Pendant les 33 dernières années, tous les matins, en me regardant dans la glace, je me suis demandé : « Si je devais mourir demain, est-ce que j’aurais envie de faire ce que je vais faire aujourd’hui ? »
Que « Non » revienne trop souvent, et je savais que le moment était venu de faire bouger les choses… Tout ou presque – les attentes des autres, l’orgueil, la peur de la honte, ou de l’échec -, toutes ces choses disparaissent face à la mort. Seul demeure ce qui est vraiment important. Se souvenir que l’on va mourir est le meilleur moyen que je connaisse de ne pas céder à la tentation stupide de croire que l’on a quelque chose à perdre
– Steve Jobs
Si je partage ce texte avec vous, c’est parce que nous vivons aujourd’hui ici et maintenant.
Vous avez des résistances au changement ? vous procrastinez ?
Vivre un cauchemar et continuer à le subir, par routine, en vous disant que dans 10 ans, vous pourriez, grâce à ce sacrifice, faire ci ou ça est hypothétique.
Feriez-vous la même chose si vous saviez que ce pour quoi vous vous affligez tant de souffrances a moins de 20 % de chance de se réaliser ?
Pour reprendre l’idée du texte, si vous deviez mourir demain, que changeriez-vous ?
Bientôt, je vous parlerai de notre crédit « temps ».
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