Le chemin vers le bonheur n’est pas toujours confortable
Le chemin qui mène au bonheur n’est pas toujours confortable
Pour arriver au bonheur, il faut souvent subir une sorte de traversée du désert inconfortable. Mais le jeu en vaut la chandelle !
Le bonheur est une notion vaste et paradoxale que nous relions souvent à l’idée de confort.
Il y a une multitude de manières d’accéder au bonheur.
Certains courants nous apprennent que le bonheur est là, partout et qu’il suffit de prendre sa part en relativisant.
Mais en relativisant, personnellement, je me suis rendue compte que c’est la joie qui, par essence, est omniprésente et inconditionnelle. On peut, en effet, se réjouir d’une multitude de choses à partir du moment où on a choisi de vivre dans un état de conscience connecté à la Joie, à l’accueil de ce qui est.
Il y a une multitude de raisons d’être en joie.
Le simple fait d’être en Vie, de pouvoir respirer, accueillir la lumière du soleil ou jouir de sa chaleur devrait suffire à nous mettre en Joie.
Mais, étonnamment, ce n’est pas le cas pour la plupart des humains. Or, la plupart des ces êtres coupés de leur Joie ne savent même pas pourquoi ils vivent dans un état de mal-être permanent. Et ça, c’est dramatique.
Régulièrement, j’accompagne des personnes qui vivent dans le mal-être depuis des années sans raison et veulent en sortir. Et, vous savez quoi ? Elles y arrivent ! Alors, certes, je ne vous cache pas que cela passe par une période difficile temporaire qui se solde par une renaissance
Témoignage : Passer par l’étape la plus difficile de sa vie pour revenir à la Vie
Ma vision du bonheur, qui est plus grande est liée à une forme de contentement intérieur.
Je tiens à appuyer sur la notion de : intérieur. Il s’agit bien d’un contentement intérieur.
En effet, je suis convaincue que le bonheur vient de l’intérieur.
C’est une question de conditionnement interne.
Si on choisit de vivre le bonheur, on vivra le bonheur, quoi qu’il advienne. Car le bonheur, ça se décide et cela vient de l’intérieur. Le reste, c’est autre chose, cela s’appelle les aléas de la vie. Or, c’est aléas viennent à nous pour que nous puissions faire une expérience. Il n’y a ni chance ni malchance, il y a juste l’expérience et l’apprentissage qu’elle nous offre.
On ne sait pas d’avance ce qui va arriver et c’est cela qui donne du piment à la vie, qui lui donne de la saveur. Ceux qui savent d’avance que cui va advenir, finissent mal psychologiquement, vous n’avez qu’à observer les voyants, ils ont tous une déprime avérée ou cachée. C’est bien normal, comment profiter d’une douceur de la vie, sachant quand et comment elle va s’achever ? C’est une véritable torture psychique. Savoir comment l’histoire finit enlève le bonheur de la surprise. C’est comme connaitre la fin d’un film à suspense avant de le regarder. C’est l’angoisse !
Alors, faites un choix pour vous-mêmes maintenant. Est-ce que vous voulez être heureux/se ou pas ?
Je vois d’ici votre objection :
– Non mais attends Lætitia ! Tu nous rabâches constamment que le monde extérieur est le reflet de notre monde intérieur et inversement alors pourquoi tu dis que le monde extérieur n’a pas d’incidence sur notre capacité au bonheur ?
Oui, c’est vrai. D’ailleurs, pour celles ou ceux qui en doutent, l’article principale abordant ce point est ici : Le monde extérieur est le reflet de notre monde intérieur.
Nous pourrions avoir un long et épineux débat sur l’influence des autres et de la conséquence des impondérables sur notre bonheur intérieur mais ce serait trop long. Et surtout inutile.
D’autant plus qu’en expérimentant cette possibilité, le résultat est là, inévitablement !
Ah ! la puissance des filtres et des paradigmes est incroyable !
Si vous souhaitez aller plus loin sur ce thème du bonheur et notre capacité à être heureux/se, je vous invite à découvrir : J’ai décidé d’être heureux/se . C’est un livre pratique traite de ce point essentiel et vous permet de mettre en oeuvre des petites actions pour des grands résultats au quotidien.
Mais aujourd’hui, je tiens aussi à vous faire comprendre la notion de zone de confort.
Le bonheur passe souvent par des changements ou par la transformation. Hors, les véritables ou les grands changements impliquent de sortir de notre zone de confort.
Cette démarche inconfortable est une étape clé pour grandir, s’épanouir, s’élever. Mais, elle demande d’avoir confiance en soi.
Voyez ou revoyez cette vidéo très explicite. (en anglais sous-titré français)
Se lancer, avoir l’impulsion est la première grande étape.
Ne pas faire marche arrière et persister en est la seconde.
Par la suite, les choses prennent leur place et remplace vos anciennes habitudes par de nouvelles qui créeront votre nouveau confort.
Les plus grandes aventures commencent par un premier pas.
Vous souhaitez améliorer votre quotidien, modifier ou ajuster un élément de votre vie… mais vous sentez que vous avec besoin d’être aidé(e) ou accompagné(e) ? Si vous le souhaitez, je suis à votre service. Il vous suffit de réserver votre rendez-vous ici.
Postez vos questions, remarques et autres messages en utilisant le module de commentaires.
[…] sa vie, elle avait suivi un chemin spirituel et croyait en la réincarnation comme au soleil qui se lève chaque […]
[…] comme l’autre, sommes nés avec un pied dans le subtil, avons expérimenté l’inconfort d’un manque inexpliqué et inexplicable d’une partie de Soi. Dans nos vies respectives, […]
[…] médiocrité de ses acquis plutôt que d’avoir le courage de Vivre ou Mourir en goûtant au bonheur, à la joie, à l’excitation, à la […]
[…] voir, il s’offre la possibilité de statuer que cela n’existe pas. Et cela peut être confortable. Mais ce n’est pas parce que l’on ne croit pas en quelque chose que ça n’existe […]
[…] n’advient que lorsqu’on abandonne. Or, pour certaines personnes l’échec est confortable car alors, rien ne change. Elles peuvent rester dans leur inertie. Cela leur évite de sortir de […]
[…] moyen et/ou standard est malheureux, puisque la majorité de la population est insatisfaite, inconfortable, … Cela revient à dire que seule une minorité est saine. Alors, franchement, à choisir, […]
[…] Il s’agit de la première notion à apprendre sur le long chemin vers le bonheur. […]
[…] la solution est simple. Tellement simple qu’elle fait peur. L’humain n’a jamais possédé autant de choses inutiles qu’aujourd’hui. Je […]
[…] si vous ne trouvez pas votre bonheur, soyez libre de me transmettre un […]
[…] . Il faut installer des automatismes, des habitudes, créer une nouvelle routine. Comme pour tout changement ou toute transformation, le temps que les nouveaux éléments s’installent et que […]
[…] comme « contourner notre peur d’être libre, en nous sabordant, pour rester dans notre zone de confort inconfortable ». Alors, l’envie ne sera pas suffisante car la Volonté n’est en […]
[…] comme l’autre, sommes nés avec un pied dans le subtil, avons expérimenté l’inconfort d’un manque inexpliqué et inexplicable d’une partie de Soi. Dans nos vies respectives, […]
[…] avons des résistances, c’est un autre problème lié à la difficulté de sortir de notre zone de confort, en d’autres mots : la résistance au […]
[…] sa vie, elle avait suivi un chemin spirituel et croyait en la réincarnation comme au soleil qui se lève chaque […]
[…] que vous devez prendre en considération pour que vous puissiez avancer avec justesse, sur votre vrai chemin… pour vous. Tenir compte de ces éléments ou les mettre en oeuvre, cela se passe entre vous […]
[…] est important de savoir que ce n’est qu’une étape. Inconfortable certes, mais qui passera lorsque nous aurons atteint l’étape d’après : […]