Lætitia TRILLEAU

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 4 ans et 12 mois

    Offrir une nouvelle vision du péché originel dans le jardin d'Eden Je me suis souvent posé la question de la réalité de ce qu’est le péché origLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 1 mois

    Définir un objectif motivant et réalisable S’il y a bien une chose que tout coach ou accompagnant sait, c’est que la cléLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 1 mois

    Le Paradis ou l'Enfer sur terre ? Il est temps de choisir ! Le Paradis ou l’Enfer sont, à mon sens, des notions intéressantes qu’il serait uLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 1 mois

    Divulgation spirituelle et fausse spiritualité Depuis plusieurs années déjà, certains, trop rares êtres ont revêtu la difficile mission de la divulgation spirituelle et cherchent à informer les humains sur la fausse spiritualité qui sévit de plus en plus. Cette fausse spiritualité se répand comme de l’huile. Rien ne l’arrête. Elle s’adapte et s’étend constamment au fur et à mesure de l’élévation de conscience de l’humanité. A tel point que certains êtres éveillés se font rouler dans la farine. Si j’aborde ce sujet, pour lequel, une fois encore, je m’expose avec un peu trop peut-être de témérité. C’est parce qu’il me semble essentiel que tout un chacun puisse être sensibilisé à ses sujets tendus mais incontournables pour la bonne évolution de l’humanité. Depuis quelques temps, vous avez certainement pu observer que je me suis révélée de plus en plus incisive et ferme dans mes positionnements. A ce stade de mon évolution, cela m’est incontournable puisque la justesse et la rectitude qui me sont demandés aujourd’hui se doivent d’être clairs, nets et alignés. Dieu n’aime pas les tièdes et je me refuse de faire partie de ceux-là. Être et incarner qui je suis est un cheminement qui diffère pour chaque être humain. La semaine dernière, j’abordais le thème : Etre et incarner qui je suis. Cet article en est la continuité avec un cran au-dessus, si l’on puit dire. Avant de parler d’incarnation et de ce que cela implique, et ça en implique des choses !… Encore plus que ça même ! Je souhaite vous partager un coup de gueule sur un point qui me démange depuis un moment déjà. Avant de commencer, cette importante mise au point, qui va une fois de plus faire grincer des dents et j’assumerai. Si vous vous reconnaissez dans le texte, prenez ce message comme un cadeau et recevez tout mon Amour. On vous aime, il est encore temps de rectifier. Afin d’éviter que certains le prennent personnellement, j’aimerais vous communiquer mon intention. Voici donc l’ intention qui anime ce qui suit : Je souhaite vous partager ce que j’observe sans jugement. Il serait mal venu de ma part de faire autrement, sachant que moi-même, je m’y suis laissée prendre à un moment donné. Heureusement, pour mon matricule, ce temps est révolu. En tout cas je l’espère de tout coeur. Mais un piège et une nouvelle illusion suivant le ou la précédent.e, la vigilance est de rigueur en tout temps et en tout lieu. Nous sommes à une période de l’évolution humaine où le développement personnel et la pseudo spiritualité a le vent en poupe. C’est génial et dramatique, en même temps. C’est génial parce que cela permet de sensibiliser les humains qu’il y a autre chose que la matière. Ils peuvent alors découvrir un nouveau chemin de conscience. Et, le développement personnel a sa place ici. Mais, il serait bien plus utile qu’ils s’engagent sur le chemin de la spiritualité plutôt que d’acheter des animations divertissante et illusoires issues de la fausse spiritualité. C’est dramatique, car du coup, on vous propose tout et n’importe quoi. On vous amène surtout à vous perdre encore plus profondément dans la forêt ensorcelée. Ou plutôt dans les méandres du new age et de la fausse spiritualité de bas étages mixés avec de la religiosité dogmatique mensongère. Cette dernière étant parfois, en plus de tout cela, déguisée sous couvert de pseudo philosophie ou autre psychologie positive limitante (cf. la pensée positive ne suffit pas). Je vous parle aussi des pièges de la pleine conscience qui vous rend mou comme une guimauve amorphe et de communication on-ne-peut-plus-violente qui prétend amener à être le contraire… On vous enferme et on vous endort. On vous ment et on vous manipule. Ce n’est pas une fiction. Toutes les manipulations qui sont divulguées au fur et à mesure du temps sont vraies. Et que dire de ces toujours nouvelles méthodes qui vous empêchent de faire vos expériences d’incarnation ? Du type access au bar avec plongeon direct aux abimes du pognon-à-se-faire-rapidement-en-vendant-à-son-tour-la-formation pour financer la vôtre et autre proposition pyramidale déguisée. Tout cela n’existe que pour faire du business. Cela ne vous sauvera pas ! Alors, certes, comme diraient certains : Un mouton c’est fait pour se faire tondre. Alors si en plus il est volontaire, pourquoi s’en priver ? Et, c’est vrai. Ici, chacun a sa responsabilité. Il n’y a de victime que lorsque la victime est volontaire ou naïve. Mais pour autant, à un endroit souvent invisible pour elle, elle a généré la situation inconsciemment. Ou, et là c’est beaucoup plus profitable pour elle, elle est entrain de régler une dette karmique. Mais, les faits restent que beaucoup d’humains préfèrent se payer en formation plutôt que d’initier un vrai travail spirituel individuel, en profondeur, pour lequel il va lui falloir être acteur de sa transformation et créateur de sa transmutation. Beaucoup l’ont compris. Alors, ils vous vendent de la formation puisque c’est ce que vous voulez acheter. Vous voulez de la formation dans la médecine alternative ou dans le domaine initiatique ou spirituel, pas de problème, on va marketer tout ce qu’il faut pour ça. Et, on vous vend du fake. Or, comme la plupart des humains ne savent pas ce qui se joue derrière et ce que cela requière réellement en terme d’engagement, de conscience, de travail intérieur…. et parce que cela demanderait trop de temps, d’implication et d’effort d’éveiller réellement leur conscience. Alors, ils sont satisfaits qu’on leur servent une recette toute faite. Oui, certes, vous vous sentez mieux (ou pas) après. Parce que vous avez tout simplement vécu un moment de discontinuité en bénéficiant de l’énergie d’un groupe tout en ayant pris du temps pour vous. Et, rien que pour cela, ça sert à quelque chose… mais ça ne fait pas avancer le shmilblic. Votre état va vite revenir à ce qu’il était. Bref, on vous enfume par le bais de personnes qui se sont elles-mêmes faites enfumées. Pitié, faites preuve de discernement et ne vous lancez pas dans n’importe quoi n’importe comment, sous prétexte que c’est le nouveau truc à la mode ! La mode, dans le domaine spirituel, ça craint. C’est toujours foireux. Même dans des cadres qui se disent christiques, on n’est pris en charge par des personnes qui servent l’antéchrist. Au secours ! Il vaut encore mieux aller marcher dans la nature, jouer avec des enfants, passer du temps avec les animaux, peindre, danser… ce serait plus bénéfique pour nous tous autant que nous sommes. Attention toutefois, même embrasser des arbres n’est pas anodin. Choisissez bien qui vous allez embrasser ! L’évolution spirituelle, ça ne s’achète pas. Elle se gagne au fil des expériences. Durant votre incarnation, la Vie vous éprouve pour que vous puissiez faire vos preuves. Soyez dans l’être en 10 leçons Certains vous proposent même des étapes simples et efficaces à suivre, ou encore de lire un ou des bests-sellers et/ou de suivre des stages de développement personnel pour apprendre à être; Grâce à l’enseignement de guides et d’enseignants de haut vol. Ah ! J’en ai vu et j’en ai rencontrés un [trop gros] paquet. Si vous saviez ! Lorsqu’on a les yeux pour voir et les oreilles pour entendre parfois on regrette de ne pas être plus sourd et aveugle. Comme j’ai décidé de témoigner, alors, je vous partage mon expérience éclairée à hauteur d’où j’en suis sur mon propre parcours. J’ai longtemps cherché un mentor, une personne inspirante à travers toutes ces personnes médiatiques. J’ai cherché longtemps, et à vrai dire, je pourrais probablement encore être entrain de chercher ! Cela a été une mission impossible. Tout ça, c’est du fake, du marketing, de l’esbroufe, du flan… j’ai passé mon temps à être déçue. Vous savez ce qui m’a le plus attristée ? C’est que la fausse spiritualité, la majorité ne la perçoivent pas ! C’est de voir le nombre de personnes qui se faisaient rouler. Ils n’ont pas menti quand ils disaient que les humains étaient des moutons. Tout au long de cette incarnation, j’ai vu des êtres humains se perdre dans le faire, se noyer dans le mental, se faire endoctriner, croire à des mensonges tellement grands que presque personne ne les perçoit [il faudrait avoir un angle de vue bien trop grand !]. Comme disent les grands manipulateurs, plus c’est voyant, plus c’est gros et plus ça passe. Alors, que dire ? Que c’est parce que je suis une vieille âme ? Ce serait vous mentir une fois de plus. Ce n’est pas parce qu’on est un vieux machin qu’on est mieux que les autres. Parfois, on est bien pire ! Le temps n’existe pas. Mon âme ne peut donc pas être vieille. Par contre, j’en ai eu un paquet des incarnations. Disons plutôt que mon âme est expérimentée. Enfin je ris en voyant défiler toutes les morts que j’ai pu vivre et l’absurdité inégalables de certaines. Et pourtant, je suis encore là ! Ici, parmi vous, sur Terre ! C’est qu’avec tous ces essais, je me suis plantée à chaque fois. – Tu redoubles – m’a dit un jour un ami Pas besoin de faire des régressions dans les vies antérieures pour le savoir. Je vous dis la vérité : vos vies antérieures n’ont rien à vous dire. ou si peu. Sinon, vous le sauriez. Il n’y a pas de place pour le hasard. Ceux qui vous prônent le contraire veulent vous vendre quelque chose ou s’attribuer un pouvoir. Oui, désolée, je vous l’ai dit, je suis de plus en plus incisive. Si vous ne voulez pas lire cette vérité, passez votre chemin. On vous fera la messe à plein d’autres endroits du monde et du Web. Mon rôle est de transmettre la Vérité, le reste, je m’en cogne. Je n’ai rien à prouver aux humains. Je les aime, mais c’est à Dieu qu’il m’intéresse de plaire. Peu importe l’incarnation que vous avez choisie ou dont vous devez vous contenter… Que vous trouviez que votre vie est bien pourrie ou pas, elle est le résultat de ce que vous avez expérimenté avant. Vous avez semé des pensées, paroles et des actes dans cette incarnation et dans vos autres incarnations. Aujourd’hui, on vous offre la résultante. Vous récoltez dans cette vie les fruits des graines que vous avez semé. Ce qui fait que sauf exception, vous n’avez pas besoin d’y retourner. A moins qu’il y ait eu un bug dans la programmation de votre âme avant cette incarnation, que vous ayez une “mise à jour à faire”, ou qu’un apprentissage complémentaire ou supplémentaire ait été décidé dans des sphères plus élevées. Mais, franchement, ces cas sont tellement rares qu’il n’est presque pas nécessaire de tenir à faire l’expérience d’une régression. Toutes ces techniques, ces méthodes sont des solutions de cache-misère qui nourrissent la fausse spiritualité Si vous saviez le nombre d’accompagnants “coach de l’être”, “guide de l’être” “guide spirituel”, …etc… qui vendent leurs prestations avec pignon sur rue et leur nom en premier sur google, qui n’ont même pas commencé à faire descendre leur conscience dans leur être ! Vous en pleureriez. L’éveil qui endort est devenu un business depuis longtemps… Heureusement que le prince charmant, le bien-aimé, viendra un jour réveiller blanche neige !… Ou pas. Mais s’il compte venir, il serait peut-être utile qu’il s’active davantage ! Ceux qui ont compris cela en premier, ce sont les bouddhistes alors que les religions officielles commençaient à perdre de l’influence. Puis, c’est le New age qui a remporté le pompom. Et, au fur et à mesure des années, on en vient à la fausse spiritualité qui prend du terrain à chaque instant. Franchement, j’aurais envie de vous dire que j’ai peur de l’envergure que prend la fausse spiritualité. Mais je vous mentirais car, je n’ai pas peur. J’ai abandonné une très grandes majorité des peurs il y a un petit moment maintenant. Et, c’est bon pour moi. Cela m’a libérée. Et, cette liberté m’a permis de réorienter mon pouvoir créateur vers de belles oeuvres. Pour y arriver, j’ai commencé par faire un régime informationnel. Ainsi, j’ai eu plus de temps pour être vraiment dans ma vie. D’ailleurs, il est probable que vous me voyiez un jour disparaître même du blog ou tout au moins de prendre de la distance ou plus justement, de la hauteur. Ce jour-là, sachez que je n’aurai pas arrêté ma démarche. C’est juste que j’aurais choisi d’abandonner l’écriture pour passer moins de temps sur les écrans. Car oui, écrire sur le blog demande beaucoup, beaucoup de temps. J’ai choisi, contrairement à la majorité, de ne pas sous-traiter l’écriture de mes articles. Tout comme je ne sous-traite pas ni mes communications ni la gestion de mes sites. Car, il est essentiel pour moi que la vibration que vous recevez soit juste et authentique. Le triste business qu’est devenu la spiritualité Ce business est tenu par les nouveaux marchands du temple. Sans s’en rendre compte, ils sont entrain de se faire un karma qui pèsera lourd si ce n’est dans celle-ci, dans leur prochaine incarnation. A mon sens, il serait bien mieux venu de s’investir à éponger nos dettes karmiques plutôt que de continuer à les faire grossir par inconscience ou ignorance. Ces personnes font autrement, qu’à l’époque de Jésus. Car, la spiritualité ne se prêche plus au temple. Ils pensent qu’on peut faire de la spiritualité un business comme les sacrificateurs et les scribes de l’époque. Ces humains, sous couvert de bonnes intentions : vivre d’une activité qui aide les autres. Ils pensent ainsi être spirituels ou de bons spiritualistes. Ils pensent être sur le bon chemin, mais ils ne sont que des marchands du temple ; des vendeurs de fausse spiritualité. Jésus entra dans le temple et chassa tous ceux qui vendaient ou qui achetaient à cet endroit ; il renversa les tables des changeurs d’argent et les sièges des vendeurs de pigeons. Puis il leur dit : « Dans les Écritures, Dieu déclare : “On appellera ma maison maison de prière.” Mais vous, ajouta-t-il, vous en faites une caverne de voleurs ! » Matthieu 21.12-13 Ce n’est pas une critique. C’est un fait. Je leur souhaite de se réveiller et implore pour leur pardon : [Père,] pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font. Luc (23. 34) Il n’est pas trop tard pour stopper tout cela et se repentir ! Ils pensent réellement que ce qu’ils font est bien et bon mais ce qu’ils vous proposent, c’est de la fausse spiritualité. Mais, s’ils veulent sortir de la fausse spiritualité, ils feraient mieux de distribuer des sourires, de faire à manger avec amour, de chanter gaiement ou danser librement… en étant qui ils sont vraiment. Ils seraient alors dans l’Être, dans le coeur. Mais, au lieu de cela, ils sont bel est bien dans le faire. Or, cela ne se passe que dans leur mental. Ils répètent des paroles mais leurs actes ne reflètent pas ce qu’ils prônent. Dieu déteste vous voir parler de ce que vous ne faites pas. – Coran (61,3) Mais la spiritualité n’est pas faite que de paroles mais aussi et surtout d’actes. Rien ne s’opère sans passer par la matière. L’engagement sur la véritable voie spirituelle s’accompagne d’une élévation de l’état de conscience qui se traduisent par des manifestations de la vie quotidienne. Or, cet état de conscience pousse à respecter la Loi encore plus qu’auparavant et ne l’en affranchit absolument pas, au contraire. La voie spirituelle amène toujours vers plus de rectitude, de mesure mais moins d’ego. Celui qui s’élève se réjouira des épreuves de la vie car il a conscience que cela l’affermit et nettoie son karma. Il les souffrira avec patience et abnégation. Il ne cherchera donc pas à se départir de son lot de souffrance. Les hommes [saints] sont partis laissant la place A des bandes de canailles et de crapules Prétendant suivre leur voie à la trace,  Alors que leur voie est celle de l’imposture. Ils revêtent le froc rapiécé et affichent l’austérité, Imitant le comportement des substituts et des héros, tout en barrant La route aux disciples, à cause de  leur ignorance et de leur égarement. La voie se trouve soudain plongée dans l’obscurité. Ils sont toute piété à l’extérieur; Mais c’est la perfidie qui se trouve à l’intérieur – Imam Maqdisi Ils vous vendent une théorie, une méthode… mais tout cela est mental. C’est de la fausse spiritualité : un mirage qui brille C’est juste, parce que ça aide certaines personnes à initier un cheminement vers le mieux-être, déjà dans la partie mentale du chemin. Et, ce n’est pas juste, car ce qu’ils vous vendent n’est pas ce qu’ils vous apportent. Être, c’est au-delà du mental. C’est une démarche qui est de l’ordre du spirituel (le vrai, pas le truc new age qu’on vous vend aussi à côté qui est de la fausse spiritualité en puissance). Je sais que c’est difficile pour beaucoup de faire la différence entre tout cela. Mais, chaque expérience vous fait avancer. Il n’y a pas de temps perdu. Par contre, il y a des incidences sur votre karma. Il vous faudra payer la note. Pour aller plus loin sur la notion d’être, de présence, d’authenticité et de véracité, de discontinuité, d’être pleinement, d’inertie, de conscience, de destin, d’être à la hauteur… je vous recommande de lire l’article Être, enfin Je ne vais donc pas reprendre ici la notion d’être ou d’être soi. Je vLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 2 mois

    Etre et incarner qui je suis Etre, c’est une chose. Être soi, en est une toute autre chose; à l’instar d’ être heureux ou être en paix. Mais joindre être et incarner qui je suis, là, on commence à toucher des zones intéressantes. Introduction : Rétrospective de mon état d’être au moment de mon intention de départ Initialement, je voulais reprendre l’article “Etre, enfin !” et le remettre au goût du jour (il date de janvier 2017). Mais, quand j’ai commencé à me pencher sur le sujet, je me suis rendue compte que la tâche n’était pas celle que j’avais projetée. Il semblait alors clair, une fois devant la réalité de l’article pré-existant que compte tenu de ce que je souhaitais exprimer, mon plan était inadapté. Et en vérité rénover l’existant se révélait inutile puisque je souhaitais aborder un tout autre angle de vue. Alors, plutôt que de chercher à m’acharner en reprenant une base qui ne demandait pas à l’être, je préfère repartir de zéro. Il me semble d’ailleurs intéressant que vous puissiez suivre, si vous le souhaitez, l’évolution du cheminement qui a été le mien. Disons que l’ensemble des articles est une sorte de témoignage vivant de mon cheminement personnel et de mes émotions. Être est donc bel et bien le point de départ. C’est pour cela que je vous parle de mon état d’être au démarrage. Il ne faut jamais perdre de vue l’intention qui nous anime initialement au risque de se perdre dans des actes inadaptés ou inutiles. Etre nécessite de votre au présent en étant présent à soi et conscient(e) de ce qui nous anime. Être incarné ne suffit pas. En effet, il ne suffit pas de naître sur terre et d’ être incarné (e) pour être. Naître (= “n’être”) est d’ailleurs, en langage des oiseaux la négation d’être. Quand on naît, on n’est pas, par définition. Naître sur Terre dans un corps humain quel qu’il soit, cela, c’est s’incarner sur Terre en tant que terrien. Chaque naissance, selon le moment et le lieu où elle prend place donne le ton sur ce que nous aurons à expérimenter dans cette vie. C’est un peu recevoir nos conditions particulières ou conditions générales de vie qui vont s’imposer à nous. Cela ne révèle pas notre avenir mais cela donne le ton des grands challenges que nous auront à Vivre. Il existe de nombreuses autres possibilités de s’incarner autrement ou ailleurs. Chaque ailleurs ayant ses propres règles du jeu. S’incarner signifie prendre chair et par extension rentrer dans la matière. Naître, s’incarner et Être, c’est autre chose. Pour être vivant, il faut mourir. Les soufis et les christiques (c’est un pléonasme car les soufis font partis de la branche christique ;)) disent qu’ il faut mourir pour pouvoir naître. C’est d’ailleurs ce qu’à rappelé de nombreuses fois Maître Omraam Mikhaël Aïvanhov. Il faut mourir à notre nature inférieure avec laquelle on naît pour ressusciter et incarner notre Être : notre nature supérieure; c’est-à-dire notre part divine. [C’est un résumé simplifié] Lorsque tu trouveras ta place véritable, tu te mettras à briller depuis le plus profond de ton être. Les autres ne sauront pas pour quelle raison mais ils seront bien en ta compagnie et ils la rechercheront. Car, ta présence seule les raviront jusqu’au plus profonds de leur âme. – Lætitia TRILLEAU Comment incarner qui je suis ? Quelle vaste question que la question de l’incarnation ! Si vous lisez les articles du blog depuis quelques années, vous savez que j’ai déjà beaucoup abordé cette question. Mais, elle est si riche et si vaste qu’une vie ne suffirait pas à y répondre. Le concept même de qui je suis demande aussi de cheminer  si longtemps pour ne serait-ce que prétendre à le caresser alors l’atteindre ! Bref, cela demande un réel et véritable investissement. Dans la question du comment incarner qui je suis, il y a deux parties : Comment s’incarner ? Qu’est-ce que l’incarnation ? Pouvoir déterminer “qui je suis” Les questions relatives à l’incarnation sont nombreuses Mais, avant de pouvoir les aborder, il est incontournable d’accepter que la réincarnation est la base. Sans l’acceptation inconditionnelle de ce présupposer, ce n’est même pas la peine de vouloir aller plus loin. Si on n’accepte pas la réalité du cycle des incarnations, on ne peut pas comprendre pourquoi nous sommes ici et pour quelle raison on expérimente ce que nous vivons. La véritable réalité, ce n’est pas ce que nous vivons ici. Ici, nous sommes comme dans un jeu vidéo partagé où plusieurs joueurs jouent en même temps dans la même réalité virtuelle. Sauf, que les incidences et conséquences sont plus graves que dans un jeu vidéo classique car à la fin, il faut payer ses dettes en conséquence de nos actes, sentiments, désirs et pensées. Rien ne sera oublié ou laissé au hasard, mais la repentance et le pardon sont des “joker” au pouvoir ineffable. Pourquoi s’incarne-t-on ? Il y a de nombreuses réponses possibles à cette question. Ce qui est sûr, c’est que ce n’est pas pour vivre une vie toute pourrie faites de souffrances inutiles avant de s’éteindre criblé (e) de dettes, fâché(e) avec la Vie, écrasé(e) par la/les maladie(s) qu’on aura récoltée(s) à cause des abus qu’on aura choisi de s’infliger toute notre vie ! Non, ça c’est la récolte de ce qu’on aura semé. Alors, certes, il est difficile de dire ou d’entendre qu’une souffrance est positive, mais entendez au moins qu’elle a une profonde raison d’être. Et, si vous ne la voyez pas maintenant, votre avenir vous la révèlera. Nous nous incarnons principalement pour faire nos preuves et nous améliorer. Jusqu’à retrouver qui on est vraiment et embrasser notre pouvoir créateur. Mais pas n’importe lequel et pas n’importe comment; comme certain(e)s tentent de nous faire croire à toutes les sauces. A propos du moment où nous demandons ou acceptons de nous incarner… Ce moment a lieu dans l’entre deux. Et oui, c’est nous qui demandons ou qui acceptons d’y retourner. Rien ni personne ne nous force. Notre libre arbitre commence déjà là. Si nous acceptons de relever le challenge, c’est parce que nous souhaitons évoluer, passer au stade expérimental pour valider que oui, nous sommes capables de mettre en pratique les apprentissages que nous avons théorisés de l’autre coté dans le vrai Réel. C’est là que ce joue la mission de Vie. Pas besoin de théories fumeuses ou de trouver des buts et missions compliquées. Beaucoup veulent être l’élu, pourtant rares sont ceux qui font les efforts intrinsèquement liés à cette aspiration. Ne serait-ce que dépasser l’ego est une tache extrêmement rude que peu de gens comprennent. Il y a beaucoup d’appelés mais très peu sont ceux qui mettent en oeuvre le nécessaire dans la matière. Passer de la théorie mentalement simple à la pratique dans le dur, c’est totalement différent. Cela demande un investissement de vie et de poser des actes à contre-courant perpétuellement. Choisir l’incarnation, c’est aussi un biais pour améliorer notre condition dans la véritable réalité. Certains s’incarnent pour aider les autres âmes, c’est vrai, mais pour eux aussi, le challenge se joue. D’ailleurs, nous nous aidons tous les uns, les autres. Nous endossons tous des rôles sans le savoir. Même ceux et celles qui pourraient prétendre ne s’incarner que pour aider les autres prennent un risque. Car, s’ils se plantent, ils paieront aussi les pots cassés. La théorie des scénario élaborés semblent toujours atteignables et parfaits. Et ils le sont car le plan et le tempo de Dieu sont toujours parfaits. Sauf qu’après avoir perdu la mémoire, les choses ne sont plus visibles du même angle. On le vit pour de faux mais comme pour de vrai avec le poids des émotions en plus ! Dans ces conditions, il n’est pas toujours évident de discerner ce qui est bon et juste de ce qui ne l’est pas. Les données numériques (décodables avec votre date et lieu de naissance en astrologie, numérologie…), les héritages de l’ADN et les mémoires d’âme avec lesquelles nous nous s’incarnons dans la matrice (le jeu ou l’expérience de simulation) sont des éléments à double tranchant. D’autant plus que la Matrice est un jeu dangereux dans lequel on peut se perdre au moindre faux pas, à tout moment. Nous faisons des plans avant de nous incarner, un peu comme on prépare le scénario d’un jeu de rôles. Mais, il s’agit d’un jeu de rôles très sérieux. Où les choses revêtent une importance beaucoup plus grave. Et, les dés sont remplacés par votre libre arbitre… et les hasards issus des lois divines universelles (cf. Kybalion sous les principes : de Mentalisme, de Correspondance, de Vibration, de Polarité , de Rythme de Cause et d’Effet, de Genre) se manifeste sous des chances et malchances. Qu’est-ce que le refus d’incarnation ? Parfois, sur le papier, le plan semble parfait même si on sait que la tâche sera rude et les conditions de vie initiale difficile. Et, pendant la grossesse durant la phase où l’âme de l’enfant annoncé apprend à comprendre sa famille, durant le processus de densification, elle prend conscience à nouveau, de façon plus concrète plus palpable, de la complexité de l’incarnation terrestre. Elle se connecte alors au système de croyance humaine, aux émotions, à la lourdeur de notre densité terrestre. Et, elle veut jeter l’éponge. Parfois c’est possible et cela se traduit par une fausse couche (il y a d’autres raisons à la fausse couche) ou bien, une autre âme est volontaire pour prendre le relai. D’autres fois, c’est inenvisageable car l’âme a écourté ses jours lors de sa précédente incarnation et elle doit du temps. Les débiteurs temporels doivent nécessairement régulariser leur situation. Alors, elle ne peut pas reculer. Elle doit s’incarner et aller régler sa dette. Or, dans ces cas précis, l’incarnation qui s’annonce sera dure car il faut rattraper tout ce qui a été mal semé, mal appris ou non intégré lors de cette fameuse incarnation écourtée. Sauf que revenir cela rend les choses plus difficile car les expériences sont amplifiées par l’écho de celles de même nature qui n’ont pas été réalisées et qui restent souffrantes. Il y a aussi le cas d’âmes qui s’incarnent pour la première fois sur terre. Elles n’ont pas idée de ce que cela implique réellement. Parfois, lors de la phase de densification, elles refusent de s’alourdir davantage car c’est très inconfortable. Alors, leurs corps subtils ne descendent pas complètement dans leur corps physique. Cela génère de grands désordres : maladie, perte de conscience, fatigue chronique, mal-être, déséquilibre, fragilité physique et psychique… Ou encore, il y a le cas d’enfants, donc d’âmes déjà en cours d’incarnation qui suite à un choc, un abus, des actes violence, un traumatisme ou autre stoppent la descente de leur corps subtils en réaction à ce qui s’est déroulé. Il est à noter que les corps subtiles continuent de se densifier après la naissance durant tout le stade du bébé, de l’enfant, de l’adolescent et du jeune adulte. L’enfant peut aussi stopper la descente de ses corps subtils à cause de ses “dons” qu’il identifie comme inappropriés ou gênants. Ou encore quand la sensation qu’il ressent dans le corps humain le gêne. Quand il trouve que ce corps est lourd, dense, sale, limité… et qu’il refuse de se lier à lui. Dans tous ces cas, il est possible de mettre en oeuvre un accompagnement spécifique. Le but du jeu étant de réussir à incarner qui je suis. En démarrant le jeu, nous oublions qui nous sommes. Cela se fait progressivement à partir du jour où l’esprit (la flamme) fait le choix de s’incarner à nouveau. Elle doit alors faire des choix au-delà du scenario : la planète, le pays, la famille dans laquelle elle va s’incarner. Mais aussi, les attributs du corps et de la personnalité. Il y a des restrictions dans ses choix, elle ne peut pas tout choisir comme elle la veux car cela dépend de ce qui est possible en fonction de ses incarnations précédentes inscrite dans son âme. C’est un peu comme les attributs de votre personnage : stade dévolution, dextérité, force… et le contenu de votre bourse de bonnes actions. Moins vous avez de credit et moins vous avez de choix. Il faut se contenter de ce à quoi vous avez droit. Si je réussi à identifier, à être et incarner qui je suis, c’est gagné ! Mais attention, la notion de qui je suis évolue au fil de votre évolution même si rien ne change. Et, il ne suffit pas de le conceptualiser ou de le vivre mentalement, il faut l’incarner sous tous les plans… et ça, c’est pas une mince affaire ! C’est pour cela que très très rares sont ceux qui y parviennent. Un ami disait : Il ne sert à rien de se précipiter. La vie, c’est comme monter un escalator qui descend. Plus vous essayez de grimper vite et plus il descend rapidement. Et, au final, la seule chose que vous trouverez en haut de celui-ci, c’est vous ! Vous souhaitez aller plus loin dans cette quête d’être et incarner qui je suis ? Il vous est possible d’initier un accompagnement de l’être authentique en individuel ou en groupe selon les moments et les possibilités offertes. Pour cela, il vous suffit de réserver un rendez-vous en cabinet, en extérieur ou à distance ici ou à vous inscrire à une des activités de groupe de votre choix qui sont présentées ici La semaine prochaine, j’aborderai le sujet brulant et épineux de la fausse spiritualité et du mensonge qu’on vous sert à toutes les sauces dans le monde du bien-être et du développement personnel. Ca promet de remuer, alors si vous ne voulez pas accéder à une autre vérité que je présenterai toute nue, cachez-vous les yeux et bouchez-vous les oreilles ! Mais, dans tous les cas, je ne me tairai pas. Et, elle sera bien différente de celle qu’on vous sert à toutes les sauces depuis un moment déjà ! Je vous souhaite une lumineuse et douce semaine.Lire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 2 mois

    Etre en odeur de sainteté Dans la suite des sens de la spiritualité, après avoir abordé la vision, par le biais du regard, et la saveur de la Vie, aujourd’hui, je vous propose d’aborder l’ + Lire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 3 mois

    Comment surmonter une humiliation ? Cet article aurait pu s’appeler : Le jour où l’humiliation m’a appris la vraie humilité… ma vie s’est transformée. Mais l’humilité m’a demandé d’être plus humble + Lire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 3 mois

    Je ne suis pas gentille, pardonnez-moi Non, c’est un fait, je ne suis pas gentille et je l’assume. Mais, qu’est-ce qui m’amène à vous l’annoncer, que je ne suis pas gentille ? Hé bien, se sont les circonstances de mes expériences de vie. Je ne sais pas ce qui se passe ces derniers temps. De plus en plus nombreux/ses sont celles et ceux qui me disent : “Vous dites ça pour être gentille” ou “Tu dis ça pour me faire plaisir”. Alors, je tenais à user de mon droit de réponse. Il m’est important de vous le dire très sincèrement et à coeur ouvert : Non, détrompez-vous, je ne suis pas gentille.Mon rôle n’est pas de vous faire plaisir.Je vous aime en tant qu’être et en tant qu’âme.Je vous dis ce que je pense et ressens avec le plus de justesse possible par Amour.Mais, certainement pas pour être gentille, vous faire plaisir ou vous être agréable.Souvent, d’ailleurs, je ne suis que le messager.  Je ne sais pas faire de compliment sur demande pour être gentille J’ai toujours été une vraie tannée pour les compliments. Je n’y arrive pas. Je ne parviens pas à faire un compliment s’il n’est pas naturellement spontané. C’était très compliquée dans mon ancienne vie de jeune commerciale, parce qu’on me le disait : Fais un compliment au prospect/client ça flattera son ego. Tu lui seras tout de suite plus sympathique et ce sera plus facile pour toi d’établir la relation. Sauf que non, je ne pouvais pas, cela m’était impossible même dans un contexte purement commercial. Cela m’aurait littéralement arraché la gueule, comme on dit familièrement. C’aurait été comme être déloyale envers moi-même, aller contre nature. Cette dissonance m’étais juste impossible. A l’époque, c’était déjà comme ça, alors imaginez aujourd’hui ! Pourquoi offrirai-je un compliment faussé alors que l’ego de l’individu est bel et bien la dernière chose qu’il m’intéresserait de nourrir ou de flatter ? Par chance, Dieu soit loué, créer la relation sans passer par là, m’a été donné de façon innée. La vérité n’est jamais calculée. Elle est spontanée et pas spécialement gentille Pour ce qui me concerne, le compliment que j’émets vient soit spontanément, car il est une vérité, soit… il ne vient pas du tout ! Impossible pour moi de le faire naître de rien. Car, aujourd’hui, en vérité, il m’écorcherait encore plus qu’avant. Si la parole, le partage n’est pas spontané.e, pas véritable, cela reste parfaitement coincé.e, accroché.e dans mon chakra de la gorge. Et, très franchement c’est parfait ainsi et je ne voudrais rien n’y changer. Parce que non, je ne suis pas gentille, je tend à être vraie, honnête et je tiens à le rester. Je ne suis pas gentille, j’aspire à être vraie et ce n’est pas si simple En fait, cela vient de loin. Quand j’étais ado, ma soeur m’avait surnommée le chacal. Pas parce que j’étais méchante ou vicieuse, juste parce que je disais ce que je pensais sans fioriture. Et parfois un peu trop sans détour. Cela était pour autant sans intention de nuire ou de faire mal… C’est mon coté autiste… de ce que l’on m’a expliqué. Un cadeau de famille. Mais, parfois, et je le déplore, c’était dur à encaisser même si c’était vrai et juste. Puis, l’âge… et la sagesse (?) venant, j’ai appris à y mettre des bémols, des fioritures, de la douceur, de la rondeur… pour que cela puisse être écouté et entendu. Le but étant que ce soit mieux accueilli, plus facilement digéré, intégré, acquis. J’ai appris cela par bienveillance pour mon prochain. Heu… sauf quand je voulais volontairement claquer le bec à quelqu’un ou lui rendre sa propre dureté par boomerang ou ricochet… Ben oui quoi, je suis et reste humaine ! Parfois, cela s’est révélé être un peu trop dur. Alors, si cela a été le cas avec vous, je vous prie de m’en excuser. (Notamment, pardon maman, je sais que tu lis mes articles)Je ne voulais pas faire mal. Bon ok, parfois c’était fait pour faire mal. Parce qu’en vérité, c’était la seule manière que j’ai identifiée pour vous faire réagir. Pour créer un remous qui pourrait générer une prise de conscience. Et, par là même, vous amener à changer de mode de fonctionnement. C’est ce qu’on appelle mettre un coup de pied dans la fourmilière. Mais, là encore, vous voyez, je ne suis pas gentille, ni méchante d’ailleurs. Je tenais à être juste. Or, la justesse, c’est parfois dur à encaisser. Pardonnez-moi. Les deux visages de la gentillesse Par lequel commencer ? J’hésite… Je vais commencer par le plus beau parce que c’est précieux la beauté. Le plus beau visage de la gentillesse, c’est la gentillesse désintéressée. Parce qu’elle est Amour. Elle est divine, elle ne cache rien. Je l’ai abordée dans cet article : Faire la promotion de la gentillesse désintéressée. La gentillesse désintéressée est un trésor, une vertu magnifique ! Et puis, il y a la gentillesse stratégique programmée. Là, ce n’est pas la même ! Certain(e)s s’obligent à être gentil(le)s pour être aimé(e)s, reconnu(e)s ou pour ne pas être abandonné(e) ou rejetté(e)s. Dernière cette gentillesse, il y a donc une stratégie très souvent inconsciente qui se cache. Cela reste la plus jolie partie. On fait cela pour ne pas souffrir. Mais, il y a aussi l’autre qui est plus diabolique. C’est la gentillesse feinte pour obtenir un pouvoir. La personne souhaite obtenir quelque chose de vous. C’est la même chose me direz vous. C’est vrai, sauf que l’intention est différente. Là, cela se déroule au niveau conscient. Votre interlocuteur se présentera toujours sous la forme d’un ange, d’une personne lumineuse, brillante, qui semble être bienveillante. Mais en réalité, ce qu’elle veut, c’est vous séduire pour obtenir  quelque chose de vous afin de s’attribuer un pouvoir. Ce peut-être un verdeur/se pour obtenir un contrat en vue de posséder plus d’argent, atteindre un objectif… ce peut-être un homme ou une femme qui veut vous séduire pour vous posséder, avoir du sexe, prendre votre pouvoir décisionnel… Ou cela peut aussi, et c’est malheureusement de plus en plus souvent le cas, être un thérapeute, un maître ceci ou cela qui à première vue est bienveillant(e). Mais en réalité, ce qu’il ou elle souhaite, c’est plus de pouvoir, d’autorité, de succès, de disciples… pour nourrir son ego et obtenir toujours plus de pouvoir. Méfiez-vous de ce qui brille ! Tout ce qui brille n’est pas or. Par contre, ce qui rayonne est d’or véritable. Mais pas de l’or dont on fait les bijoux, je vous parle de l’Or sublimé des Alchimistes 🙂 C’est-à-dire le résultat de ce qui a été transmuté de l’orgueil. Or, l’orgueil est le péché préféré de Diable.  Peu sont les vrais volontaires et bien plus rares encore sont les élus. Venez me rencontrez pour la Vérité et la Justesse pas pour que je sois gentille Je n’y peux rien, j’ai été design-née comme ça. Je n’ai pas été créée pour autre chose. Ma nature intérieure est rebelle et indomptable; même inconsciente, sous hypnose, ou en état amplifiée de conscience. Mais, je fais preuve d’autant de bienveillance que possible. Ne vous y trompez pas, je n’attends rien de vous. Je suis uniquement à votre service pour vous accompagner ou vous faire miroir. Ce service que je vous apporte ne vous oblige à rien. Il ne vous est rien demandé de plus qu’un respect des règles de vie justes : venir à vos rendez-vous, prévenir le plus tôt possible quand vous avez un imprévu, de la politesse, mettre de la bonne volonté… Si vous voulez la Vérité, trouvez un miroir parfait qui soit juste et pas gentil Pour se voir dans le monde physique, il lui (à l’humain) faut un objet qui reflète son image : la surface de l’eau, ou un miroir…. Il a donc besoin de se voir à travers quelque chose d’extérieure à lui. Il en est de même dans la monde psychologique : l’homme a besoin des autres pour découvrir ce qu’il est. Mais les autres, qui ne sont jamais tout à fait lucides ni désintéressés, ne peuvent pas être des miroirs impeccables, ils lui renvoient une image déformée de lui-même. […] Le moyen que je vous conseille, moi, le plus économique, le plus sage, le plus efficace, c’est de demander au Ciel de vous placer devant un miroir parfait, c’est-à-dire un être d’une grande abnégation, d’un grand désintéressement, qui n’a aucun intérêt à vous tromper pour profiter de vous. […] Et lui qui est désintéressé, entrera en communication avec le Ciel et vous donnera des réponses impeccables. – Omraad Mikhaël Aïvanhov “Qu’est-ce qu’un Maître spirituel ?” Avancer sur votre chemin vous concerne Mon rôle est de vous transmettre du mieux possible avec tout mon coeur les éléments que vous devez prendre en considération pour que vous puissiez avancer avec justesse, sur votre vrai chemin… pour vous. Tenir compte de ces éléments ou les mettre en oeuvre, cela se passe entre vous et vous-même. Cela ne me concerne pas. A aucun moment vous ne devez vous attendre à ce que je fasse quelque chose pour vous faire plaisir ou pour être gentille. Si je réalise quelque chose, c’est parce que c’est juste selon ma vérité. Ce pourra être un acte de gentillesse désintéressée. Lætitia, tu es dure !  Non, je suis juste.Ou tout au moins je m’investie de tout mon coeur et de toute mon âme à l’être. Et parfois, la Vérité fait mal mais elle est nécessaire pour que chaque chose puisse reprendre sa place ou pour ce chacun reçoive la poussée nécessaire pour accepter de laisser les choses aller reprendre leur juste place. Je ne suis ni votre mère, ni votre soeur, ni votre copine… ce n’est pas mon rôle. Mon rôle c’est d’être un intermédiaire, un messager, un accompagnant… Bien sûr que nous pouvons négocier certaines choses, parfois. Je suis ouverte et adaptable mais cela ne dépassera pas de ce qui est juste et acceptable. Et, parfois, je vous avoue que cela ne dépend pas de moi. Toutefois, ne vous attendez pas à ce que je rentre dans vos jeux, stratégies, caprices, chantages, mendicité, culpabilisation… sauf si c’est pour mieux vous en faire sortir… et, je ferais cela pour rien d’autre que par amour pour vous. Je vous souhaite de goûter à une semaine de gentillesse désintéressée. Bien à vous,Lætitia Envie d’être plus vrai.e et de vivre une vie alignée avec qui vous êtes véritablement ?Je peux vous accompagner en ce sens.Pour cela, vous  pouvez requérir un premier rendez-vous ici : rendez-vous en préseLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 4 mois

    Et si vous arrêtiez de lutter contre ? Aujourd’hui, j’aimerais vous faire une proposition qui va changer votre vie si vous décidez de l’appliquer. Cette proposition est : Et si vous arrêtiez de lutter ? La lutte revient à expliquer à tout votre organisme que vous êtes en temps de guerre. Or, que se passe-t-il lorsque c’est la guerre ? Votre corps génère de l’adrénaline, mais aussi du cortisol. Et lorsque ce dernier se répand dans votre organisme, vous inondez donc votre corps de stress. Lorsque cela advient régulièrement, ou plutôt devrai-je dire trop souvent, cela a une incidence directe sur votre comportement. Vous glissez vers une colère chronique et vous révélez être constamment sur la défensive. Vous êtes en sur-réactivité. Cette guerre mentale doit être évacuée, le corps n’a qu’une option somatiser ! Malheureusement, si vous n’avez pas de vrai sujet de lutte dans votre vie et que cette lutte n’est que mentale, votre organisme va chercher à matérialiser cette lutte pour pouvoir l’évacuer de votre mental. Le résultat est alors sans appel : l’inflammation du corps devient chronique. C’est le foie qui déguste en premier lieu puis surviennent les problèmes de peau, maladies auto-immunes (vitiligo, lupus érythémateux disséminé, sclérose en plaques, cirrhose biliaire primitive, polyarthrite rhumatoïde, et thyroïdite de Hashimoto…) pouvant entrainer un ulcère, acidité dans le système digestif, problèmes d’intestins… et aller jusqu’au cancer ou amener à la mort. En naturopathie, le fait est inscrit dans les annales. En médecine hermétique, on parle d’un excès de Mars ou de fer lépreux. Et ses conséquence ont été très documenté durant des lustres. Vous avez créé mentalement votre propre prison corporelle. Toutes ces manifestations corporelles sont la résultante de votre orientation mentales à la lutte. Elles peuvent se résoudre en changeant d’état d’esprit, d’orientation mentale, d’angle de perception de la Vie. Vous pourrez alors guérir si vous acceptez de changer votre vision du monde. Mais en dehors de cela, pourquoi vous devriez arrêter de lutter ? Pourquoi lutter contre ne sert à rien ? Il est intéressant d’observer cela sous l’angle de l’énergétique. Que se passe-t-il lorsque vous luttez contre quelque chose ? Hé bien, vous vous connectez à cette chose et vous lui transmettez de l’énergie. Que se passe-t-il alors ? Vous la nourrissez avec votre énergie vitale. Oui, c’est le même mode de fonctionnement que lorsque je vous dis : “N’imaginez pas un éléphant rose.” D’abord, vous voyez l’éléphant rose et ensuite vous mettez une grosse croix rouge dessus ou vous essayez de l’effacer. Trop tard ! Vous avez perdu. Votre cerveau l’a perçu. Votre regard s’est posé sur cet éléphant. En énergétique cela se traduit par trop tard, nous nous y êtes connecté(e) et vous l’avez nourri et l’egregore qui y est lié vous remercie. Lutter contre est une stratégie contre-productive Ainsi, lutter contre quelque chose ou quelqu’un ne fait que le renforcer. C’est ce qui explique pourquoi les tyrans et guerriers destructeurs devenaient de plus en plus puissants au fil du temps. Plus on les craignait, plus on luttait contre eux et plus on les rendait forts et puissants en les nourrissant de l’énergie de l’ensemble des personnes qui luttaient contre eux ! Vous comprenez donc, j’imagine, l’utilité de changer de stratégie. Mais alors, comment faire me direz-vous quand on veut éliminer quelque chose ou quelqu’un de votre vie ? Hé bien , c’est comme quand un enfant fait un caprice… – Je veux un chocolaaaaaaaatttttttt ! – Oh ! regarde les éléphants comme ils sont mignons ! – Waouh ! Ils sont trop mignons – répond-il avec une mine attendrie – Tu as envie qu’on les prennent une photo pour l’envoyer à papa ? – Ouiiiiiiii ! Il faut créer une distraction ou une diversion pour le mental. Le mental fonctionne comme un enfant. Or, la distraction est une bonne stratégie. Mais la diversion dans ce cas-là, c’est de l’orienter vers quelque chose de plus productif, utile ou juste pour soi. L’énergie de départ est alors canaliser vers un sujet de notre choix. Choisissez de nourrir ce vers quoi vous voulez tendre C’est quoi “ce vers quoi vous voulez tendre” ? Ca ressemble à quoi ? Qu’est-ce qui s’y passe ? Comment vous savez que vous y êtes parvenu(e) ? Qu’est-ce qu’il y a de différent entre ici et là-bas ? Qu’est-ce que vous pouvez mettre en oeuvre pour vous en approcher et qui dépend de vous ? Définissez cet idéal aussi précisément que possible selon non pas ce qu’il n’est pas mais d’après ce qu’il est. Et transformez les choses. Je ne veux plus de stress devient Je suis serein(e) Pas de cri devient le calme ou le silence Ne plus être timide devient j’ai de l’aplomb Je ne veux plus être en colère devient j’accueille mes émotions pour comprendre comment améliorer ma vie Nourrissez votre idéal plutôt que de lutter contre ce qui n’en fait pas partie Sois le changement que tu veux voir dans le monde – Gandhi Ce qui est le plus important, c’est de rentrer dans un cycle de transformation et de conciliation. Les contraires n’ont pas nécessairement à être opposés. C’est comme deux pays, ils n’ont pas nécessairement à être en guerre. Ils peuvent toujours trouver un terrain d’entente si chacun y met de la bonne volonté. Un accord gagnant-gagnant peut alors être trouvé. Bref, au-delà de tout cela, ce qui est important c’est que vous posiez votre regard sur votre idéal pour le nourrir, car c’est comme cela que vous pourrez l’aider à se manifester et à grandir. Pour aller plus loin vous pouvez lire : Le regard que nous portons. JLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 4 mois

    Je n'y arrive pas, un coach de vie peut-il m'aider ? Je suis bloqué(e), je n’y arrive pas, un coach de vie peut-il m’aider ? PourLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 4 mois

    La Vie, ce nectar ineffable pour l’âme La Vie s’écoule à l’instar d’un nectar divin versé inexorablement d’une jarre divine. Malheureusement, peu d’humains ont conscience de la valeur inestimable de ce breuvage doré qui coule et s’écoule sans qu’on puisse jamais le retenir. Pour l’âme, cette étincelle divine en nous, l’opportunité d’une incarnation dans un corps physique demeure un privilège ineffable, gage de la possibilité d’évoluer et de s’élever. Jusqu’au moment où on parvient à sortir du cycle des incarnations. Par ailleurs, il est important de savoir que sur l’autre plan, la vie d’un humain dure le temps d’un clignement de cil. Et pour cause : le temps n’existe pas. Ce don magnifique qu’est la Vie qui se déroule au fil d’une incarnation terrestre permet à l’âme d’expérimenter l’intégration des lois spirituelles sur le plan physique. Et de réaliser l’avènement magique de son originalité unique au service de la communauté. L’expérience voulant que cette communauté tende à devenir/incarner/faire l’expérimentation de l’Unité retrouvée. C’est en empruntant ce chemin inespéré que l’esprit ayant pris corps, par le biais de l’âme, pourra créer et vivre sa propre abondance en toute liberté, accompagnée par la Providence. Il aura le libre arbitre d’accueillir ou de refuser, et ainsi, mieux se connaître et découvrir une nouvelle part du Grand Esprit.   La Vie est un met délicieux au goût de miel, un nectar divin pour celui qui saura reconnaître, se souvenir de sa Valeur Le miel est un élément très intéressant en tant que tel. Il peut être considéré comme un aliment, mais n’est ni un fruit, ni un légume, ni un végétal, ni un animal, ni un minéral… il est à part. Le miel a de nombreuses vertus curatives, digestives, nutritives, apaisante… Le miel a depuis toujours revêtu un symbole mystérieux, lié au fluide divin : la lumière condensée. (cf. : La saveur de la vie) Les paroles agréables sont un rayon de miel, Douces pour l’âme et salutaires pour le corps. – Proverbes 16:24 Il est à noter, par ailleurs, que l’hydromel est le seul alcool que les musulmans ont le droit de déguster avec modération. Dans l’antiquité, l’hydromel était le symbole de l’immortalité. Dans la bible 25 versets mentionnent le miel comme une richesse, un luxe, un trésor. On mentionne souvent le rayon de miel comme un met/cadeau/richesse divin(e) donné(e)… Mais il est fortement déconseiller d’en consommer plus que nécessaire. Serait-ce une grâce dont il ne faudrait pas abuser ?   Ce miel est sa symbolique reste un mystère. Le miel est lié à la douceur, au plaisir délicat… dont on peut bénéficier avec mesure et raison. Le miel est une nourriture utile et saine, qui doit être cependant prise avec modération. Sa douceur suggère naturellement la satisfaction que l’on éprouve avec des choses bonnes, mais elle devient un piège pour l’âme dès qu’elle commence à alimenter l’orgueil et l’égoïsme – Proverbe 25 : 16 ;  24 : 13-14 Mais, ce nectar est surtout lié à la sagesse et à la parole de Dieu comme nourriture de l’âme et de l’esprit […] voyez donc comme mes yeux se sont éclaircis, parce que j’ai goûté un peu de ce miel. – 1 Samuel 14:29 Mais l’excès de confort est aussi pointé du doigt : Celui qui est rassasié foule aux pieds le rayon de miel, Mais celui qui a faim trouve doux tout ce qui est amer. – Proverbe 27:7 Expérimenter la liberté du créateur. La Vie ce n’est donc pas un miel mais bien un nectar dont il est de notre fait d’en préserver la saveur. Si la Vie venait à perdre sa saveur, nous perdrions la notion de sa valeur pour notre âme proportionnellement à l’assombrissement de notre regard. Or, le regard est le langage de l’âme. Le miroir de la présence du divin en lui. Chaque instant de cette incarnation est un potentiel de faire la preuve de la beauté de notre cœur immense !   L’objectif est de saisir la Vérité de la Magie de la Vie. Les alchimistes ont énormément étudiés cela. Le principe étant de constamment laver, laver et purifier encore. Nettoyant constamment nos lunettes et clarifiant notre vision du monde; Notre perception du monde. Après chaque nettoyage, c’est comme si on repartait de zéro. Notre vérité précédente devient alors obsolète, nous laissant découvrir une autre vérité qui est une autre facette de la Vérité. La compréhension de chaque vérité nous rapproche de la Vérité Absolue mais souvent toute relative. Cette levée de voile vient par la persévérance, la bonne volonté et la Foi. Bouddha, Jésus, Marie, Krisna, St Germain,… sont tous de grands alchimistes qui ont suivi ce long chemin de nettoyage, d’alchimisation et de transmutationLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 5 mois

    Le regard que nous portons au regard des autres Le regard est un élément extrêmement important.Bien plus essentiel que l’importance que nous voulons bien lui conférer.Mais, ce regard dont je parle ici, ce n’e + Lire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 5 mois

    Retrouver la Paix grâce à la Contemplation La contemplation est une pratique magnifique, inspirante, nourrissante… mais peu connue. La pratique de la contemplation permet de ré-enchanter la Vie. Grâce à + Lire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 6 mois

    J'arrête les soins énergétiques Non, ce n’est pas une blague ni une erreur, j’arrête les soinsLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 6 mois

    Pour quelle raison sommes-nous sur Terre ? Aujourd’hui, je souhaite aborder cette question essentielle que beaucoup de terriens se posent à un moment de leur Vie et qui restent souvent sans réponse. Pour quelle raison sommes-nous sur Terre ? Pourtant la réponse, à mon sens est bien plus simple que ce qu’il y parait. Je vous propose dans cet article un point de vue personnel quant à la réponse. .stk-4ccd831{height:25px !important} Pour quelle raison sommes-nous sur Terre ? Historiquement, cette question, la très grande majorité des sages et philosophes ont cherché à y répondre. Beaucoup, se sont tournés vers la spiritualité pour pouvoir trouver des réponses. Partir du postulat que nous naissons, grandissons, vivons, régressons puis mourrons, semble parfaitement vide de sens. Et laisse un goût amer et désagréable d’inutilité. La spiritualité et la foi ont apporté une autre dimension à cette vision très (trop) déprimante. .stk-f5bd30f{height:25px !important} Croyance 1 : L’humain existe pour distraire et adorer les dieux Cette croyance a longtemps été alimentée dans de nombreuses cultures. Ainsi, l’humain devait faire en sorte d’être agréable à ses dieux et à les couvrir d’or et de richesses par le biais d’offrandes. Si l’humain venait à offenser et à déplaire ses dieux (les esprits ou autres), il souffrait de catastrophes, maladies, pandémies, pertes matérielles ou sentimentales… etc… C’est ce que nous retrouvons dans toutes les religions polythéistes et primitives. On y trouve une multitude de dieux majeurs et mineurs colériques, jaloux, incestueux, vengeurs… Bref, rien de très glorieux ou de très divins. C’est à ce type d’idéologie que les personnes qui pratiquent ou font appel au chamanisme entretiennent et alimentent consciemment ou inconsciemment. Dans cette pratique médiumnique (le chaman est un intermédiaire), chaque problème de vie est considéré comme la résultante de l’insatisfaction ou la colère d’un esprit ou d’un dieu (de la forêt, de la montagne, des ancêtres…). Mais aussi par les hommes-médecins et femmes-médecines qui sont une sorte de druides, herboristes, sorcier(e)s… Ceux-ci peuvent aussi bien être un biais de guérison ou de solution tout autant qu’ils peuvent condamner et anéantir. En tout cas, on retrouve cette peur dans de nombreuses cultures et plus particulièrement en afrique. Le marabout est craint et respecté. Ces hommes et femmes médecine utilisent les connaissances qui leur ont été transmises par des esprits de différentes nature, des divinités, ou l’esprit des plantes elles-mêmes ainsi que les vertus des éléments qui ont pu leur être enseignées par leur(s) Maître(s). Cela implique aussi le chant et/ou certaines incantations et beaucoup de mise en scène rituellique. .stk-12a0b2e{height:25px !important} Croyance 2 : L’homme s’incarne pour prendre femme et la femme pour se marier… … puis, créer une descendance. Le mari étant le masculin qui travaille et ordonne et la femme, la figure du féminin soumis et accueillant… Ce qui est, extrêmement réducteur et biaisé à mon sens. Le but ultime étant de réussir à réaliser, ou pas, des choses remarquables pour laisser une trace de son passage sur terre dans l’histoire… Une contribution individuelle durable au monde.Personnellement, cela me semble être une vision parfaitement egotique. Il s’agit-là de la voie de Vie cherchant à montrer que nous sommes, ou avons été plus remarquable, meilleur(e), plus grand(e) qu’une autre personne. Mais, au final, nous restons “personne”. Car seule la valeur que les humains voudront bien nous accorder en fonction de ce qui lui semble être valorisable, d’après leur cadre de référence, conditionnera si on mérite ou pas de laisser une trace à la postérité. .stk-84ede85{height:27px !important} Or, ne devrait-on pas plutôt s’occuper de ce qui ne meurt pas ? Mais souviens-toi de ton créateur pendant les jours de ta jeunesse, avant que les jours mauvais arrivent et que les années s’approchent où tu diras: Je n’y prends point de plaisir;avant que s’obscurcissent le soleil et la lumière, la lune et les étoiles, et que les nuages reviennent après la pluie, temps où les gardiens de la maison tremblent,où les hommes forts se courbent, où celles qui moulent s’arrêtent parce qu’elles sont diminuées, où ceux qui regardent par les fenêtres sont obscurcis, où les deux battants de la porte se ferment sur la rue quand s’abaisse le bruit de la meule, où l’on se lève au chant de l’oiseau, où s’affaiblissent toutes les filles du chant,où l’on redoute ce qui est élevé, où l’on a des terreurs en chemin, où l’amandier fleurit, où la sauterelle devient pesante, et où la câpre n’a plus d’effet, car l’homme s’en va vers sa demeure éternelle, et les pleureurs parcourent les rues;avant que le cordon d’argent se détache, que le vase d’or se brise, que le seau se rompe sur la source, et que la roue se casse sur la citerne;avant que la poussière retourne à la terre, comme elle y était, et que l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné. Vanité des vanités, dit l’Ecclésiaste, tout est vanité. – Ecclésiaste 12:1-8 .stk-31c10b3{height:26px !important} Croyance 3 : La planète école Terre D’un point de vue spirituel, il est dit que nous venons nous incarner sur Terre pour expérimenter les émotions. Et apprendre malgré tout à ouvrir notre coeur toujours davantage pour rayonner l’amour. Ainsi, nous pourrions guérir tout ce qui doit être guéri. Tout en apportant de la lumière à tout ce qui est sombre pour le transmuter et le libérer. Les alchimistes donnent cette injonction : “Lege, lege relege, ora, labora et invenies” ce qui signifie “Lis, lis, relis, prie, travailles et tu trouveras”… On sait que la suite sous-entendue est la pierre cachée (la pierre alchimique). C’est dans le Labor-Oratoire… l’alchimiste travaille, mais de la manière à laquelle on pense. Il travaille à améliorer sa propre clarté, son discernement, à nettoyer les couches de son être, à se débarrasser des scories.C’est-à-dire de toutes les parties de lui qui ne relèvent pas de son Soi essentiel. .stk-309fa6a{height:22px !important} Une école difficile pour les courageux La planète école Terre est une des plus difficiles. Oui, je mets de côté l’idée étrange que nous puissions être la seule forme de vie dans l’Univers.Ne serait-ce qu’en terme de probabilité mathématique, c’est inenvisageable. La Terre est située dans une dimension très lourde et dense (vibratoirement parlant). Mais ne donnons-nous pas le travail le plus difficile/complexe aux élèves les plus méritants ? Des choses sombres y résident. Les expériences peuvent y être souffrantes, la méchanceté y règne dans malheureusement trop de zones… Nous nous incarnerions donc sur Terre pour faire l’expérience des lois spirituelles qui y opèrent, pour apprendre à les utiliser (ou orienter) dans le but d’alléger la Vibration terrestre. L’élévation de la vibration personnelle de chacun tendant à aider la vibration globale et collective à s’élever par dispersion.De la même façon qu’une source d’eau chaude aidera à réchauffer l’eau froide par propagation, l’amenant peu à peu à devenir plus tiède puis chaude. Alors imaginez si le nombre de sources d’eau chaude devient de plus en plus grand ! .stk-06ea1d8{height:23px !important} Elever la vibration toujours davantage Ainsi, en allégeant la vibration qui règne sur Terre, les expériences qui s’y vivront deviendront de plus en plus légères, douces et élevées.Théoriquement, cela tient la route. Mais, cela doit passer par la prise de distance avec individualisme egocentrique… entre autres choses. On va donc dans la direction opposée à celle proposée précédemment.Même si l’élévation commence par soi, elle a pour but d’aider à élever l’ensemble. A l’instar du colibri, nous avons chacun notre part à faire. .stk-f13a79f{height:13px !important} Tout cela peut sembler très New Age, même si cela ne l’est pas. Des traditions très anciennes parlent de cela.Beaucoup, nous rappelle que le but est de retrouver notre propre divinité.Mais, pour cela, un vrai travail (de purification, nettoyage, tri…) en profondeur doit être fait (cf. la légende de Brahma et la divinité cachée de l’homme) .stk-e283f64{height:22px !important} Proposition : Et si nous étions simplement incarner pour apprendre à être vraiment humain et à vivre ensemble. Ceci sera ma dernière hypothèse.Si mon hypothèse est juste, cela sous-entend que le but premier est de nous amener à apprendre à désapprendre tout ce que notre culture et notre éducation nous a appris. Tout ce qui est transmis de façon erronée de génération en génération… renouvelant l’erreur originelle… Quoi ?  :oops:Ce ne serait pas un péché originel dans l’Eden mais simplement une erreur ! [Cf. l’article : Offrir une nouvelle vision du péché originel dans le jardin d’Eden.] .stk-27e7bd3{height:30px !important} Mais, être humain c’est quoi ? Est-ce qu’on ne naît pas humain ? Du coup, pourquoi chercher à être ce que nous sommes déjà ? La sonorité de ce mot on “naît” est très intéressante. Moi, j’y entends “ne-est”. On n’est pas dans l’être. Bref. Il faudrait donc bien mourir pour pouvoir vivre ? Oui, vous naissez avec ce potentiel. Mais, ce n’est pas parce que nous avons un potentiel que nous l’incarnons. Avant cela, il nous faudrait investiguer notre intériorité et découvrir notre quintessence.Ce qui vous renvoie à la fameuse légende de Brahma : Brahma et la divinité de l’homme cachéeJe vous invite à prendre en considération cette question de réflexion que nous rencontrons parfois : – Tu ne pourrais pas être un peu humain parfois ?  .stk-8b5ea7b{height:24px !important} Réfléchissez avec quoi ça résonne pour vous “être humain” dans cette question. Ainsi, à mon sens, on apprend à être toujours plus humain. Mais, la fin en soi n’est pas que là. L’objectif serait de reconnaître et incarner notre humanité pour ensuite la dépasser. C’est le même principe que pour les “dons” particuliers qui nous sont donnés à la naissance. Nous devons les identifier et le reconnaître avant de les dépasser. Une fois notre humanité parfaitement et totalement expérimentée et incarnée, nous pourrons passer à l’apprentissage suivant : re-devenir divin ou être à la ressemblance de Dieu. Mais pas au sens où vous l’entendez probablement. Je l’entend dans le sens de faire émerger, de reconnaître et incarner notre divinité intérieure. .stk-c051204{height:29px !important} Il vous appartient d’aller plus loin librement Le reste de la réflexion vous appartient.Soyez libre de déposer vos questions, remarques, retours… dans le module de commentaire à votre service.Vous pouvez, vous aussi me transmettre une demande pour que j’aborde une question en particulier dans un futur article. Je vous invite à investiguer votre humanité cette semaine.Par conséquent, je vous souhaite une douce semaiLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 8 mois

    Qui est Dieu et à quoi ressemble-t-il ? Mentionner Dieu est souvent épineux. Cela amène nécessairement à s’exposer à toutes sortes de foudre. Mais, j’ai toujours aimé les challenges. Cela procure une forme d’adrénaline. Donc, j’accepte de prendre ce type de risque 😉 Entre les convictions religieuses, les répulsions personnelles, les croyances individuelles… il est bien souvent épineux de ne serait-ce que mentionner le nom de Dieu. D’autant plus sachant que des noms, en vérité, il en a un paquet ! La difficulté face à ses nombreux noms est complexe. Même dans la Bible, si vous lisez le début : la Genèse, il y a des incohérences. Comme je ne lis pas l’hébreu, j’imagine que cela est lié à une difficulté de traduction et/ou à quelques approximations dues notamment aux interprétations qui peuvent en être faites. Pourtant, il semble clair qu’il y ait la mention de plusieurs Dieux mais qui ont tous, été nommés “Dieu”. Peut-être dans le but d’assoir plus facilement la notion de monothéisme auprès de populations peu éduquées. Si on s’en rapporte aux nombreuses autres cosmogonies (égyptiennes, grecs, amérindiennes, hindouistes, bouddhistes…), toutes rapportent l’existence d’un premier Dieu : Dieu le Père. On pourrait même dire le père du père des pères pour être plus juste. Pour rester dans le sujet souhaité, quand j’évoque Dieu, je parle du premier, celui qui est aussi appelé Absolu; le Tout… le père du père des pères. La personnification de Dieu apporte une compréhension et une incompréhension Lorsque l’Homme a commencé à vouloir répandre la Parole de Dieu, il lui a fallu trouver une manière de la définir. Imaginez-vous à la place du premier que a essayé. Franchement, chapeau, quel courage, quelle témérité ! Je n’aurais voulu être à sa place. Pour accepter de s’exposer dangereusement ainsi il faut être foncièrement altruiste ou être fou… La première question qu’on a du lui poser est : Mais c’est qui Dieu ? A quoi il ressemble ? Pour rappel, on se trouve il y a très très longtemps avant Jésus-Christ. L’école n’existe pas et les populations ne sont pas éduquées. Leur activité principale est survivre. Pour cela, ils cultivent, ont des troupeaux, vont à la chasse, cueillent, récoltent, mangent, dorment, se reproduisent, se battent et se lavent… parfois. Alors, comment leur expliquer ? Hein ? Ah ! ah ! pas si simple ! Gros challenge Personnifier Dieu en en faisant un homme inatteignable, intouchable semble le plus simple n’est-ce pas ?Un homme très très très vieux. Ben oui, il est quant même antérieur à tout ce qui a été. C’est le plus grand vieillard de l’Histoire. Il était là avant Tout. Et c’est comment on reconnait un homme très très vieux à l’époque ? Ben, il a une barbe blanche ! Ce qui est déjà exceptionnel quand on sait que la durée de vie moyenne est en dessous de trente ans. Atteindre l’âge de la barbe blanche est déjà un miracle ! Ok, d’accord mais où je peux le rencontrer ce vieil homme appeler Dieu ? Et oui, ça nous mène là ! A le seconde question. Alors, là il y a deux possibilités : 1- Il est là partout, en nous et en toutes choses. Réponse : – Quoi ? Tu dis qu’il y a ce vieil homme en moi ? Et c’est la colère, la révolte. C’est raté ! Tout est à recommencer. Ca ne tient pas la route. Tout le monde est reparti à ses occupations avec un Pfff ! Il raconte n’importe quoi celui-là ! Et si on lui coupait la langue pour qu’il arrête de dire n’importe quoi ? Ben oui, quoi, un peu d’animation et de spectacle dans ce monde plat de routine, que diable ! Dieu est omniprésent et omnipotent… et le résumé le plus juste. Après libre à vous de vous le figurer comme vous le souhaitez ! 2- En fait, tu ne peux pas le voir parce qu’il habite très haut là-haut dans le ciel. C’est pour cela que tu dois prier très très fort, souvent, avec foi et conviction jusqu’à ce qu’il puisse t’entendre Réponse : – Ah ! Et du coup, à quoi ça me sert de me préoccuper de lui vu qu’il n’habite pas ici et que je ne le verrai jamais? Bref, je ne vais pas vous refaire tout le truc. J’imagine que vous avez saisis le concept. Au final, il a fallu trouver des manières de le représenter de façon intelligible ou au minimum à peu près accessible ou compréhensible pour les personnes de l’époque qui était pour la plupart des bergers. Mais, cette représentation à du être poussée à son max pour qu’il y ait des explications cohérentes. Le moindre raté et vous finissiez mort. A l’époque, on ne faisait pas grand cas de la vie humaine. Ainsi, la personnification a aidé les populations de l’époque à pouvoir comprendre, ou tout au moins accueillir quelques notions. Et, en même temps, cela les a éloigné de l’essence réelle de Dieu. Ce besoin de permettre à ces gens de pouvoir se figurer de quoi on parle, explique aussi l’utilisation constante de métaphores autour du berger, des moutons, seigneur, père, mère… L’introduction de l’idée d’esprit, d’âme et d’ange a dû être une sacré paire de manches ! Je suis vraiment contente de pas être à la place de celui qui s’y est attelé ! Dieu en tant que métaphore Dieu, personne ne l’a jamais vu ;le Fils unique, lui qui est Dieu,lui qui est dans le sein du Père,c’est lui qui l’a fait connaître. – Jean 1, 18 Hé, les gars ! Rien que c’est quelques mots déjà… faut les digérer. On a du mal de nos jours à comprendre la subtilité de l’explication alors à l’époque, faut s’accrocher coton. On retrouve d’ailleurs ici, déjà dans ces quatre lignes, la notion qu’il y a plusieurs Dieu(x).Le Fils est Dieu car il fait partie du Père… comme la Mer ! La goutte d’eau dans la mer est la mer car elle fait partie d’elle. On peut connaitre la mer en reconnaissant que la goutte d’eau fait partie d’elle. Vous comprenez ? oui ? non ? Pas si simple ? Ne pouvant voir Dieu (le Père), on ne peut le décrire qu’à travers des métaphores. Je pourrais d’ailleurs facilement le définir ainsi : Dieu, tous peuvent les voir à tout instant dans toutes choses.Mais pour cela, il faut avoir des yeux qui peuvent voir.  C’est cette impossibilité d’avoir une représentation claire et commune à tous qui rend Dieu différent selon les cultures et les modes de Vie. Car, vous conviendrez qu’il est bien compliqué d’avoir une image commune pour quelque chose qui n’est pas visible avec de yeux humains dans leur état standard/basique. Même avec des capacités de vision extra-sensorielle, ce n’est pas easy ! Alors, si on ajoute à cela qu’il ne faut pas vénérer d’idoles ! Comprenez ici d’images ou de représentations… ça complique encore le problème. Pourtant, toutes les civilisations, mêmes celles qui étaient complètement isolées et n’avaient aucune possibilité d’échange avec d’autres, parlent d’un premier Dieu; quel que soit son nom. Ce Dieu primitif et supérieur, hiérarchiquement parlant, en a ensuite engendré d’autres. Ces Dieux secondaires ont eux-mêmes engendrés la Nature et l’Homme. Intéressant non ? Puis, il est fait la distinction entre le fils de Dieu, les fils de Dieu et les fils des Hommes. Mais on abordera ce point probablement dans un futur article. Sinon, on va en avoir pour l’éternité. Et pourquoi Dieu serait un Homme et pas une Femme ? Ah, ha ! Grande est judicieuse question ! Il semblerait d’ailleurs qu’au départ, selon les vestiges ancestraux qui ont été découverts et très vite cachés ou corrompus, Allah était une femme Allan qui était une des trois déesses vénérées à l’époque. L’article anthropologique sur le sujet, qui en démontrait les preuves a étonnamment disparu de la toile en peu de temps ! Mais, il était trop mal vu pour l’Homme d’une époque lointaine déjà, qui voulait dominer la Femme (qui lui faisait déjà tellement peur à l’époque), que Dieu soit une femme. Non mais vous imaginez !  Il existe un article intéressant qui aborde la question : ici La question a-t-elle un sens lorsqu’on prend conscience que finalement, Dieu est tout et son contraire. Il est l’équilibre parfait.N’est-il donc pas androgyne par essence ?Personnellement, même ce point de vue me semble erroné.Selon moi, Dieu est juste asexué et donc sans genre, le/la fameux/ androgyne primordial. C’est le masculin et le féminin uni en plénitude. Dieu, la force de Vie Dans le Zohar (livre de la Splendeur et de la Loi tiré de la Kabbale) : Dieu n’est qu’une image de son Verbe. Dieu ne saurait être exprimé par aucune pensée ni par aucune forme. Là, j’entends qu’il est impalpable, ineffable… il n’a pas d’apparence, il ne ressemble à rien et il peut prendre n’importe quelle apparence en même temps. Pascal (le philosophe) a dit :  “Dieu est un cercle dont le centre est partout et la circonférence nulle part.Mais comment concevoir un cercle sans circonférence?” Le Zohar propose l’inverse de cette figure paradoxale disant que la circonférence du cercle est partout et le centre nulle part. Mais plutôt qu’un cercle, il évoque une balance qu’il compare l’équilibre universel des choses. «L’équilibre est partout, on trouve donc partout aussi le point central où la balance est suspendue.» Le Zohar décrit l’apparition de Dieu en même temps que la création du monde. La synthèse du Verbe formulé par la figure humaine monte lentement et sort des eaux comme le soleil qui se lève. Quand les yeux ont paru, la lumière a été faite; quand la bouche se montre, les esprits sont créés et la parole se fait entendre.La tête entière est sortie, et voilà le premier jour de la création.Viennent les épaules, les bras et la poitrine, et le travail commence.L’image divine repousse d’une main la mer et soulève de l’autre les continents et les montagnes.Elle grandit, elle grandit toujours.Sa puissance génératrice apparaît, et tous les êtres vont se multiplier; il est debout, enfin, il met un pied sur la terre et l’autre sur la mer, et se mirant tout entier dans l’Océan de la création, il souffle sur son reflet, il appelle son image à la vie.Créons l’homme, a-t-il dit, et l’homme est créé ! Comme vous le comprenez, il est bien malaisé de définir et représenter Dieu. Il peut aussi être perçu comme l’incréé contenu dans chaque chose sous la forme de ce vide plein dans lequel est contenue toute chose. Dans l’infiniment petit, quand on s’intéresse à la physique quantique par exemple, la matière est composée de 90% de vide le reste étant l’ensemble des atomes. Et, si Dieu était simplement là, présent, partout mais invisible ? Mais, ce qui est essentiel, c’est de comprendre que quoi qu’il arrive Dieu est Amour, parce qu’il n’y a que l’Amour qui relie, rapproche mais n’a pas de forme. Vous avez aimé, ou pas, cet article ? Merci de poster un commentaire, ainsi, je pourrais apprécier si ce type de contenu est aidant pour vous ou s’il serait plus opportun que j’investisse du temps et de l’énergie ailleurs, dans un contenu qui vous soit plus profitable 😉 Je vous souhaiLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 9 mois

    La prière cette pratique bénéfique non religieuse La prière est souvent associée à une pratique religieuse. Or, je vous le dis, ce n’est que le résultat d’une stigmatisation. La prière est en réalité une élévat + Lire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 5 ans et 9 mois

    Le mouton noir de la famille Cet article fait écho à un article que j’avais publié, il y a plusieurs années déjà, qui parlait du vilain petit canard (cf. article : Je fais mon coming out). Qu’on l’appelle mouton noir ou vilain petit canard, cette personne dérange par son incapacité, ou sa résistance face, à l’intégration aux normes et règles de la famille (ou autre structure systémique prise en considération). Pourtant cet atome libre, qui ne l’est pas réellement ni totalement, est, selon les constellations familiales et autres sciences systémiques, l’élément perturbateur qui permettra de casser un cycle erroné qui tourne en boucle et générer une révolution (re-évolution). Il est effronté, isolent, anarchiste, réactionnaire, rebelle, marginal… il est l’élément du changement. Cet agitateur est celui qui refusera de se nier pour être intégré ou accepté dans un groupe. Il est entier, dur et insécable (comme l’est l’Âme… la vraie pas la psyché des livres de philo). Refusant de couper une part de sa sphère pour rentrer dans la case carrée qui lui a été attribuée. LE MOUTON NOIR DE LA FAMILLE Les soi-disant “moutons noirs” de la famille sont en fait des chercheurs de chemins de libération pour l’arbre généalogique. Les membres de l’arbre qui ne s’adaptent pas aux normes ou aux traditions du système familial, ceux qui, depuis tout petits, cherchaient constamment à révolutionner les croyances, allant à l’encontre des chemins marqués par les traditions familiales, ceux-là, critiqués, jugés et même rejetés, sont généralement des appels à libérer l’arbre d’histoires répétitives qui ont frustrés des générations entières. Les “brebis noires”, celles qui ne s’adaptent pas, celles qui crient leur rébellion, jouent un rôle de base dans chaque système familial, elles réparent, désintoxiquent et créent une nouvelle branche pleine de fleurs dans l’arbre généalogique. Grâce à ces membres, nos arbres renouvellent leurs racines. Sa rébellion est terre fertile, sa folie est eau qui nourrit, son entêtement est air nouveau, sa passion est le feu qui rallume le cœur des ancêtres. D’innombrables désirs réprimés, de rêves non réalisés, de talents frustrés de nos ancêtres se manifestent dans la rébellion de ces moutons noirs cherchant à se réaliser. L’arbre généalogique, par inertie, veut continuer à maintenir le cours castrateur et toxique de son tronc, ce qui rend la tâche de nos brebis difficile et conflictuelle. Mais qui apporterait de nouvelles fleurs à notre arbre, sinon elles ? Qui créerait de nouvelles branches ? Sans elles, les rêves non réalisés de ceux qui soutiennent l’arbre des générations en arrière seraient enterrés sous leurs propres racines. Que personne ne te fasse douter, soigne ta “rareté” comme la fleur la plus précieuse de ton arbre. Tu es le rêve réalisé de tous tes ancêtres. Bert Hellinger. Traduit de l’espagnol Cet intrus gênant qui solutionne le problème Pourtant, ce mouton noir, cet intrus de par sa différence, va pouvoir amener un regard nouveau, des ressources différentes à l’intérieur de la famille et ainsi générer le changement, créer cette fameuse révolution. Il va briser les chaînes, dévoiler les maillons dissimulés de l’histoire. Or, tout le monde le sait, le changement, ça fait peur et ça fait grincer des dents. Ce mouton noir, pour pouvoir exploiter ses ressources, ce qu’il apporte de nouveau dans le système, va devoir avoir la peau dure et un sale caractère (de ceux qui arrivent à s’imposer et garder le cap contre vents et marées). Car il est entier, droit dans ses bottes, inflexible, insupportable, incontrôlable et insoumis. On le définira comme dur et rebelle et indomptable. Sa nature sauvage lui apportera la force nécessaire pour accomplir sa lourde tâche. Vous imaginez donc facilement ce que cela peut engendrer comme remous en retour, de part les autres membres du système qui eux se sont tous soumis à la Matrice familiale. Pourquoi faire autrement, alors qu’on a toujours fait comme ça ? Et que ce mode de fonctionnement n’a tué personne ! … ou presque… Parce que oui ! Si on n’est pas conscient du schéma répétitif qui entraîne la mort et/ou la maladie, c’est pas comme si on était conscients du processus qui s’opère ! Du coup, ça compte pas non ? Ce qu’on ne connaît pas n’existe pas, n’est-ce pas ? La résistance au changement sera inévitablement. On se moquera, on critiquera, on jugera… ce nouveau comportement, ce nouveau mode de fonctionnement, cette nouvelle manière de vivre dans le monde. Cette nouvelle manière, d’agir, de penser… etc… Même si c’est la solution ultime, pour obtenir la rédemption de toute la lignée et que cela se gagne par cette nouveauté. Un héros non reconnu écrasé de polémique Finalement, ce mouton noir est le sauveur qui va expier les fautes, les incompréhensions, les déséquilibres, les dettes… qui ont été contractées par les ancêtres. Mais, il ne faut pas se leurrer, le rôle est dur à tenir. La pression, insoutenable est constante. C’est comme vouloir remonter un torrent à contre-courant ou faire front à la tempête. Autant vous dire qu’il lui faut avoir de bonnes ressources et savoir être droit dans ses bottes quoi qu’il advienne. Alors certes, il vous agace, vous énerve et vous amène à vous arracher les cheveux ce mouton noir qui refuse de rentrer dans le rang et de faire comme les autres… Mais, ne niez pas l’importance et la difficulté liées à ce qu’il est en train de remuer ! Un changement de regard, d’angle de vue pourrait vous être bénéfique.  Envie d’une petite mise à jour pour mieux accueillir avec plus de sérénité ? De nombreuses possibilités peuvent vous être offertes et proposées lors d’un accompagnement. Celle qui vous convient le mieux sera déterminer ensemble lors de l’accompagnement. Vous  pouvez requérir un premier rendez-vous ici : rendez-vous en présentiel au cabinet à Grasse ou  rendez-vous à distance. JLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 6 ans

    Le plaisir du partage et du libre échange De nos temps où les choses s’accumulent chez nous suite à des appels marketing rLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 6 ans et 3 mois

    L'inconfort comme confort inconfortable du nomade Comme vous le savez peut-être, je me suis transformée en nomade jusqu’au mois de juillet. L’inconfort de la sortie de ma zone de confort a été de faible durée en somme. Une fois le ressenti de l’ego perdant ses repères dépassé. Avec un peu de prévisions logistiques, opérationnelles et organisationnelles, tout s’est allégé et l’inconfort avait quasiment disparu. L’inconfort d’être sans cabinet fixe Après une semaine à gérer les rendez-vous et les consultations sans cabinet… je me retrouve encore plus nomade lol.En effet, l’ancien ayant été quitté et le nouveau n’étant pas encore prêt, je continue de composer avec ce que la vie me donne. Ce qui aurait pu être parfaitement inconfortable et dérangeant. Mais qui n’en a rien été. L’expérience transitoire s’est révélée vivante et challengeante en terme de créativité et de résilience. Après, j’avoue que c’est tenable parce que c’est temporaire. Ce temps pétillant s’est achevé alors que je décollais ce vendredi pour la Mongolie après un arrêt transitoire de 17h en Russie. Nous sommes en pleine coupe de monde de foot et je suis précisément à Moscou, là où cela se déroule. L’Univers a beaucoup d’humour… j’ai une Sainte horreur du foot ! Et on baigne factuellement dans l’Univers de la coupe du monde. Bon, en vérité, cela me fait sourire mais c’est sans réel impact dans mon intériorité. La vie est une constante voie d’apprentissage… d’autant plus au travers des moments d’inconfort J’espère, une fois, encore, transformer ce périple en opportunité d’enseignements à partager avec vous. Car tout, dans cette Vie, selon moi, n’est qu’expérimentations pour nous permettre de prendre davantage conscience de qui nous sommes quand nous sommes alignés au “JE SUIS”. Être nomade, j’y avais goûté déjà l’an dernier durant le pèlerinage vers St Jacques de Compostelle. Et cela avait été très confortable. Le détachement matériel était à son paroxysme, alors que le corps était mis à rude épreuve. La promiscuité des albergues, le confort rudimentaire, la nourriture dans la plus simple expression étaient finalement un effort peu cher payé en contre partie de l’émerveillement que m’a offert ce périple. Et, à cela s’ajoute l’expérimentation de Vivre l’Abondance… Expérience qui ne m’a pas quitté depuis. Avoir le temps de contempler la Nature, écouter ses murmures et ses secrets, se ré-émerveiller de la magie du Divin en toute chose, passer des seuils de conscience, recevoir l’initiation de la Réalité de la La Vraie Vie… tout cela n’a juste pas de prix. Cet inconfort, ne l’a finalement pas été car je n’en percevais les “aléas” qu’en surface. Tous ces points n’avaient pas d’importance. J’étais parfaitement alignée avec ce mode d’existence dépouillée et je n’avais rien d’autre à faire que bénir la beauté du Vivant. Revenons aux circonstances du présent Pour en revenir à l’expérience actuelle, les choses sont différentes. Mon statut de “sans cabinet fixe” a été une bénédiction pour mes patients, et pour moi également. Cela nous a donné l’opportunité de changer de cadre. Moi, j’ai pu revoir le calibrage de ce dont j’ai vraiment besoin, en terme de matériel et de conditions pour œuvrer. Les accompagnements réalisés hors cadres habituels ont été magiques ! Au moment où je vous écris, je viens de voyager près de 6 heures en semi-jeûne (moi qui tiens tellement à mes repas) car mon repas sans lactose n’était pas disponible. Je précise qu’en Russie la gestion des allergies alimentaires est inexistante. Et, en plus, je n’ai quasiment pas dormi dans l’avion… En réalité, tout cela a peu d’importance. Je n’ai presque pas mangé mais, je n’ai pas mal au ventre… moi. Contrairement à ceux qui m’accompagnent. J’ai peu dormi dans l’avion, mais cela m’a permis d’expérimenter les capsules de sommeil. Et c’était une chouette expérience. .stk-d53d7aa{height:26px !important} Le confort est finalement une notion très paradoxale… Comme toutes choses, j’ai envie de dire. Car cette capsule a été, pour moi, du plus grand confort… pendant 3 heures bénéfiques pour mon corps. Après cela, j’ai même trouvé un temps et un petit coin pour pratiquer mon yoga matinal  (salutation au soleil revisitée), à l’abri des regards, derrière un kiosque de duty free. Certes, je ne bénéficiais que de 5mx1m. Ce qui aurait pu être parfaitement inconfortables au demeurant. Mais avec un peu de créativité et d’adaptation, cela fut suffisant et répondit à mon besoin de stimulation corporelle, d’étirements, d’intimité et d’espace. Je vous invite à vous poser cette question : en Vérité, c’est quoi pour vous le confort ? et celle-ci juste après : A quel niveau d’inconfort seriez-vous prêt(e) à vous confronter pour recevoir de merveilleux cadeaux de la Vie et des bénédictions ? Partagez vos réponses en postant un commentaire 😉 J’essaierai, autant que faire se peut, de poster des articles et/ou des photos en temps réels. Mais, il est peLire la suite

  • En afficher davantage

Solverwp- WordPress Theme and Plugin