Il était une fois le trauma est un article invité rédigé par Emmanuelle GOLETTO TRILLEAU BAEUMLER
Vous avez envie d’aller de l’avant, vous projeter, comme si de rien n’était… Mais c’est arrivé… et si certains ont réussi à aller de l’avant, pour vous comme pour d’autres, tout s’est arrêté.
Il n’y a pas de règle, chacun réagit différemment, et c’est plus ou moins confortable… pour soi, mais aussi pour l’entourage.
On essaie parfois de passer à autre chose et de faire comme si tout allait bien, pour soi et pour l’entourage.
Parfois, on pense qu’on peut ou qu’on a dépassé tout ça, tout seul.
Il se peut même qu’on ait amnésié, ce qui, il faut bien l’avouer, peut sembler être une belle et confortable protection hypnotique) sauf qu’un beau jour, sans qu’on s’y attende, c’est l’enfer.
On ne se reconnaît plus. Un symptôme apparaît, une douleur, une maladie, une rage, un désespoir, des crises de panique, un mal-être incompréhensible, des cauchemars, des hallucinations, des flash-backs, etc.
On ne sait même plus ce qu’il s’est passé pour que ça change : un geste, un mot, une personne ou un lieu, une scène dans un film a réveillé ce qui était enfoui et cela s’exprime, sous forme de symptômes, de cauchemars, de reviviscences, d’hallucinations, etc.
Et on se sent seul, sans savoir vers qui se tourner même si le trauma est là.
On pense avoir perdu la tête. Alors, on essaie de contrôler. On se dit même parfois que non, on ne mérite pas d’avoir de l’aide, d’aller mieux, de continuer à vivre…
D’autant plus quand l’entourage pense aider en disant :
« C’est rien, c’est ridicule, ça va passer, tu es plus fort/e que ça, tu devrais être heureux/se d’être en vie »…
Non ! Ce sont bien souvent les signes d’un état de stress post-traumatique qui doivent vous alerter et vous amener à consulter.
Vous avez le droit de vivre mieux au-delà du trauma !
On ne fait pas toujours le lien entre ce qu’on vit et l’évènement déclencheur. Cela paraît évident pour les traumas de guerre et les victimes d’attentats.
Mais il est déjà moins évident de faire le lien entre une fatigue au volant et un petit accident de la route vécu quelques années plus tôt…
Une peur démesurée pour son enfant et cette petite seconde où on l’a cru sans vie le jour de sa naissance parce qu’il n’a pas respiré de suite. Ou parce que soi-même on a eu une naissance difficile, parce qu’on a perdu un enfant… Et quand je parle de perte d’un enfant, je parle aussi de IVG, l’IMG et des fausses-couches. Même si les choix ont été mûrement réfléchis et « acceptés ».
Ou encore ce manque de libido, cette colère, ce manque de confiance en soi, ou encore ces difficultés qu’on rencontre dans notre vie amoureuse et qui peuvent avoir de multiples origines.
C’est là. On croit parfois que c’est notre caractère…mais comment on fait pour se libérer, aller mieux, être serein et reprendre enfin goût à la vie ?
A l’aide de différents outils, dont l’hypnose PTR, je vous accompagne pour vous permettre de libérer et digérer les émotions rattachées aux petits et grands traumas que vous avez vécus, un peu comme dans vice-versa, le dessin animé, vous voyez ?
L’hypnose PTR est une hypnose conversationnelle. La personne est invitée à créer ses propres solutions, de la manière la plus confortable qui soit.
Une fois le travail fait, elle se souvient du travail effectué et elle peut enfin en parler. Et, cela sans que ce soit douloureux, avec une disparition des cauchemars et autres difficultés liées au/x trauma/s, quelle qu’en soit l’origine, dans cette vie ou bien avant.
Par la suite, on peut travailler sur d’autres objectifs, si c’est encore utile.
Pour la perte de poids, dans la majorité des cas, la libération des émotions a suffi puisque même les troubles compulsifs alimentaires cessent d’eux-mêmes, par contre, certains objectifs nécessitent des apprentissages spécifiques.
Cet article invité à été rédigé par Emmanuelle BAEUMLER qui consulte dans le Var.
Besoin de dépasser un trauma ?
Pour plus d’infos : www.hypnose-therapiebreve.fr ou 0611812535
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