Je refuse d’être un robot ! Je veux être libre !

Ne voyez-vous pas ? Vous ne vous en rendez-vous donc pas compte ? A quel endroit êtes-vous libre ? Dans quel contexte ? ou quelle mesure ?
Nous ne ressemblons plus à des humains. Nous sommes devenus des robots.
Vous n’êtes pas d’accord avec moi ?
Dites-le moi, je suis prête à en débattre.

Qu’est-ce que c’est être humain ?

Arrêtons de nous leurrer. L’être humain est sensé « être » tel un « humain » et, nous en sommes loin !

Pourtant déjà, pouvons-nous prétendre « être » quand nous sommes désormais standardisés, normalisés, contraints, paramétrés par des diktats, des obligations, des horaires imposés, des statistiques… ? Nous avons accepté d’appartenir à des programmes, d’être conditionnés, de répondre à des quotas, … à la norme ?!

Notre existence se résume à : métro, boulot, Web, consommation, télé, dodo.
Le tout avec la tête dans le guidon. Constamment entrait de courir après le temps ou plus de richesses.
Nombreux d’entre nous déploient toute leur énergie pour contrôler leur corps et leurs émotions pour nier leurs besoins existentiels et pour vaincre des aléas incontrôlables pour maitriser l’imprévisible et y laisser leur santé et leur joie de vivre. Ne parlons même pas du temps qu’ils confèrent à la part spirituelle de leur vie ou ce qu’ils parviennent à investir dans ce qui ne meurt pas : leur âme.

Etre prisonnier, est-ce cela être vivant ?

Non ! Ca, c’est de la survivance. Je dirais même que c’est la mort, l’état de non-existence. Quand vous en êtes là, vous êtes ni plus ni moins qu’un mort-vivant. Nous nous distrayons parfois avec des films ou des jeux mettant en scène des mort-vivents, et nous appelons cela de la science-fiction. Mais, c’est faux, cela n’est pas de la science fiction. Ces films, ces jeux sont des paraboles de nos vies industrialisées. Et, je peux vous en parler en connaissance de cause. J’ai expérimenté cela, des années durant.

Mes clients, patients, consultants, donnez-leur le nom ou l’étiquette que vous voudrez bien, ont expérimenté cela eux aussi. Certains veulent continuer à exister ainsi, et c’est leur choix, je le respecte. D’autres, choisissent de Vivre en existant autrement. Ce choix, c’est celui du libre arbitre.

Aujourd’hui, en ce qui me concerne, je peux prétendre être libre.

Je ne dis pas que je n’ai plus d’obligation, ce serait faux et ce n’est pas le propos. D’autant plus que je suis plus consciente que jamais de ce que sont mes réelles responsabilités vis-à-vis des choses, des gens et de tout le reste. Mais j’ai la faculté de choisir ce que je fais de mon temps, et de  comment je le fais. Et aussi de me ré-approprier mon pouvoir de tri en choisissant ce qui fait partie, ou non, de Ma Vie.

J’ai aussi fais le choix d’accompagner les personnes qui le souhaitent à prendre ce chemin, si tel est leur voeu. Parce que la Vie, ce n’est pas ce que nous vantent les medias, les publicités et les films prônant le rêve américain. La Vie, votre Vie est à l’image de vos choix véritables et des engagements que vous avez pris pleinement avec le coeur.

Le sens de la vie, c’est autre chose que le « rêve américain ». L’humain créateur est fait pour être libre.

Je préfère me nourrir de l’eau de la rivière et sucer des cailloux que de vendre ma vie et mon temps pour de l’argent. Mais c’est mon choix. Et c’est joyeux pour moi ainsi.

Vivre, c’est au-delà d’exister.

A la naissance, on vous donne la Vie, mais vous pouvez choisir de ne faire qu’exister. Vivre, ça se fait avec le coeur.

« Humain », ça veut dire quoi ?

Humain : qui possède les caractéristiques de l’homme.

Homme : Primate caractérisé par la station verticale, par le langage articulé, un cerveau volumineux, des mains préhensiles, etc.

– Définition selon le Larousse

Ne nous y trompons pas, l’homme est un animal… dans une part de lui même, mais il est aussi bien plus que cela.

L’Homme fait partie intégrante de la Nature. Pourtant, son cerveau volumineux l’empêche de reconnaître sa nature véritable, semble-t-il. Et son langage articulé lui permet de diffuser telle une vérité, son mensongeson illusion; édifiée sur ses certitudes qu’il entretient avec soin chaque jour,  et transmet de génération en génération. C’est de par cette transmission que l’illusion devient plus dense, plus palpable, parce qu’elle est partagée. Et, c’est ainsi que l’homme dénature toujours plus sa nature profonde et essentielle au fil du temps.

La Nature a un rythme lent mais constant, un équilibre, des cycles,… Elle est mesurée. Chaque cycle prend son temps et tout est fait à temps. Elle s’autorégule. Tout y est interdépendant.

Qu’est-ce qui a donc amené l’homme à penser qu’il était supérieur ou détenteur de la propriété du reste de la création, à part sa folie mégalomaniaque qui l’a lui-même détraqué ?

La Vie existait avant nous. Et quand nous auront épuisé les richesses essentielles à notre survie pour des possessions et de l’argent. Nous disparaîtrons et la Vie perdurera.

Sommes-nous donc tous devenus fous ?

Nous sommes tellement habitués à être dans la norme et à être régulés qu’on en arrive à être témoin de situations improbables. Par exemple, j’ai été amenée à assister à la scène la plus pathétique de ma vie… dans un ashram. Un Ashram est comme un monastère ouvert ou des disciples ou des adeptes d’un maitre spirituel peuvent passer ou séjourner pour être en contact avec l’énergie et/ou la présence du Maître.

Un ashram est, selon moi, un des lieux où nous sommes censés côtoyer des gens éveillés ou tous au moins réveillés, cheminant vers la lumière. N’est pas aussi votre sentiment ? Non ?

Alors, voilà ce qui s’y est déroulé. Je revois la scène comme si j’y étais à nouveau. J’étais dans une petite salle de « détente » simple et minimaliste entrain de discuter avec une amie en attendant l’heure du dîner. Puis tout à coup, nous entendons :

– C’est l’heure ?
– Non, encore 30 secondes !

Nous nous regardons interloquées, mon amie et moi.

Et, les 5 personnes, qui étaient dans la même salle que nous, annoncent l’intitulé d’une prière et commencent à la réciter de façon mécanique… comme l’auraient fait des robots.

Je n’ai rien contre la prière.

Moi-même, je prie (presque) tous les jours même si je ne suis d’aucune confession spécifique. Je crois en la Vie.
Mais là, j’étais choquée.

Déjà, j’étais mal à l’aise pour mon amie, qui n’est pas chrétienne et encore moins catholique et qui se retrouvait enfermée dans une pièce exiguë au milieu de gens qui récitaient mécaniquement une prière envahissante.
Et, au-delà de ça, selon moi, cette prière n’avait aucun sens. La vibration qui aurait du en émaner n’était pas là. L‘intention non plus d’ailleurs. Seul un son métallique et mécanique insupportable transperçait mon corps et faisait grésiller mes tympans.

Le politiquement correct aurait voulu que nous demeurions en silence, ou que nous apportions notre contribution à cette prière. Mais, cela m’étais tout bonnement impossible et inconcevable de m’infliger cela même avec la meilleure volonté du monde. Cela m’était insupportable alors que j’avais déjà assisté et même participé à des rosaires.

Nous avons préféré, d’un accord non verbal, nous offrir une sortie sous les regards réprobateurs du reste des personnes présentes dans la salle.

Nous ne sommes pas des robots, ni elle, ni moi. Je n’ai pas de jugement à avoir par rapport aux pratiques des autres. Simplement, je m’interroge…

Il semble que ces personnes verbaliser cette prière comme une obligation, sans plaisir mais probablement par dévotion. Mais où était leur coeur ? leur âme ? dans cette histoire. Ils ne semblaient pas participer à cette prière en tout cas.

Si ce qui est sensé nous apporter la lumière et la liberté nous enferme et nous transforme en robot, à quoi bon ? C’est perdu d’avance !

Pour être libre, la solution est simple.

Oui, la solution est simple. Tellement simple qu’elle fait peur. L’humain n’a jamais possédé autant de choses inutiles qu’aujourd’hui.
Je vous le disais il y a peu de temps de cela. Je ne peux que constater que :

Mes possessions me possèdent et me limitent.

En résultat, l’humain n’a jamais été aussi malheureux, malade et dépressif qu’aujourd’hui. Et je ne tournerai pas au tour du pot. C’est parce qu’il a renié sa part d’humanité son pouvoir créateur. Il est devenu un esclave addict à la matérialité.

Il s’écoute parler, penser, réfléchir. Son mental est le dictateur de son royaume. Il a vendu son âme pour posséder toujours plus. Il n’est pas question de dire que c’est bien ou mal. Chacun est libre de ses choix. Par ailleurs, les thérapies, la psychanalyse et la psychologie corrompue lui font croire que son passé l’enferme. Mais c’est faut, cela n’est qu’une prison illusoire. L’humain détient la clé de la pote de sortie de sa prison. Cela s’appelle le libre arbitre.

Mais ne serions-nous pas plus heureux en retournant vers notre nature profonde, en nous départissant de l’inutile pour retourner vers l’essentiel ?

Elle est où votre liberté à vous ?

Quand, où, dans quel cadre vous autorisez-vous à être vraiment vous, l’essence de vous-même ?

Avez-vous la moindre idée de qui vous êtes, en vrai ?

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