Comment aller mieux et passer du bien-être au mieux-être ?

Comme vous le savez, j’aime aborder ces questions essentielles que de nombreuses personnes se posent sans trouver de réponses appropriées. Or, dans la très grande majorité des cas, la réponse que l’on obtient à la question essentielle incriminée, lorsqu’on ose la poser, est une réponse qui ne correspond pas à notre besoin. Car la réponse offerte est la solution qui est adaptée à la personne qui l’a trouvée… pour elle. Cette solution est donc la bonne solution pour elle et non celle qui répond au(x) besoin(s) ou à la problématique de quelqu’un d’autres en l’occurrence nous.

Comment aller mieux et passer du bien-être au mieux-être ?

Cette question essentielle qui nous engage au moins par l’intention (ce qui est déjà considérable) dans une quête vers le mieux-être trouve malheureusement peu de salut.

Comment faire et par où commencer  pour aller vers le mieux-être ?

Je vous propose de cheminez ensemble au moins durant cet article à travers cette quête pour le moins épineuse et plus dangereuse qu’on pourrait le penser au premier abord.

Pour commencer, à quel domaine appartient le mieux-être ? Et, à quel type de professionnel de la relation d aide doit-on s’adresser ?

Lorsqu’on se pose la question du mieux-être, en tout premier lieu, on ne sait pas par où commencer et surtout à quel type de praticien s’adresser.

A partir du moment où on envisage de faire appel à des praticiens, on rattache immédiatement cela au domaine de la santé. Ce qui est souvent avantageux puisqu’on peut faire appel à un remboursement de notre mutuelle (… quand on en a une. Ce qui est désormais obligatoire pour tous les salariés. Seuls les indépendants sont encore libres de ce choix) ou notre éventuelle complémentaire santé.

Pourtant, il est important de prendre en compte que :
remboursements = prise en charge médicale ou paramédicale ou thérapeutique = vous êtes malade, avez une pathologie ou êtes touchés par un trouble psychique.

Lorsqu’on souhaite atteindre du mieux-être ou le bien-être, souffrons-nous pour autant d’une pathologie ni d’un trouble ?

Non, bien sûr que ce n’est pas le cas. Cela n’empêche pas, malheureusement, mais en général, ce n’est pas ce qui conditionne notre intention même si parfois, cela y contribue.

Or, s’engager sur ce chemin, celui o on mélange recherche de mieux-être et accompagnement médical, paramédical ou thérapeutique est fort dangereux. Car, il ouvre des portes inappropriées qui nous emmènent à traverser un portail qui nous poussent à mettre les pieds dans un piège abscons.

Si on envisage ce cheminement médicalisé, la première étape est donc souvent d’aller s’adresser à un médecin. Cela peut s’entendre surtout dans le cas où la recherche de mieux-être est conditionnée par des manifestations physiques.

Mais, il est important de prendre en considération que la plupart du temps ses douleurs ou inconforts physiques que nous ressentons sont la densification (en linguistique alchimique) ou la matérialisation (selon d’autres champs étymologiques), aussi appelée somatisation, du mal-être psychique ou énergétique qui se joue en nous.

Lorsque nous serons chez le médecin, celui-ci nous ausculte sans rien trouver ou, parfois, il identifie un petit quelque chose et donne en conséquence un traitement allopathique ou quelques recommandations complémentaires… qui n’auront probablement, j’aurais même pu oser dire évidemment, pas ou peu d’incidence durable sur notre état de mal-être.

Toutefois, parfois, rien que le fait que le médecin ait trouvé quelque chose est rassurant pour notre mental. On se sent déjà un peu mieux. Mais cette phase de soulagement est extrêmement temporaire et se situe juste avant le seuil du portail qui va nous faire basculer sur une pente glissante.

Le risque principal de ce processus est son évolution anarchique.

En effet, la personne commence à trouver tout un tas de liens entre ce qu’a annoncé le médecin et des pseudo-signes qu’il observe. En déduisant une série de significations illusoires ou fantasmagoriques  Et, c’est là qu’il commence à nourrir des symptômes imaginaires au point de s’auto-créer une pathologie. C’est aussi cela le potentiel créateur de l’humain lorsqu’il est mal orienté ou mal-polarisé .

Il faut bien avouer à notre décharge que notre univers hyper médicalisé tend à favoriser ce type de travers.

Alors, ayez pitié de vous, n’allez pas par là !

Si vous observez, au fil des ans, il y a toujours une nouvelle pathologie ou une maladie à la mode pour mettre tous les mal-être inexpliqués ou inexplicables dedans. Il y a les troubles dépressifs et ou anxieux, la maladie de lyme, la fybromyalgie…

Attention ! Je ne dis absolument pas que ces maladies et pathologies n’existent pas ! Je dis simplement qu’elles servent trop de fourre tout pour justifier tout et n’importe quoi. Ce qui existe et n’existe pas. Et, que cela n’aide pas les humains à aller mieux et encore moins à mieux-être. Au contraire, cela a tendance à les encourager à créer et entretenir des illusions insignifiantes.

Le mieux-être relève-t-il du domaine du développement personnel ?

A premier abord, je suis tentée de dire que oui. Pour mieux-être, le développement personnel est un axe d’évolution intéressant. Mais, dans un second temps, je dirais avec plus de justesse que ça dépend.

Le développement personnel est tristement devenu un domaine fourre-tout.

Le new age l’a investi en corrompu en y insérant des croyances erronées et de distorsions. Au sein du secteur, communément mais malproprement, appelé développement personnel se trouve tout un tas de thérapeutes qui cherchent à vous thérapeutiser (trouver des problèmes là où il n’y en a pas principalement pour des raisons de transfert ou de contre-transfert) pour vous aider. Mais, sans même sans rendre compte (la plupart du temps parce qu’ils sont mal formés ou parce qu’ils n’ont pas fait un travail suffisant sur eux-même), ils vous font plus de mal que de bien car cette stratégie de fonctionnement leur évitent de s’aidez eux-même. (Cf. fausse spiritualité)…. Or, ce n’est pas le but initial.

Souvent, la personne en recherche de mieux-être va s’adresser à un thérapeute ou à plusieurs thérapeutes différents comme elle lancerait une bouteille à la mer. Parce qu’elle ne sait pas où et à qui s’adresser.

Certaines se lancent même dans une sorte de pèlerinage thérapeutique. Elles cumulent et accumulent rendez-vous après rendez-vous, avec à chaque fois un nouveau thérapeute sans jamais initier un véritable travail en profondeur. Car oui, c’est bien un travail de fond qui est nécessaire.

Cette démarche est, pour loi, un non sens car la thérapie a un tout autre but. Elle est un relais là où la médecine n’a pas de solutions viables à proposer face à une pathologie ou un trouble.

Certes, dans la majorité des cas, lorsque nous ne sommes pas bien, nous ne savons pas pourquoi nous ne sommes pas bien.

Mais, pour autant, pour sortir d’un pour mieux-être, il va falloir s’atteler à certains sujets plutôt désagréables qu’on auraient préférés ne pas aborder. Or, pour y aller, il est nécessaire dans un travail de fond avec une personne de confiance. Sinon, on n’aborde constamment que la surface, voir uniquement le vernis qui recouvre le système unique de l’unicité de l’être concerné.

Par ailleurs, le domaine thérapeutique concerne les problématiques d’ordre médical que la médecine n’a pas su résoudre.
C’est ainsi qu’il a été défini dès ses origines. Si, si, vous ne me croyez pas ? Pour s’en assurer, il vous suffit d’étudier les différentes définitions du mot thérapie (cf. définition du mot ou terme thérapie) ou d’en étudier l’origine.

Il s’agit donc encore de soigner et de guérir a lieu de tendre à s’élever vers un mieux-être. Mais, quand on cherche du mieux-être, est-ce qu’on est malade ? Il me semble clairement que non.

Alors, par où commencer lorsqu’on ressent un mal-être ?

Le coaching en développement personnel pourrait être une piste à envisager dans le cadre d’un accompagnement individuel mais pour qu’il soit vraiment adapté, il me semble incontournable qu’il soit pratiqué en conjugaison d’exercices d’introspection spirituelle. Un coach professionnel qui professe dans les règles de l’Art est un accompagnant de la relation d’aide qui vous aide à déterminer votre propre solution. Et, dans ce contexte, le chemin est donc viable et adapté à la recherche de mieux-être.

Mais, il existe d’autres chemins, pas toujours si simples à identifier.
Alors, pourquoi ne pas commencer par se poser la question à l’envers ?

Qu’est-ce qui vous apporte du bien-être ?
N’oublions pas que lorsque nous baignons dans le bien-être, nous n’avons pas l’esprit à être dans le mal-être. Sauf si nous choisissons de nous court-circuiter. Mais même si nous nous sabotons, la prise de conscience de ce sabotage est une intéressante porte d’entrée pour mieux se connaitre et reconnaitre les parties de soi qui ont eu besoin de développer cette stratégie qu’il faudra tôt ou tard remettre à jour… quand ce sera le moment. Forcer ne sert à rien.

Quelle est la différence entre bien-être et mieux-être ?

La notion de bien-être est utilisée en lien avec le confort corporel, avec le plaisir charnel et avec un état temporaire de détente. Le secteur du bien-être est d’ailleurs principalement composé par des centres de massage, d’esthétique, de soin, spa… mais aussi par les produits cosmétiques et de beauté qui y sont associés.

Le bien-être est entendu comme un état temporaire et éphémère de détente et de ressenti agréable du corps.

Le mieux-être est un cheminement, un engagement dans la durée.

Cette quête est un engagement qui se prend sur le long terme et que nous réalisons à notre propre rythme. On n’atteint pas le mieux-être en achetant une consultation. C’est une démarche progressive qui requière votre conscience et l’investissement de votre bonne volonté.

Le but ultime du mieux-être étant d’atteindre un état de paix vivifiante, sérénité pétillante et de Joie véritable. Et cela, aucune des thérapies que vous puissiez faire ne peut vous l’offrir car c’est un cheminement spirituel.
Cela ne nécessite pas que vous soyez adhérents à un dogme ou à une quelconque religion.

En effet, même à travers l’enseignement religieux que vous pourriez recevoir, la démarche serait incomplète. Elle pourrait favoriser l’accroissement de votre ego au lieu de vous apprendre à vous élever comme pourrait le faire un travailleur spirituel. Goûter et entretenir cet état d’Être demande d’élever et d’élargir votre conscience.

Cela est un objectif élevé qui nécessite d’Être pleinement et complètement Soi, centré(e) et aligné(e) sur les aspirations de son âme, notre Soi supérieur, notre Essence. Or, ce travail-là ne s’achète pas. Mais, il s’agit d’un investissement de prévoyance à long terme. La seule cotisation qui vous permettra de finir votre vie sereinement pour goûter une retraite intérieure paisible et éternelle.

Comment est-ce que je fais pour être bien ou bien Être ?

Ces deux questions sont finalement très différentes et subtiles mais chacune à son utilité et sa raison d’être.

Vous n’avez pas la réponse à ces questions ? Alors, il est possible que vous ayez besoin d’un accompagnement.
Je ne vous parle pas d’une psychothérapie ou une psychanalyse, ni même d’une autre forme de thérapie, parce que vous n’êtes pas malade, vous n’avez pas de pathologie… et ce n’est pas de cela dont vous avez besoin. Ce dont vous avez besoin c’est d’un praticien qui saura vous aider à mieux vous connaitre et reconnaitre, à mieux comprendre vos modes de fonctionnement, comportements et stratégies internes et externes.

Et si je veux cheminer seul(e) dans ma quête de mieux-être ?

C’est tout à fait possible. Voici quelques axes de travail. Cheminer seul(e), n’est pas évident, mais c’est faisable. Chaque étape est essentielle. On ne peut pas passer à la suivante avant d’avoir mener pleinement la précédente, sinon, il faudra y retourner. Et, sincèrement, de toutes façon, on y retourne à plusieurs reprise quoi qu’il arrive 😉

Etape 1: Mener une introspection

La première étape pour mieux-être, c’est de mieux se connaître Soi. Je ne vous parle pas de l’image extérieure ou de la personne que nous essayons constamment de nous faire croire à nous-même que nous sommes. Car oui, nous nous mentons à nous-même en nous identifiant à notre masque et/ou à notre ego. Cette personne n’est qu’une représentation de nous-même, une version biaisée et limitée. Elle est un masque qui nous est dicté par notre ego.

Etape 2: Vous reconnecter à votre corps et votre ressenti

Démarrez une révolution. Arrêtez de haïr votre corps

Pour cela, il vous faudra vous libérer de votre charge émotionnelle accumulée. Cette étape passe aussi par la recherche de la présence en conjuguant votre vie avec l’instant présent

Cette étape est essentielle pour que vous puissiez fonctionner normalement sans être saboter par vos émotions paralysantes, sclérosantes, volcaniques… peurs, craintes, stratégies automatiques inconscientes… etc…

SI vous avez des difficultés avec la connexion à votre corps, la méditation “Reconnexion à la Terre” peut vous y aider.

Etape 3 : Eliminer tout ce qui n’est pas vous et retrouver votre essence

Cette étape s’inscrit dans la durée. Il est question de déposer l’une après l’autre les couches d’oignons qui ne sont pas nous. Identifier ce qui a été ajouté par notre éducation, par nos croyances, ce dont on a hérité de notre famille ou de notre karma et qui s’est collé à nous mais qui n’est pas nous.

Durant cette étape, il va aussi falloir en passer par la résiliation de la jouissance inconditionnelle que nous avions consenti à donner à notre ego sans le savoir. Mais cela vient après que nous ayons appris à mieux le connaitre ce démon intérieur qui essaie de nous rouler à plein temps.

Puis, cela va passer par l’envie joyeuse de souscrire à un partenariat de collaboration avec notre âme et notre conscience supérieure. Peu importe les noms utilisés, il s’agit simplement de vocabulaire… vous pouvez ressentir ce que je vous transmets à travers ce texte. Et pour cela, pas une seule des formations que vous ayez pu envisager ne pourra vous l’offrir. Aucune des cotisations que vous pourriez verser à une académie ne vous y donnera accès. Il n’y a que l’école de la Vie qui peut vous y amener. Et pour avancer plus paisiblement et davantage dans la douceur, il vous est possible de trouver un accompagnant authentique de l’être.

Il vous aidera à cheminer jusqu’à votre vérité intérieure la plus pure et authentique. Vous incarnerez pleinement, complètement et durablement qui vous être vraiment dans votre quintessence. Alors là, vous aurez atteint le Bien Être Véritable. Il ne vous sera alors pas possible de mieux Être car vous ne pourrez aucunement être mieux que cela. 🙂

Pour allez plus loin, aller mieux et passer du bien-être au mieux-être

1- Décidez de vous prendre en main.
2- Faites le point et démarrer votre introspection.

Si vous souhaitez avancer seul(e) avec un support “à la demande”, vous pouvez opter pour le livre pratique “J’ai décidé d’être heureux/se” ou préférer suivre les Web ateliers cheminement spirituel

Si vous avez besoin d’une aide plus personnalisée ou si vous souhaitez être accompagnée, je suis à votre service. Je vous propose un accompagnement authentique de l’être. Pour en bénéficier, il vous suffit de réserver votre rendez-vous ici ou de vous inscrire à une activité de groupe de votre choix ici.

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