

    J'invite tout le monde à ouvrir une entreprise Ouvrir une entreprise pour être son propre patron, fait souvent rêver (avant de passer le pas). Beaucoup voient l’entreprenariat comme un graal, une promesse de liberté. A contrario, d’autres voient l’entrepreneur comme un exploitant (c’est d’ailleurs un terme utilisé administrativement dans certains cas). Ouvrir une entreprise et la développer ou la maintenir en vie est bien plus complexe et engageant qui n’y parait. Certes il y a des possibilités d’être plus adaptable en terme de temps et de lieu de travail, mais à quel prix ? Credits: Rawpixel istock Alors que la conjoncture est extrêmement difficile pour les entrepreneurs et que la survie des entreprises est à nouveau en question seulement peu de temps après le covid et suite aux dommages collatéraux de la guerre en Ukraine, les conflits en Israël, les élections et de nouvelles élections en perspective… bref cela n’en finit plus. Pourtant, en parallèle les offres de formation et d’accompagnement pour devenir entrepreneurs à succès ou pour se mettre à son compte ne cessent de se multiplier. Alors même que coté marché, il y a bien plus d’offre que de demande et que les marchés sont déjà hyper saturés. En tout cas, c’est clairement le cas pour ce qui touche au domaine du coaching, du développement personnel, des thérapies, médecines alternatives, de la parapsychologie et des accompagnants en spiritualité… Finalement, en prenant du recul, ceux qui gagnent de l’argent sont ceux qui vous font croire qu’ils vont vous en faire gagner. Mais cela, c’est la promesse marketing. La réalité est souvent toute autre. Mais ce n’est pas le sujet du jour. Il s’agit simplement ici de poser le contexte actuel. Ce matin, je suis tombée nez-à-nez avec un post partagé par une ex-collègue du collège et lycée, avec qui j’ai eu le plaisir de reconnecter il y a peu, presque 20 ans après 😱.Il m’a semblé important de vous partager ce post et de le commenter. J’invite tout le monde à ouvrir une entreprise. Expérimenter pendant quelques années ce qu’est la responsabilité de faire face à votre personnel, la régularisation des impôts, le processus de sélection du personnel, l’investissement dans les équipements, l’infrastructure et le confort pour le lieu de travail.J ‘ invite tout le monde à faire cette expérience.Apprendre à calculer la valeur d’une heure de travail.Apprendre à calculer la valeur d’un salaire.Passer d’innombrables heures à faire des comptes.Passer des nuits, sans dormir, inquiet pour les comptes.J ‘ invite également le monde à investir dans la formation du personnel, motiver et tirer le meilleur de chacun, avec des mots, avec respect et honnêteté mais également avec l’appât du gain.Investir dans le marketing.Essayez aussi d’accepter les critiques, se remettre en question, s’adapter au marché, aux clients et se frotter à la concurrence.Quand vous doutez de vous et quand vous hésitez vous-même…envahi de doutes, il faut prendre une décision…Je le recommande vraiment.Je recommande également les rapports avec les banques, faire face à des besoins de trésorerie de plus en plus importants, payer les salaires en temps et en heure, les fournisseurs, les impôts et taxes mais aussi faire face aux échéances des prêts…avec parfois des banquiers compréhensifs et parfois pas… Faites également l’expérience de regarder un employé dans les yeux et de devoir prendre une décision douloureuse. Rentrer chez vous le soir, frustré par un projet, une idée ou une stratégie qui ne fonctionne pas….tout en essayant de laisser les soucis en dehors du domicile pour avoir ensuite une vie de famille normale…Malgré les déconvenues et de nombreux soucis, essayer de rester positif, ferme et déterminé en étant animé en essayant de continuer à avancer avec le projet, l’entreprise….en restant la locomotive de votre entreprise.Faites ce test.S’habituer à se réveiller à 3 h du matin sans raison apparente, mais avec la pensée sur un produit, une conversation, une tension en interne, dans l’équipe ou même trouver des solutions, des astuces pour éviter la faillite…Essayer d’être le patron pendant quelques années : être vu comme exploitant ! Être assimilé à ces patrons du CAC 40 qui partent avec des parachutes dorés…alors que cela ne vous arrivera jamais.Faites ce test.Vous allez voir ce que c’est que d’être SEUL !!!Seul pour décider, pour choisir.Seul quand tout va mal…Si vous réussissez et que votre entreprise est performante alors il vous faudra distribuer de l’intéressement (normal) mais si vous échouez, vous perdez votre maison, vos cautions…et vous n’avez pas le droit au chômage bien que vous y ayez cotisé toute votre vie….Mais faites-le, j’invite toutes les personnes à se lancer…pour voir que le but de votre entreprise va bien au-delà de gagner de l’argent.Et quand vous parlerez de vous, de votre vie, de votre expérience en tant que chef d’entreprise… rappelez-vous de tout ce qui s’est passé, quel a été ce chemin qui vous a amené où vous êtes.Ne l’oubliez jamais !!!Faites cette expérience un jour : Ouvrez une entreprise….. – Eric Dujourd’hui Je ne connais pas Eric Dujourd’hui. Pour autant, c’est tellement vrai ! J’invite tout le monde à ouvrir une entreprise et s’offrir d’expérimenter ce qui est énoncé Ce qu’il décrit est une réalité qu’il n’est pas possible de réellement appréhender tant qu’on ne l’a pas vécue; à un point près. Or, ce point change profondémment l’expérience. Vous n’avez pas nécessairement à être seul.e face à vous-même pour porter tout cela. Il est possible d’alléger ce poids. Je le sais d’expérience, c’est mon travail d’accompagner, de soutenir en Conscience les entrepreneurs, les dirigeants et les leaders; en toute discrétion.Car le plus dur, c’est d’être seul.e face à tous… sauf quand il y a quelqu’un qui est présent pour nous. Cela ne transforme pas les éléments qui sont présents mais la manière dont nous les percevons et les vivons.La Conscience qu’on amène à ce qui se joue, les régulations qui peuvent être apportées par un autre angle de vue, une autre conscience, un positionnement différent… et souvent pouvoir exprimer le vécu sans retenu en étant pleinement écouter change tout. Or, cela n’est possible que dans la composante où je vous garantie une totale confidentialité de tout ce qui est échangé dans l’espace bienveillant que nous partageons. Alors certes, cela n’est pas facile pour moi car il m’est complexe d’offrir des preuves sociales de mon travail. La promotion de la qualité du retour de mon travail est plus complexe. Mais mes clients m’offrent tellement de feedbacks positifs, de reconnaissance et de bouche-à-oreille. Et leur vie change profondémment, c’est tellement beau à voir ! Finalement, la preuve sociale, n’a pas plus de valeur que le chant des sirènes. Alors, pour moi, le jeu en vaut la chandelle ! Ceux et celles qui voudront entendre le chant des sirènes pourront aller ailleurs. Et, ceux qui viendront me solliciter pour améliorer leur vie en toute discrétion tout en gagnant en sérénité et en goût de vivre. Pour nombre d’entre vous, cela passe déjà par retrouver le sommeil. Car ça, déjà, lorsque c’est une problématique, mieux dormir adoucit et allège les choses. Nous sommes alors dans de meilleures conditions pour affronter le quotidien. J’offre une pensée pour chacun.e de vous cher.e.s entrepreneur.e.s. Et je vous souhaite le meilleur. Pour tout le reste, ne restez pas isolé.e. ëtre seul.e n’est pas une fatalité Bien à vous,Lætitia Si vous souhaitez vous offrir de changerLire la suite

  • Bonjour, Il n’existe pas de réponse toute faite. Pour pouvoir répondre à votre question, il y en auraient un certain nombre, voire un nombre certain à vous poser. Est-ce que c’est récurrent ? quand cela à comme […]

  • Bonjour, Effectivement chaque version est très spécifique et parfois largement déformée. Cela est dû à plusieurs critères dont celui de la traduction initiale. Je vous partage la version qui pour moi est la plu […]

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 1 mois et 2 semaines

    Accepter d'être approximatif pour tenir les objectifs Le terme approximatif ici peut sembler étrange, étonnant ou mal choisi. PLire la suite

  • Bonjour Mira, Merci pour ce partage d’expérience. J’ai aussi expérimenter à plusieurs reprises de sortir de la roue et de la boite. Alors il est possible d’appréhender ce qu’est réellement l’Abondance même […]

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 2 mois et 2 semaines

    Ne parle pas aux cons, ça les instruit Quand j’étais petite, à plusieurs reprises, un adulte m’avait proféré cette injLire la suite

  • Je précise que j’adore la science fiction. Je vous conseille un classique : la nuit des temps de Barjavel qui est plus un roman futuriste. La série le couteau du partage de Lois-McMaster-Bujold que j’avais é […]

  • Merci vous m’avez fait sourire. Effectivement, chacun a le plaisir de pouvoir créer et entretenir ou pas sa réalité alternative. C’est un fait toute réalité perçue est une alternative/déclinaison de la réalit […]

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 3 mois

    La parité et l'égalité homme-femme est-elle réellement possible ? La parité, on y travaille dans la société et les sociétés. Les RH se mobilisent autour de cette question. Mais qu’en est-il de l’égalité homme-femme est-elle réellement possible et applicable ? Car, pour cela, il faudrait aussi parler de l’inégalité autour de la maternité et du congé parental ne croyez-vous pas ? Beaucoup s’offusquent de la différence de rémunération et de positions stratégiques dans les différentes sphères des décideurs, entre les hommes et les femmes. Je suis absolument en accord avec ça. C’est inacceptable ! L’égalité homme-femme devrait être la règle. Sauf que c’est une jolie et séduisante proposition qui ne semble valable qu’en théorie. Dans la pratique, il y a des éléments extérieurs, entre autres choses évidemment, qui viennent interagir avec ce point. Des éléments structurels propre à la nature de l’humain et qui diffèrent entre homme et femme.C’est systémique. Oui, on ne se refait pas. Une systémicienne ne peut pas passer à côté. Mon champ d’action c’est la pratique : le Vivant et la Vie. Si quels éléments de comparaison se basent-on pour déterminer s’il y a ou non égalité homme-femme ? Crédits : Bulat Silvia Pour illustrer, je vais prendre mon cas. On n’est jamais mieux placé pour parler que de partir de notre propre cas. J’ai eu une scolarité exemplaire, de grande qualité et des expériences professionnelles très nourrissantes et variées. Jusque-ici tout va bien. Première #grossesse, il y a 15 ans, mon employeur me met la pression pour que je continue à travailler durant mon congé maternité. Si, si, ça existe encore ! Même si c’est absolument illégal. Je le quitte avec une rupture conventionnelle. Jusqu’ici, tout va bien mais il commence à y avoir un petit quelque chose. Mon fils nait prématuré sans complication. On n’est pas passé loin d’un problème au risque vital. Mais par chance, je suis à l’écoute de mon corps, de mes ressentis et je me suis autorisée à me confronter au corps médical. Sinon, la donne aurait été bien différente. Probablement dramatique. Je reprends une activité salariée 1 an après. Je découvre alors les galères du système de garde. Un vrai casse-tête auquel s’ajoute la difficulté de devoir le mettre en cohérence avec un poste de consultant terrain B-to-B impliquant des rendez-vous plus ou moins longs et des déplacements souffrants des impondérables de circulation. Récupérer mon enfant à heure fixe tous les jours est un challenge en soi. Ca n’a pas été évident mais on a géré. Tout le monde a survécu. J’ai fini par négocier un 4/5 avec mon boss qui m’a été accordé. Même si, à l’époque, j’ai la chance d’avoir un patron jeune et facilitant, la première inégalité homme-femme professionnelle que je vis commence ici. Un an après une belle promotion m’est offerte, juste avant que mon deuxième fils s’annonce lui aussi de façon quasi-concomitante. La grossesse se révèle rapidement difficile, problématique et surtout totalement incompatible avec mon travail. Je dois rester alitée et les déplacements tout comme la position assise m’est fortement déconseillée. Nous échangerons avec mon employeur qui me facilite une fois de plus les choses. Je l’en remercie encore aujourd’hui pour sa bienveillance d’homme. Deuxième expérience de l’impossibilité d’une égalité homme-femme en tant que femme enceinte Ce que je vis alors, aucun homme ne m’expérimentera. Je dois mettre ma carrière en pleine ascension en veille pour pouvoir espérer donner la vie tout en préservant la mienne. Mon fils cadet nait grand prématuré avec de nombreuses complications. Suite à sa naissance, beaucoup d’hospitalisations se sont enchainées de façon tout à fait aléatoire sans possibilité d’anticipation ; De multiples prises en charges, suivis et accompagnements sont nécessaires. Son père est chef d’entreprise avec un nombre conséquent de salariés, malgré son implication et son investissement (cohérents avec sa valeur principale famille), il ne peut envisager de lâcher son entreprise. Il est frustré ; lui aussi. Mais parce qu’il ne peut pas avoir plus de place ou de présence. Ici, nous sommes à égalité homme-femme car avec ma valeur principale liberté, moi-aussi je suis frustrée. Après les congés maternité et parental, je ne peux pas reprendre mon poste compte tenu de al situation qui perdure. Je renonce à ma promotion. Autant vous dire, qu’en terme d’inégalité homme-femme, ici je ne sais pas trop quoi poser. Le père aurait aimé être à ma place et moi à la sienne. Je fais une croix sur le salariat qui était devenu incompatible avec la situation. Notre égalité homme-femme, résidait désormais dans le fait que nous soyons tous les deux chefs d’entreprise A quelques très grosses différences près. En vérité, ici il n’y a aucune espèce d’égalité qui soit. Je m’installe à mon compte pour être souple et flexible en fonction des besoins et nécessités. Ma seule motivation et de pouvoir accompagner mon fils dans son parcours tout en gardant une activité professionnelle.Cela devient ma voie de survie. Un jour après l’autre. Cela a duré 6 ans avant que les problèmes de mon fils se calment. 6 ans intenses à devoir gérer des urgences et prendre des choix cruciaux, vitaux même, sans délai. Autant vous dire, que la résilience, la gestion du stress, des priorités, de crise, de l’inattendu, et les prises de positions… Je connais.A cela s’ajoute la vie, ses évènements, une séparation, une nouvelle union, un nouvel enfant, les confinements… Bref. Avoir 3 enfants, donc 3 grossesses, 3 congés maternité puis parentaux, auxquels s’ajoute une période indéfinissable, qu’on soit pour la parité et l’égalité homme-femme ou non, cela a des conséquences. Qu’on le veuille ou non, que l’on soit idéaliste ou non.J’ai beau être utopiste, je suis aussi et surtout réaliste et pragmatique. Sur le papier, en théorie c’est beau. En pratique, c’est une autre salade. Là aussi je veux bien aller vivre en théorie. Parce qu’en théorie, tout se passe bien. Dans les faits, dans la matière, l’égalité homme-femme n’existe pas La femme et l’homme sont différents quoi qu’on en dise. La biologie, la vie, la nature induise cela de fait. L’expérience, la conscience, les perceptions… me montrent que pour être en équilibre, chacun doit pouvoir accepter sa nature puis composer avec. Pour une femme, avoir un ou des enfant.s à plus de conséquences que pour un homme, quoi qu’on en dise. Le petit enfant a besoin de sa mère pour ne pas subir les conséquence de l’élan interrompu vers la mère. Et par la suite, il aura besoin de son père. Je ne regrette aucun de mes choix. J’ai donné à mes enfants le meilleur de ce qui m’était possible. Je continue évidemment à le faire. Alors, certes mon ego ronchonne de tout ce potentiel de réussite professionnelle dans lequel nous n’avons pas pu croquer. Mais qu’importe, ce n’est pas le plus important. J’ai donné le maximum pour que mes enfants puissent démarrer leur vie avec les meilleures ressources possible. Les pères auraient aimé pouvoir être plus présents. Ils l’ont été autant qu’ils ont pu. Mais ils n’auraient pas pu vivre la grossesse à ma place ni prendre en charge le maternage. Même s’ils l’auraient souhaités. Crédits : vadimguzhva Le dispositif du gouvernement qui consiste à chercher à sensibiliser le père à prendre 6 mois de congé parental en le rendant inaccessible à la mère n’a aucun sens. Cela n’aide pas ! Bien au contraire ! Si le père n’a pas de possibilité factuelle de prendre ce congé parental de 6 mois. Le couple, ou uniquement la mère parfois, se retrouve alors en rupture financière avant l’entrée de l’enfant à la maternelle. Si en plus de cela, ils se trouvent dans une zone où le système de garde est défaillant… comme c’est le cas pour une grande majorité de la France… et qu’ils n’ont pas de relai familial à proximité. Comment font-ils ? Généralement, la mère ne retournera tout de même pas travailler mais se retrouvera sans revenu. Alors comment fait-on pour l’ #égalitéhommefemme ? Sur quoi la base-t-on ? Quels critères sont pris en compte ? Car en toute sincérité, il est bien plus simple d’aller travailler que de devoir gérer des problématiques familiales et de santé. La seule solution valable selon moi, dans un premier temps, serait que les #RH reconnaissent et valorisent davantage les compétences développées durant ces expériences de la vie. Et les reconnaissent comme hautement transférables.A plus long terme, que le système de garde proposé soit mieux adapté aux besoins et contraintes des familles. Pour autant, je fais partie des personnes convaincues que la mère devrait pouvoir s’occuper de son enfant pleinement la première année. Car cela est dans l’ordre de la nature. Certaines traditions, notamment au Japon, reconnaissent ce besoin. Il est d’ailleurs courant, que la première année de vie de l’enfant, la mère retourne vivre chez ses parents pour avoir l’aide et le soutien de sa propre mère. Le besoin que l’enfant a de sa mère dans son début de vie est très important, il est essentiel même pour la bonne construction de l’enfant et pour lui laisser un champ de possibles maximal. Dans certaines pratiques thérapeutiques, notamment lors de constellations familiales, il est courant de constater que les difficultés de vie d’un adulte sont souvent liées à une interruption prématurée du mouvement vers la mère. Il n’est donc pas que question d’égalité. Par contre, si nous prenions en considération une intention d’équité, la première année d’accompagnement à la vie devrait être mieux rémunérer. Au Luxembourg, le.s parent.s qui décide.nt de prendre un congés parentalLire la suite

  • Il semble que vous soyez particulièrement doué pour faire des raccourcis, des approximations et des globalisations. Néanmoins, même si vous posez qu’il n’y a pas d’interprétation, elles sont pourtant bien là, […]

  • Bonjour Sunwin, Cette interprétation de mes propos est la vôtre, j’ai pourtant pris le temps d’exposer mon intention et une invitation à ne pas le prendre personnellement. “Je vois que vous citez la bible et le […]

  • Bonjour, Merci de votre témoignage. Je partage ce point publiquement pour informer dece qui se passe au delà de l’illusion d'”aider les autres”. Juste une précision importante. Il ne s’agit absolument pas de Ma […]

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 3 mois et 1 semaine

    En quoi consiste un accompagnement d’ Alchimie Spirituelle L’Alchimie spirituelle est très chère à mon coeur. Ses potentiels sont innombrables. J’affectionne (le terme est très réducteur) les voies de résolutions qu’elle offre. Je suis passionnée par tout ce qu’elle recèle. A la fois douce et exigeante, au-delà de toute forme de théorie ou de pratique, elle est l’Art des transmutations et la source de concentration de tous les possibles. Certains abordent l’alchimie (traditionnelle) de façon théorique ou par la matière en manipulant, factuellement des métaux en vue de réaliser la fameuse transformation du plomb en or. L’alchimie spirituelle, elle, s’affaire à la transformation, la sublimation et la transmutation des métaux symboliques que l’humain porte en lui. Ses possibilités sont inestimables et illimitées. Un champ d’opération dans l’espace intermédiaire entre le corps et l’esprit… à travers l’âme. L’alchimie spirituelle est en lien avec l’âme, ses aspirations, notre nature essentiel, notre vérité intérieure,… tout ce qui fait que nous sommes qui nous sommes véritablement et là où nous en sommes dans l’épopée de nos apprentissages incarnationnels. Je précise que je partage ici l’alchimie spirituelle, telle que je la perçois, l’aborde et la mets en oeuvre. Et, je sais d’expérience que cela m’est propre. Il n’y a pas deux alchimistes qui opèrent de la même façon. Chaque pratique est en résonance avec son opérateur.Pour ma part, j’interviens dans la matière, dans le subtil en accord avec les aspirations de l’âme. Cela a toujours été le cas, depuis le début de mon activité avant même d’être coach, accompagnante ou thérapeute. Toute opération d’alchimie spirituelle s’intègre au sein d’un processus spécifique et unique VITRIOL : Visita interiora terræ rectificando invenies occultum lapidem= Visite la terre intérieure et en rectifiant tu découvriras la pierre cachée (qui est médecine universelle) Je repose ici, avant de poursuivre que je parle de ma pratique. Aucun accompagnement ne peut être répété ou modélisé. Tout élément est pris en considération en fonction de son état, son histoire, son mouvement, sa polarité, son aspectation et ses interactions avec tous les autres éléments du système primaire (l’être accompagné) et des systèmes secondaires ceux de son système familial d’origine et actuel, et de systèmes environnementaux qui interagissent à plus ou moins grande échelle. Je pourrais détailler ces différents éléments et points mais cela n’aurait pas de sens. Je me concentre sur la pratique, la théorie et les éléments sur lesquels elle se base sont morts et coupés au couteau. Moi, je m’occupe du vivant. Le reste ne m’intéresse pas. Le bruit, du mental et du monde qui veulent comprendre, ne crée que du parasitage, un détournement, une distraction, une perte de temps dans le processus. Vous trouverez peut-être que c’est de l’orgueil ou de l’ego de poser cela. Détrompez-vous ! Tout ce que je semble mettre de coté d’un revers de la main coupe la personne, le processus et les forces qui sont à l’œuvre de leur puissance. Beaucoup de gens veulent savoir pourquoi. Mais savoir pourquoi n’a souvent aucun intérêt et ne fait qu’altérer ou rendre le travail impossible. Savoir pourquoi n’amène pas la solution. Pour résoudre un problème, il faut généralement aller chercher la résolution dans un autre espace si on veut prendre le problème à la racine. Pas d’alchimie spirituelle sans confiance Je ne peux pratiquer l’Alchimie Spirituelle que parce que stabilisé la confiance à l’intérieur de mes terres intérieures. C’est même plus que cela. J’ai Foi en la bienveillance et la générosité de la Vie. Mais même cela, ce n’est pas suffisant. Il faut plus que cela. Or, c’est un ancien de mon lycée qui m’a fait davantage prendre conscience de ce point. Il s’agissait d’une évidence, profondément ancrée, mais l’évènement lui a donné une autre consistance. Cela a été vu sans que j’aborde ce point. Nous étions à un repas d’anciens. Cela faisait bien 26 ans que nous ne nous étions pas vus. Et il est habituel d’échanger sur ce que les uns et les autres sont devenus, ce que nous faisons de nos vies… Dans ces contextes, je suis naturellement évasive. L’évènement et le repas suivait son cours. Nous étions maintenant rendus au moment où des questions plus précises sur ma pratique se sont posées. J’ai commencé à répondre avec le plus de justesse possible sans rentrer dans les détails pour rendre ma réponse accessible à des cartésiens (dont je fais partie d’ailleurs contre tout attente de beaucoup de personnes). Un point de facilitation était présent car l’une d’autres nous est directrice d’un laboratoire de neurosciences. Ainsi, aborder la grille de lecture par l’épigénétique était plus simple. De façon absolument inattendu, il s’est alors posé ceci en retour : – Dis donc, de deux choses l’une, soit tu t’ennuies vraiment dans ta vie, soit tu dois profondément aimer les gens ! Alors non, je ne m’ennuie pas du tout dans la vie ! Avec 3 enfants et en étant à mon compte, je suis trèeeees loin de m’ennuyer. Pour ne serait-ce que mettre en oeuvre tout ce qui m’anime, il faudrait que les journées, fassent au moins 3 heures de plus. Par contre, oui, effectivement, pour réaliser l’œuvre, je dois profondément et totalement aimer la personne que j’accompagne, que ce soit dans ses parts lumineuses tout comme dans ses parts sombres. Cela demande d’avoir dépasser toutes formes de peur liées à la Vie, la maladie, la souffrance et même à la Mort. Avoir pacifié nos mondes intérieurs nous donne un aplomb qui peut ressembler à de la froideur. Certains prennent l’absence d’émotion ou d’impact menant à un renversement interne pour de la froideur ou pour de l’insensibilité. C’est un retour qui m’a été fait. Alors, j’ai pris le temps de m’observer et d’observer ce qui se jouait alors. Ce qui est assez drôle lorsque l’on prend en considération que je suis de nature hypersensible et hyperempathique mais que j’ai appris à réguler cela. Ce que j’ai observé, c’est qu’il s’agit du fruit de la pacification. Je suis en Paix face à elles. La Vie, la maladie, la souffrance, même à la Mort et les épreuves qu’elles amènent, ne sont pas des ennemies dans ma conscience. Chacune fait son oeuvre et sa part dans le Grand Tout. Il est essentiel de se connaître et se reconnaître puisque nous sommes chacune d’entre-nous actrice de ce qui se joue. Chacune jouant son rôle et faisant sa part. Sans cela, je ne pourrais pas réaliser la part de l’oeuvre qui me revient. Le processus alchimique est un puissant moyen d’avancer sur le chemin de la guérison. Au travers de cet enchaînement d’étapes de transmutation, nous gagnons en Conscience face aux événements vécus et les éléments (vils et lepreux ou purs et précieux) rencontrés sur le chemin de la vie. Directement par nous-même ou postés en de nos ancêtres qui rentrent en résonance avec notre vécu ou se reproduisent dans nos vies. Réaliser l’œuvre alchimique nous permet d’avoir une vue d’ensemble de nos ressources, nos acquis et nos potentiels. En changeant d’angle de vue et de perception, nous prenons de la distance et de la hauteur aussi parfois. Nous prenons conscience du sens de nos vécus en réchauffant certains éléments (nous les remettons dans leur contexte, leur environnement, dans le fil et le déroulé historique… ), nos perceptions et nos opinions. Ainsi, nous pouvons nous positionner au-dessus de la mêlée, du brouhaha, de l’abime. Il n’est jamais trop tard pour entreprendre cette œuvre. Quel que soit notre âge, nous pouvons évoluer et introduire plus de paix en nous-mêmes pour vivre plus harmonieusement notre vie quotidienne et ce qu’elle nous propose. La seule erreur grave serait de ne pas vivre tant que l’on est vivant et de croire qu’il est trop tard pour y arriver. Exister, ne suffit pas, traverser la vie non plus. Un temps nous est donné pour expérimenter, pour transformer, libérer, sublimer… Honorons tous les sacrifices et épreuves que nous avons traversées et celles traversées par celles et ceux qui nous ont précédés en jouissant pleinement de notre temps de vie plutôt que de le subir. Jusqu’à notre dernier souffle, tout nous permet de continuer à faire notre part. Notre libre arbitre nous permet d’y arriver et de nous préparer ainsi à une mort sereine. Ce qui est magique en Alchimie spirituelle, c’est que tout ce que nous rencontrons dans notre vie est de la matière première utilisable pour sublimer notre vie, si notre intention intérieure est profondément d’emprunter ce chemin. Si vous souhaitez cheminer en ce sens et ainsi sublimer et harmoniser votre vie, je serai ravie de vous accompagner en ce sens.il vous suffit de requérir un rendez-vous et nous co-créerons ensemble votre chemin de résolutionPour cela, vous pouvez réserver un premier rendeLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 4 mois et 1 semaine

    Choisir d'être vrai.e et authentique Depuis le début de notre vie, en tant que petit d’homme nous avons appris des stratégies pour être aimé. C’est un mécanisme inné incontournable à sa survie. En effet, sans adulte pour le servir, il aurait peu de chance de survivre. N’en déplaise aux contes et mythes comptés ça et là.Mais au lieu de simplement le laisser faire cela, nous devrions, en tant qu’adultes, nous affairer à lui apprendre à être vrai.e et authentique dès que possible. Pourtant, nous ne cessons de faire le contraire à coup de demandes et d’injonctions, souvent s’en nous en rendre compte : Sois sage. Sois gentil.le. Fais moins de bruit ou sois discrêt.e. Dépêche-toi. Ne fais pas de vagues. Ne pleure pas. Va passer tes neufs ailleurs. Et quand ce ne sont pas les mots, ce sont les attitudes puis les donnent. Attention, je ne prêtant pas être mieux que vous. Le premier mot que mon premier enfant à dit est “Attend”. C’est pour dire ! A ma décharge, il hurlait entre chacune de ses cuillerées de compote ou de purée, entre-autres choses.Maintenant qu’il est ado, je suis obligée de lui demander une multitude de fois pour qu’il daigne faire quelque chose qui n’a pas été dicté par sa volonté propre. Bref, il n’est donc plus aussi pressé qu’avant ! Être vrai.e et authentique vs être aimé.e La vie, les expériences, et la multitude de personnes que j’ai eu la chance d’accompagner m’ont montré que généralement, ce qui les sépare de la possibilité de pouvoir être vrai.e et authentique, c’est la peur consciente ou inconsciente de ne plus être aimé.e. Et cela a du sens, bien sûr ! Tant que nous jouons les rôles et les jeux dictés par d’autres nous croyons qu’ils nous aiment et nous avons peur de perdre cet amour. C’est normal. C’est humain ! Il y a d’ailleurs un point observable qui en découle et qui a été mis en avant par l’analyse transactionnelle. Celle-ci part du principe que toute relation se base sur une transaction plus ou moins implicite. C’est un prêté pour un rendu. Ou, comme beaucoup aime à le dire : donner pour recevoir L’analyse de la nature de cette transaction nous permet de comprendre ce qui se joue réellement dans la relation. De là ont été identifiés plusieurs drivers; entendez des injonctions qui deviennent des programmes moteurs dans nos actions et comportements. Sois fort.e Ce driver est le fruit d’injonctions du type : « Il faut être courageux/se »« Un grand garçon ne pleure pas » « Ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts » « Arrête de te plaindre» « Ne fais pas de simagrées ».Il conduit les individus à cacher leurs émotions et leurs vulnérabilités derrière une façade de force et d’indépendance. En conséquence, ils peuvent avoir du mal à exprimer leurs sentiments ou à demander de l’aide. Ils pensent devoir tout faire seuls et affectionnent de façon presque absurde leur indépendance qu’ils veulent totale vis-à-vis des autres. Au point d’en arriver à vivre presque en autarcie. Ou tout au moins émotionnellement coupés des autres lorsque la séparation n’est pas physique. Mais dans tous les cas coupés d’eux-mêmes. Sois parfait.e Issu de discours du type : « Tu peux mieux faire »« C’est pas mal, mais j’attendais mieux de toi »« J’aurais aimé être fier.e de toi, tu m’as déçu.e »« C’est quoi se travail bâclé ! 19/20 ? Ce n’est pas acceptable »« Personne ne t’aimera si tu es médiocre » Ce drivers, d’ailleurs vient aussi très souvent de manière implicite de par le comportement des parents qui donnent peu d’intérêt à l’enfant. Ne vont le faire qu’en cas de résultats exceptionnel. Ou, au contraire, qui n’offre de signe d’amour que lorsque l’enfant est irréprochable. L’enfant alors en déduit “Je ne serai être aimé.e que si je suis parfait.e. Lorsque je montre de la médiocrité je suis nul.le et méprisable.”Alors, une forte croyance qui va s’installer derrière. Une petite voix qui susurrera constamment que si la personne n’est pas parfaite, elle n’est pas digne d’amour. Elle ne pourra donc être aimée de quiconque.Les personnes qui ont ce driver se fixent des normes extrêmement élevées pour elles-mêmes et pour les autres, et ressentent souvent de la frustration ou de l’anxiété lorsque ces normes ne sont pas atteintes. Elles sont généralement victimes d’insatisfaction chronique. Fais plaisir Issu de demandes du type :« Fais plaisir à ta mère »« Tu me fais de la peine »« Ne sois pas égoïste»« Sois gentil.le, je suis fatigué.e »« Ne sois pas méchant.e, tu pourras faire au moins ça pour moi ».Les personnes qui ont ce driver ont un fort désir de plaire aux autres et d’être acceptées. Elles ont souvent du mal à dire non, même lorsque cela va à l’encontre de leurs propres besoins ou désirs. Au travers de leurs expériences, elles ont acquis la croyance que l’amour se mérite au travers des services rendus aux autres. Qu’il faut donc, en priorité, répondre aux besoins des autres pour être aimé.e. Elles ont donc tendance à s’oublier et à nier leurs propres besoins.Ces personnes ont souvent un problème de dévalorisation ou de faible estime d’elles-même. Car selon elles, leur valeur dépend de la valeur que les autres leur reconnaissent. Dépêche-toi Issu de discours type :« Arrête de trainer »« Tu es trop lent.e. Fais plus vite »« L’oisiveté est mère de tous les vices »« A ce rythme-là, on ne va jamais y arriver »« Tu es long comme le mois de mai ! »« Dépêche-toi ! on a pas toute la journée »Les individus avec ce driver ont tendance à se sentir pressés et à agir rapidement dans la plupart des situations. Ils peuvent avoir du mal à prendre leur temps ou à être patients. Il s’agit de personne qui vont agir avant même de réfléchir. Une idée = une action. Sauf que l’action est souvent inappropriée. Il va leur falloir apprendre à écouter leur rythme, à réfléchir avant d’agir. Fais des efforts Issu de discours du type : « Donne-toi un peu de mal »« A vaincre sans effort, on triomphe sans gloire »« Tu peux faire mieux, tu te reposes sur tes acquis »« Tu pourrais faire un effort tout de même, on ne te demande pas grand chose »« Réussir, ça se mérite »« Il faut souffrir pour être belle. »Les personnes avec ce driver ont tendance à se sentir constamment obligées de travailler dur, de souffrir pour réussir, de se surpasser. Elles peuvent avoir du mal à se détendre ou à profiter de la vie sans se sentir coupables, de ne pas faire toujours plus. Lorsqu’elles n’ont rien à faire, elles culpabilisent, ont des crises d’angoisse voir même de panique.Elles ont du mal à ne pas toujours chercher plus de performance, à dépasser les limites, à aller plus loin quitte à mettre en péril leur santé et leur intégrité corporelle et psychologique. Tous ces drivers peuvent aussi parfaitement se cumuler. Mais généralement, un ou deux sont beaucoup plus marqués que les autres. Attention toutefois à ne pas vous étiquetez ! Il serait facile de ce les attribuer tous mais il s’agirait d’une erreur. L’important n’est pas l’étiquette mais de prendre conscience de ce qui nous contrôle pour pouvoir le désactiver et ainsi pouvoir nous autoriser à matérialiser ce qui nous anime véritablement au-delà de ces injonctions intériorisées qui sont devenus de véritables programmes en pilote automatique. Être vrai.e et authentique se base sur l’Amour Il s’agit alors de faire un basculement. Plutôt que d’aller chercher et quêter l’amour des autres, de choisir de se connecter à l’Amour en soi. Je ne vous parle pas d’intégrer une nouvelle injonction du type “Il faut s’aimer soi” ou “Aime-toi pour que les autres puissent t’aimer”. Non, je vous parle de retourner au centre. Lorsque nous sommes au centre, nous sommes, de fait, vrai.e et authentique. Il n’y a pas de distance entre notre soi véritable et ce que nous manifestons à l’extérieur. Il n’y a alors plus de masque ni de place pour les injonctions et drivers. Ici pas d’anxiété, pas de culpabilité, pas de rejet ni d’abandon… rien de cela n’existe. Il y a juste Soi : la Vérité de qui nous sommes. Tout mouvement qui va tendre à nous éloigner de ce centre crée un espace où toutes nos plus grandes peurs, débordements, dérives comportementales ou relationnelles vont pouvoir trouver un terrain fertile. A chaque fois que nous ne sommes pas vrai.e.s et authentiques nous mentons Nous mentons aux autres, pour leur faire plaisir, pour être gentil.le ou pour ne pas être méchant.e, pour être aimé.e.s… Mais cela reste bel et bien un mensonge fait à soi et à l’autre. Or, comme tout mensonge, lorsqu’il sera découvert, l’autre nous en voudra. Nous perdrons, en même temps que la confiance qu’il/elle avait en nous, le bénéfice ainsi que les intérêts du pourquoi de notre mensonge. Dans de nombreux cas, ce sera la fin de la relation. [Pour aller plus loin sur le thème du mensonge, vous pouvez lire ces articles : Mentir pour se protéger Comment se sortir d’un mensonge ? Comment avouer un mensonge ? ] Avant même cela, nous nous aurons infliger à nous-même une torture insidieuse. En nous mentant à nous-même, en cherchant à être une personne que nous ne sommes pas, et en nous nous coupons de nous-même. De là découle : de la colère, de la frustration, de l’insatisfaction, de la culpabilité… des accidents de la vie et des maladies. Décidé d’être vrai.e et authentique et la seule voie vers la paix, la sérénité et la joie Alors, certes, ne nous leurrons pas, faire le passage entre notre ancien mode de fonctionnement et l’incarnation de notre authenticité n’est pas de tout confort. C’est d’ailleurs pour cela qu’il existe des accompagnements pour vous aider à fluidifier cette transformation. Il s’agit d’une profonde rénovation durant laquelle nous apprenons à déconstruire nos habitudes. Mais cela n’a pas nécessité à être souffrant si nous prenons le temps d’écouter le rythme de la Vie. Et sincèrement, celles et ceux qui ont fait le chemin peuvent tous en témoigner : ça en valait vraiment la peine. Et s’ils devenaient les refaire, ils le referaient 100 fois. Êtes-vous prêt.e à arrêter d’être gentil.le pour être vrai.e et authentique ? Je tenais juste ici à faire un.e aparté. Le propos n’est pas de dire qu’il faut être méchant.e, égoïste, égocentrique ou machiavélique. ABSOLUMENT PAS. Il s’agit de stopper des comportements dysfonctionnels en apprenant à se comporter autrement dans le respect de soi et des autres. La gentillesse, lorsqu’elle est intéressée est très vicieuse. Elle fait du mal à soi et aux autres. Lorsqu’elle est désintéressée, alors là, c’est tout autre chose ! Vouloir être gentil.le en opposition à être jugé.e ou reconnu.e comme méchant.e est totalement duel. On n’est pas gentil.le ou méchant.e. La vie est faite d’une multitude de nuances, c’est une folie de vouloir la limitée à “bien ou mal”, “noir ou blanc”, “gentil.le. ou méchant.e”,…C’est tellement limitant que cela en devient de la manipulation envers soi-même et les autres. Si nous portons cette peur, c’est que nos parents ou nos figures de références parentales nous l’ont inculqués de façon consciente ou inconsciente. Mais généralement ils ne font que reproduire sans le voir ce qui leur a été transmis auparavant. La répétition de “sois gentil.le, va ranger ta chambre”.” Sois gentil.le avec ton frère/soeur.”couplé à des “tu as cassé […] tu es méchant.e.” “Tu ne veux pas faire de bisous à […] tu es vraiment un.e vilain.e garçon/fille.” “Papa n’aime pas les rapporteur/se. Tu es méchant.e, tu as trahi papa. Papa et très triste à cause de toi. Tu n’aimes pas pas, c’est ça ?” et tout ce qui est du même acabit. Il s’agit évidemment d’exemples pour illustrer. Ce qui va faire la différence des traces que cela va laisser en nous, c’est l’intensité, la fréquence, la sensibilité, la qualité de l’attachement, les traumas éventuels, l’émotionnel, … Dans certains cas cela laissera peu ou pas de trace. Dans d’autres, ce sont des boulets ou des entraves permanentes. Mais ce n’est pas une fatalité. Tout cela peut-être modifié, libéré ou alchimisé. Lorsqu’on essaie d’être quelqu’un que nous ne sommes pas pour être aimé.e, l’échec est assuré. Le pire dans tout cela, c’est que lorsqu’on essaie d’être quelqu’un que nous ne sommes pas pour être aimé.e… cela ne fonctionne pas. Non jamais ou très temporairement de façon parfaitement dysfonctionnelle.Mais au final, cela rate à chaque tentative. La cause est énergétique, géographique et fonctionnelle. Si cela vous intéresse, je pourrais vous l’expliquer lors d’un accompagnement. Nous ne pouvons vivre bien, réellement, pleinement et en paix qu’en étant vrai.e, la véritable version de nous-même, authentique Si vous souhaitez aller plus loin et pouvoir incarner qui vous êtes vraiment et être vrai.e avec authenticité, il vous est possible de requérir un accompagnement Nous co-créerons ensemble le chemin de résolution qui vous permettra de la dissoudre durablement.Pour cela, vous pouvez réserver un premier rendez-vous en visio iciou en cabinet (06- Grasse St Antoine) là Au plaisir de faLire la suite

  • Bonjour, Merci de votre message. La proposition de lecture que vous y faites est très intéressante mais appelle à y consacrer un temps d’introspection. Néanmoins, il est certain qu’à l’époque de sa création et […]

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 4 mois et 4 semaines

    Améliorer votre vie en sublimant les relations humaines Au regard de l’agitation de nos vies trépidantes, il est facile de perdre deLire la suite

  • Merci de votre message. Il me va droit au

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