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  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 8 mois et 2 semaines

    L'Art de présenter ses excuses “Je te prie de m’excuser et je te demande pardon” – Cette phrase est toute simple, tellement immense, et si puissante ! Pourquoi alors, certains ont tellement de mal à la formuler ? Qu’est-ce qui la rend si difficile à prononcer ? Abordons ensemble l’Art de présenter nos excuses. L’art de présenter ses excuses L’art de présenter ses excuses est, à mon sens, trop minimiser. Et, pas suffisamment reconnu.Il n’est pas rare d’entendre “Je m’excuse”. Cette formule courante qui permet d’alléger le poids des choses mais qui n’est en rien en lien avec l’Art de présenter nos excuses. Que nous nous excusions nous-même est une chose, certes. Mais cela ne concerne que nous. Et nullement l’autre ou les autres personne.s qui ont subi le préjudice de nos paroles, pensées, actes, ou autres. Présenter ses excuses, ce n’est pas s’excuser soi. Cela ne regarde que nous et ne concerne personne d’autre que nous. Non. Présenter ses excuses, c’est remettre notre demande à pouvoir être excusé.e.s dans les mains de celle/celui/ceux qui ont été touchés. Tout le monde fait des erreurs et génèrent des impacts ou des blessures aux autres C’est regrettable, ou pas d’ailleurs, mais personne n’est parfait. Vouloir se prétendre à soi-même que nous tendons à l’être, est l’assurance de s’offrir une vie d’enfer et de souffrance à soi et ceux qui nous côtoient. Il s’agit d’une des pires illusions. Dans la Bhagavad-gita, il est dit que les 3 plus grands péchés les trois gunas sont : la méchanceté, l’ignorance et la recherche de vertu. La recherche de vertu dans le sens de se croire vertueux ou de vouloir entretenir une image nécessairement illusoire de perfection. Cela est un piège qui est le fruit d’une stratégie pour collecter de l’amour. Cela est aussi reconnu comme un driver. Bref, ce qui se joue n’est donc pas de savoir si nous faisons des erreurs et infligeons des impacts autour de nous. Car c’est un fait, nous faisons constamment cela sans nous en rendre compte, souvent; par choix ou intention parfois. Ce qui se joue réellement, c’est d’apprendre à présenter nos excuses. Même si nous ne voyons pas où nous avons trébuché. Et aussi, évidemment, d’autant plus même, lorsque nous le percevons. Demander pardon est un témoignage d’intelligence Croire ou faire croire avoir raison est finalement chose facile. Nous pouvons facilement nous en persuader nous-même et aussi en persuader, par des manipulations réthoriques perceptives, ou cognitives notamment, en convaincre les autres. Mais, cela ne sert véritablement à rien à part gonfler notre ego. Cela ne fait de nous ni quelqu’un de meilleur ni de moins bon. Et cette manipulation n’a aucun impact réel sur notre valeur. Savoir demander pardon est une preuve d’intelligence. Car alors, nous acceptons que nous sommes perfectibles et que nous sommes conscient.e.s que notre perception humaine est limitée. Ce qui est un fait scientifique et clinique avéré. Or, cela concerne tout le monde. Celui qui ne l’accepte pas fait témoignage d’autre chose que d’intelligence. On m’avait affirmé, il y a quelque temps que pardonner l’autre pourrait l’encourager à réitérer ses fautes. Si vous pensez cela, je vous invite à lire cet article : Pardonner encourage-t-il les autres à persister dans leur (s) erreur (s) ? Pourquoi ne parvenons-nous pas, alors, à présenter nos excuses ou à demander pardon ? Il s’agit d’un problème d’ego et plus particulièrement un témoignage de fierté mal positionnée ou mal aspectée. Accepter de présenter nos excuses ou demander pardon pour beaucoup de personnes qui n’y parviennent pas reviendrait à dire : – Oui, j’ai péché. C’est ma faute. Ma très grande faute. Je suis quelqu’un de petit, de mauvais… ou autre. Mais, cela, ce n’est que l’histoire que nous racontons. Ce n’est pas vrai. Présenter nos excuses ou demander pardon de nous diminue pas. La seule chose qui diminue c’est l’enflure de notre propre ego. Si nous sommes honnête, qu’est -ce que cela coute de dire : – J’entends/comprends/observe que tu as été blessé.e. par mes actes/actions/propos. Je te demande pardon et te présente mes excuses pour ce que j’ai pu te faire endurer. L’étape d’après étant de pouvoir offrir un : – Comment puis-rectifier cela ? ou Comment puis-je me rattraper ? ou Comment puis-je t’aider à me pardonner ? Nous ne sommes peut-être pas responsable de la totalité de l’impact. Mais est-ce qu’il ne vaut mieux pas soulager la douleur que résonne alors dans notre relation. Plutôt que de discuter la taille du bout de gras qui correspond à notre part de responsabilité dans l’histoire ? Evidemment, que nous pourrons ensuite verbaliser des demandes, avoir des discussions, ajuster les choses… etc… Mais comme dans tout incendie, d’abord, il est essentiel d’éteindre le feu. Et, de toutes les manières, il y a un précepte inévitable : Nous sommes co-responsables de tout ce qui peut se jouer dans la relation. Car, de fait, nous en sommes co-acteur. Intrinsèquement, nous avons joué un rôle dans ce qui s’est joué dans la relation. Avoir conscience de cela est extrêmement important et imminement essentiel. J’ai parlais récemment sur les réseaux sociaux.           Voir cette publication sur Instagram                       Une publication partagée par Laetitia Trilleau (Accompagnement Authentique de l’Être) (@laetitiatrilleau) Qui je suis si je ne m’autorise pas à présenter mes excuses ou à demander pardon pour les tords conscients et inconscients que j’inflige aux autres ? Il ne s’agit pas ici d’une invitation à prendre responsabilité des tords d’autrui. Mais uniquement des nôtres qu’ils soient connus ou inconnus de nous. D’ailleurs, il existe une pratique en lien avec cela, qui va même plus loin. Elle se relie alors à la vision de l’interdépendance universelle et à la notion de constellations familiales… avec une vision dans laquelle l’humanité entière est une même famille. Dans ce contexte, l’autre est une part de moi et je suis une part de lui. Cette pratique, vous la connaissez peut-être. Elle se nomme Hoʻoponopono. Voici ce qu’en dit Wikipedia : Le Hoʻoponopono (ho-o-pono-pono, parfois traduit en « remettre les choses en ordre », « rétablir l’équilibre ») est une tradition sociale et spirituelle de repentir et de réconciliation des anciens Hawaïens. Des coutumes identiques de thérapie familiale se retrouvent aussi dans toute la région de l’océan Pacifique. Le hoʻoponopono traditionnel était dirigé par un ou une kahuna lāʻau lapaʻau1 (prêtre guérisseur ou prêtresse guérisseuse) pour guérir les maladies physiques ou psychiques au sein des groupes familiaux. La plupart des versions modernes sont conçues de telle façon que chacun puisse le faire seul. Dans sa pratique la plus basique, elle consiste à verbaliser ceci : .stk-d13d9b2{align-items:center !important;display:flex !important}.stk-d13d9b2 .stk-block-blockquote__content{align-items:center !important;padding-top:12px !important;padding-right:12px !important;padding-bottom:12px !important;padding-left:12px !important;display:flex !important} .stk-2507dff{left:-4px !important;position:absolute !important;opacity:0.2 !important;z-index:0 !important}.stk-2507dff .stk–svg-wrapper .stk–inner-svg svg:last-child{height:100px !important;width:100px !important;transform:rotate(5deg) !important} .stk-0b6624e{box-shadow:0 0 0 2px rgba(120,120,120,0.1) !important}Je suis désolé.eS’il te plaîtPardonne-moiJe t’aimeMerci à toute personne à qui nous souhaitons du bien, que nous souhaitons voir devenir meilleure, guérir, s’améliorer, être départie de méchanceté, douleur, souffrance …etc… Alors, pourquoi ne pas commencer à offrir cela aux personnes qui sont en lien avec nous et qui sont chères à notre coeur ? Cela ne nous rendra pas moins bon.ne. Le seul risque ici est que ces bons sentiments et ces bonnes sentiments qui nous traversent contribuent à nous rendre meilleur.e. nous aussi. Cela commence ici. Je tiens de tout coeur à vous offrir ce cadeau en vous souhaitant de pouvoir l’offrir à votre tour, si tel est votre choix. Si d’une manière ou d’une autre j’ai pu vous blesser, en parole, en écrit, en pensée ou en actes, je vous présente mes excuses. Pardonnez-moi, s’il vous pLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 9 mois et 2 semaines

    Renoncer pour vivre mieux Choisir, c’est renoncer – dit le philosophe. Choisir c’est le moyen qui nous est donné pour créer notre vie. Mais renoncer, ce n’est pas toujours une évidence. Loin de là ! Même lorsqu’intérieurement nous savons que tout est perdu ou que rien n’est à sauver. J’ai, à plusieurs reprises, rencontré des personnes qui se refusaient le droit de choisir. Ou, pour qui choisir était une véritable impossibilité fonctionnelle. Cela peut sembler fou ou bizarre mais c’est un fait. Certaines personnes ne peuvent pas choisir. Cet acte est en dehors de leur portée. De la même façon que je ne peux, malheureusement pas, me téléporter d’un point A à un point B. Ils ne peuvent pas faire un choix. Dans leur univers, choisir, ce n’est pas renoncer, c’est mourir. Renoncer revient à accepter de tuer une multitude d’expériences qui auraient pu en découler. C’est aussi parfois être contraint.e de faire un deuil qui a été pour elles impossible à réaliser. Ce dont il s’agit ici est une transformation profonde à mettre en mouvement pour modifier ce qui peut être considéré comme un bug. Mais qui est, en réalité, la seule option trouvée par la psyché pour continuer à vivre… pour le moment. Ce qui est beau c’est que d’autres options existent. Et que la vie viendra inévitablement leur proposer. Mais encore faut-il s’autoriser à les percevoir. Il s’agit alors de choisir un nouveau chemin et de s’y aventurer pour redevenir vivant.e. Il s’agit alors de mettre en oeuvre un travail sur mesure pour permettre aux éléments de prendre leur juste place pour que les processus internes redeviennent fonctionnels. La proposition d’apprendre à renoncer pour vivre mieux a aussi bien d’autres aspects Apprendre à renoncer, c’est une prolongation de l’apprentissage du savoir dire non. Dire non est une épreuve pour beaucoup. Mais c’est une nécessité pour pouvoir gagner en qualité de Vie. Car, c’est le seul moyen de pouvoir nous rapprocher d’une vie conforme à notre vérité et en résonance avec qui nous sommes. Il n’y a que comme cela que nous pourrons rejoindre le chemin de l’alignement avec nous-même. Cela passe par de toutes petites choses qui derrière leur apparence de rien du tout sont énormes Refuser d’aller à l’apéro de notre meilleur.e ami.e parce que nous sommes vraiment épuisé.e n’est pas évident à accepter. Cela pourra peut-être aussi être difficile à accueillir pour notre ami.e. Toutefois, c’est aussi le cas, pour soi, avant même de nous raconter que l’autre pourrait mal le prendre. Souvent, la culpabilité, le regard des autres, la peur du jugement viennent s’insinuer ici. Pas parce nous faisons quelque chose de mal ou de discutable. Ni même parce que quelqu’un pourrait penser que nous ne sommes pas loyal.e. Ce qui dans tous les cas de figure ne nous regarde pas puisque cela lui appartient.Mais parce qu’une partie de nous culpabilise d’être fatigué.e, d’avoir besoin de repos, d’avoir un espace seul.e pour se retrouver, de ne pas se sacrifier… ou autre chose… au point de devoir renoncer à un moment de plaisir, de partage, de détente ou qui aurait pu avoir une autre saveur pour nous. Il est facile de renoncer à considérer que nous avons des limites C’est très humain de se mentir en se racontant que nous pouvons encore faire cela en plus du reste. Tout de même, ce n’est pas grand chose ! On pourrait au moins. faire ce petit effort…Et, en général, notre entourage nous renvoie la même chose : Que nous pourrions faire l’effort de… Au moins ça… ça ne nous coûte pas grand-chose. C’est juste… Je vous laisse remplir les … Mais ces petits trucs finissent par prendre trop de place, trop de temps, trop d’énergie. Et même si ça ne va pas nous tuer (bien que cela pourrait), cela peut nous éloigner un peu plus de soi-même. Nous amener à nous écouter encore un peu moins, à dépasser encore un peu plus la limite, à chuter dans un burn out ou véritablement nous tuer. Si si, un accident bête dû à un épuisement, cela arrive plus souvent qu’on ne veut bien le croire. Alors certes, il n’est pas nécessairement mortel mais c’est aussi une possibilité. Comme celle d’avoir des séquelles physiques, mentales ou spirituelles pour le reste de notre vie. Mon but n’est pas de faire peur mais de nous amener à prendre conscience des ces petits riens qui changent tout et font beaucoup. Comme le petit rien qui nous oblige tous les dimanches à participer à un repas de famille avec belle-mamie. Repas durant lequel chacun ressert tous les vieux dossiers amers et aigres de la famille et son entourage. Qu’ensemble, en famille plus affinités, nous pouvons tous à nouveau partager au déjeuner. Bon appétit ! Pourquoi continuer à faire perdurer cela ? – Parce qu’on a toujours fait comme ça ? Ok, mais est-ce que c’est juste pour moi de continuer à me nourrir tous les dimanches de cela ?Il est très probable que non. Alors, pourquoi continue-t-on ? Ah ! c’est le moment que nous partageons avec belle-mamie pour qu’elle ne soit pas seule ?Ok ! Mais du coup, est-ce qu’on ne pourrait pas partager un autre temps avec elle qui pourrait être plus doux, et plus aligné avec ce que nous aimerions partager avec elle ? Après, le choix de renoncer à ce moment de partage de chaos, de haine, de colère… nous revient. Chacun voit midi à sa porte. Il en est de même pour tout. Qu’est-ce qui nous coute dans notre semaine mais qui n’a pas de sens ?Est-ce que nous sommes prêt.e.s à renoncer à cela ou pas ? Il n’y a pas de bonne réponse. Il n’y a que la vérité qui est la nôtre. En fonction, il est possible d’accepter, de dépasser (en renonçant pas exemple), de transformer (choisir une autre forme) et de l’intégrer (vivre et expérimenter cela) Renoncer à cela et renoncer aussi au bénéfice secondaire Pour illustrer la notion de bénéfice secondaire, je vais vous raconter une anecdote. Mais vous êtes libre d’aller directement à la suite. Il y a de cela fort longtemps, je travaillais pour une célèbre multi-nationale. Et, il était de coutume de parler de dossiers importants de façon informelle autour du café. Au départ, comme il y avait beaucoup de fumeur dans mon service (tous sauf moi en réalité) les dossiers étaient discutés dehors pendant la pause café qui était de fait une pause café-cigarette. Cela, semblait ok pour tout le monde. Car, c’était le seul moment où nous étions véritablement ensemble, physiquement, en équipe. Le reste du temps, comme nous travaillions avec des équipes dont les membres étaient répartis dans toute l’Europe et le reste du monde, on ne faisait que cohabiter dans des bureaux qui se situaient dans un même bâtiment. Or, un jour, il y eu une réforme. La société qui nous employait avait décidé que ce n’était plus ok de fumer dehors devant le bâtiment. Et qu’il n’était plus autorisé de sortir du bâtiment pour réaliser nos pause (hors pause déjeuner). Car cela amenait les employés à prendre des pauses trop longues. Alors, il fut installé une pièce de pause fumeur. Entendez un aquarium atroce, horrible et puant. Je ne partageais donc plus la pause avec les autres. Mais, rapidement, je me suis aperçue que des décisions importantes qui impactaient directement mon travail étaient prises durant la pose. C’était un véritable problème car personne ne m’en informait. Alors j’ai tenté l’expérience de faire la pause avec les autres membres de mon service. Eux, dans leur espace insupportable et moi de l’autre côté de la vitre. Dès le premier essai, je me suis rendue compte que cela était inacceptable et non vivable pour moi. Leur aquarium avait « des fuites » l’odeur était atroce. Et ce n’était pas des conditions de travail décentes. D’autant plus que ce temps était sensé être un temps de pause. Rien ne fonctionnait. Alors, j’ai fait le choix de renoncer à ce temps et d’expliquer à l’équipe les points qui me posaient question et problème. J’aurais pu continuer à accepter cela pour facilité la vie de tout le monde, aller dans le sens du groupe, sécuriser l’espace et entretenir la peur de rater des infos… Mais, ce n’est pas le genre de la maison. J’ai donc renoncé à ce temps de partage et accepté de prendre le risque de rater des infos importantes ou même cruciales. Puis, j’ai partagé ce choix en réunion d’équipe. Le pourquoi, les tenants et les aboutissants. Ensemble, nous avons choisi de fonctionner autrement. Les décisions ne seraient plus prises dans cet espace. Ou, si elles venaient à l’être, elles se devaient d’être communiquer à l’ensemble.Ce qui a été une très bonne décision. Car peu de temps après, plusieurs membres de l’équipe décidaient d’arrêter de fumer durant les pauses. De fait, le fumoir n’était ni un espace vivable, ni un espace décent. Et, une part des bénéfices secondaires ayant été effacée. Le choix s’est avéré plus simple. Pour conclure à propos de ce choix de renoncer Il me semble essentiel de poser ici qu’à chaque fois que nous avons le courage, en conscience, avec justesse et discernement de renoncer à quelque chose qui ne nous convient pas/plus ou à une proposition qui nous est faite (même si nous aurions aimé nous laisser séduire par celle-ci) nous faisons un pas vers nous. Nous nous permettons ainsi de rester aligné.e ou de nous aligner davantage avec qui nous sommes et ce dont nous avons besoin. Cette qualité d’écoute, d’accueil et d’acceptation nous permet alors de cultiver un vivre mieux et de développer un sentiment de liberté. Or, cette liberté est le fruit de nos choix posés. Nous ne sommes alors plus prisonnier de notre vie, nous devenons acteur-constructeur. Certains disent créateurs 😉 Alors à quoi sommes-nous prêts à renoncer pour accepter de mieux être ? Je vous laisse la liberté de répondreLire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 10 mois

    Je sais que je ne sais rien Cette parole de Socrate rapportée par Platon peut être le départ d’une multitude de discussions. Je sais que je ne sais rien résume, à mon sens la peti + Lire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 10 mois et 1 semaine

    Lorsque l’inspiration n’est pas là… Ah ! L’inspiration quel courant merveilleux !Quoi de plus beau et de plus enivrant de légèreté que l’inspiration ?Elle nous porte et nous emporte, ouvrant u + Lire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 10 mois et 1 semaine

    Comment définir nos besoins ? La question des besoins est une question centrale dans beaucoup de cas de figure. Il est essentiel, pour jouir d’une vie sereine et apaisée de pourvoir répondre à + Lire la suite

  • Bonsoir, Je te prie de m’excusez-moi pour le temps de réponse. Ce serait avec plaisir 😉 quel type de lanterne pour illuminer quelle zone ?

  • Bonsoir Bert, Dans ma perception, cette matrice n’est pas d’origine humaine. Les humains n’y sont que des éléments qui y participent et la nourrissent. Croire qu’une poignée d’hommes contrôlent les masses, est […]

  • Bonsoir Bert, Dans ma perception, cette matrice n’est pas d’origine humaine. Les humains n’y sont que des éléments qui y participent et la nourrissent. Croire qu’une poignée d’hommes contrôlent les mas […]

  • Bonjour Gent, Merci de votre commentaire. Effectivement, il n’est souvent pas nécessaire d’aller bien loin car tout est déjà là. Mais parfois… pour pouvoir percevoir ce qui est déjà, nous avons besoin de no […]

  • Merci de votre commentaire circonstancié 🙂 Et de votre partage Peut-être s’agit-il d’un homonyme, plus contemporain. Je vous souhaite une douce journée

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 11 mois et 2 semaines

    L'usage de notre temps L’usage que nous faisons de notre temps de vie est un point essentiel et incontournable. Il n’est pas possible de vivre sans se poser sur cette question, sans + Lire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 11 mois et 3 semaines

    Comment avouer un mensonge et être pardonné.e ? Dans les précédents articles abordant le thème du mensonge, nous avons abordé ce qui se joue et comment la boucle infernale se met en oeuvre. Aujourd’hui, la que + Lire la suite

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 1 an

    La supervision de groupe : un espace d'authenticité, de justesse et d'alignement La supervision de groupe est une pratique professionnelle essentielle pour les coachs, les thérapeutes, les travailleurs sociaux, les éducateurs, les p + Lire la suite

  • Bonsoir Céleste, Je vous prie de m’excuser pour le temps de réponse. Il me semblait vous avoir répondu, mais que ma réponse n’a pas été prise en compte. Il est bien complexe de vous proposer une réponse en deu […]

  • Bonjour, C’est un plaisir. Dans le monde de l’énergétique, il est essentiel d’être vigilant.e et de faire preuve d’un très grand discernement. Il ne s’agit pas de processus anodin et sans conséquence. Même si l’ […]

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 1 an

    Comment améliorer votre pratique grâce à la supervision coaching ? Comme vous le savez en tant que coach, le coaching est une pratique professionnelle qui permet d’accompagner une personne ou une équipe dans l’atteinte de ses + Lire la suite

  • Bonsoir, Merci de votre message. Je vous réponds par e-mail. Bon week-end

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 1 an

    Entendre l'appel, avoir l'inspiration… Être Crédits : Lætitia Trilleau Entendre l’appel, avoir l’élan de… ou ressentir l’envie de… sans recevoir l’inspiration habituelle… Comment peut-on alors êt + Lire la suite

  • Merci. Rien de mieux qu’une tête bien coupée (:yes:) Tiens quand j’écris ça, cela fait écho avec la reine de coeur dans Alice au pays de merveille. Il va falloir que je regarde ça de plus près 😉

  • Lætitia TRILLEAU a écrit un nouvel article il y a 1 an

    Qui suis-je ? La dichotomie de la définition de mon identité Qui suis-je ? En voilà une question ! Or, la définition de notre identité est pour beaucoup d’entre nous une question cruciale. Surtout lorsqu’il s’agit de re + Lire la suite

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